# Re: Event FestivalSam 24 Sep - 17:54
Le serpent souriait à Zuran, un sourire mélangé entre la malice et une opportunité qu'il va saisir. Il va se relever et montrer l'étendu d'une capacité inconnue. L'oeil gauche du serpent se blanchissait avant que cette couleur unie ne devienne plus qu'un globe oculaire transparent emplie d'une fumée aux nuances de gris avec un point rouge étincelant en son centre. Zuran restait de marbre, il n'attendait qu'une seule réponse. Le serpent prit la parole.
- Je n'imaginais pas que tu sois en capacité de réellement m'écouter tout en cherchant à me tuer. Dit-il accompagné d'une expression déterminée. Ce sont tes amis qui m'ont assassiné la première fois, des amis venant d'un plus loin futur.
Le parrain lui coupait alors la parole et son expression calme refait doucement place à un visage de colère.
- Tu mens ! Répond-t-il en fonçant sur le serpent pour lui loger un direct du droit en plein abdomen, il pouvait sentir plusieurs côtes du serpent se briser pendant que ce dernier recrachait de la bile.
Shilia s'écrasait au sol alors que du sang commençait à couler à grosses gouttes de sa bouche. Il restait tout bonnement allongé, se retournait et regardait le ciel ombragé de nuages gris. Et reprit la parole comme si ses blessures ne comptaient pas. Il avait l'air de ne plus vouloir se battre contre Zuran.
- Ma faute dans cette histoire c'est que j'ai voulu aider les Vongola et tes actions depuis le début du combat me montrent que je fais bien de t'affronter et de vouloir t'arrêter... Rajoute-t-il l'air presque triste. Tu es en train de me tuer en gardant ton sang-froid. Mais pas comme Tsuna et Primo pouvaient le faire, toi, tu agis avec un sang-froid destructeur...
Comment le serpent pouvait parler au nom de Tsuna et Primo ? Il en discutait comme s'il les connaissait. Mais c'était tout bonnement impossible, le corps de Zuran s'arrête donc sur son chemin et il reste statique, prêt à écouter ce que Shilia pourrait dire. Il comprenait qu'ils étaient à une étape du combat où Shilia allait utiliser les mots pour poursuivre la lutte et non la violence physique.
- Tu sais, des éléments ont rapporté que les anciens parrains des Vongola dont Tsuna avaient la capacité de voir et parler à Primo dans les moments de pures détresses. Révèle-t-il avec un sourire en coin. Quand j'ai tué Azami, tu ne l'as pas vu n'est-ce pas ?
L'expression de Zuran se renfrognait, il avait effectivement vu et parler à quelqu'un qui a su le remettre sur pied mais ce n'était pas Primo. Il ne comprenait pas comment Shilia pouvait savoir tout ça, ça faisait remettre une fois de plus en question le pourquoi Shilia avait tué ses amis. Est-ce qu'au final il y avait une véritable raison logique derrière ses agissements ?
- FERME LA SHILIA ! Hurle-t-il comme en signe de ne pas vouloir écouter la vérité.
- QUI EST-CE QUE TU AS VU QUAND J'AI ASSASSINÉ AZAMI ?! Répond-t-il aussi fortement.
- MOI ! JE ME SUIS VU MOI PLUS VIEUX D'ACCORD ?! ET ALORS ? QU'EST-CE QUE ÇA CHANGE HEIN ?
- Absolument tout Zuran...
Zuran malgré sa colère affichée, une larme commençait à couler sur sa joue alors que sa flamme commençait à vaciller par les doutes, là où celle de Shilia se renforçait et restait forte. Le jeune malentendant fixait l’œil nuageux du serpent et répond.
- Je crois que j'ai compris ce que tu vas dire, dis le.
- Tu n'es pas un Vongola, tu as leur sang, tu as la force pour être le nouveau parrain mais la vérité c'est que tu ne l'es pas et tout le monde s'est trompé sur ton compte. Même moi, j'ai cru que tu étais celui que je devais protéger mais c'est faux. Je dois protéger les autres de toi. Dit-il d'un air abattu et sincèrement attristé. J'ai essayé de te sauver, j'ai vraiment essayé.
Autant le serpent que le parrain, les deux commencèrent à faire couler les larmes au même rythme que le sang de Shilia se répand sur l'herbe fraîche.
- Tu insinues que je suis quel genre de monstre ? Demande Zuran tiraillé entre le déni et l'écoute.
- … Le genre de monstre qui est le premier à m'avoir assassiné. J'ai cru pendant longtemps qu'il s'agissait d'un leader dénommé Byakuran qui allait amener la mafia à être purement détruite, que c'était lui qui allait tuer tous les Arcobaleno et utiliser la puissance des Anneaux, la puissance des Arcobaleno et celle de Kagami pour parvenir à ses fins. Mais c'était faux... En me tuant tu m'as fait involontairement cadeau de la résurrection et de cet œil. Dit-il en pointant le globe de fumée. Et c'est en reconstituant ma propre mort des milliers de fois que cet œil a pu apprendre à percevoir l'âme et la flamme. J'ai donc regardé ce Byakuran une dernière fois droit dans les yeux et ce que j'y ai vu est une âme différente. Une âme qui manipule un corps mort qui abritait autrefois une puissance phénoménale... Rajoute-t-il pendant que Zuran a l'air d'être en état de choc. Zuran tu as tué ce type et tu as prit possession de son corps car le tien ne supportait pas ta pleine puissance destructrice. Tu es l'être le plus dangereux que je n'ai jamais croisé.
Zuran va instinctivement foncer sur Shilia et le frapper à maintes reprises en brisant ses os à chaque coups. Il ne supportait pas ce que disait le serpent, il ne pouvait tout simplement pas l'accepter alors il cherchait à le faire taire par tous les moyens. C'est alors qu'il continuait à le frapper, le serpent finit par mourir sous les coups du parrain sans que la flamme du serpent s'éteigne et revient inlassablement à la vie à tous les coups.
- La malédiction d'éternité que tu m'as imposé va me servir à t'arrêter. Tu n'as pas d'autres choix que d'abandonner. Continue-t-il alors que son visage se déforme à chaque coups jusqu'à en mourir à nouveau. Jusqu'à ce que Shilia plonge son œil brumeux dans ceux de Zuran.
Et là, plus rien. Le corps de Shilia se décontracte comme s'il s'était endormi et Zuran tombe au sol face contre terre. Le combat n'était plus physique ou oral, il était devenu mental. Le parrain se retrouvait confronter à la vision du serpent. Il se voyait dehors dans la rue, à préparer un sale coup quand des bruits de pas se faisaient entendre derrière lui. Le Ciel piégé dans le point de vu de la Brume esquive un coup de justesse qui avait tout de même réussi à lui ouvrir l'abdomen.
Le corps du serpent fait face à un groupe, il y voit deux membres de la famille Dhiya, un de la famille Nobusuma, trois Vongola et un inconnu, grand aux cheveux blancs et aux tatouages mauves sous un œil. Sûrement le leader. C'est alors que le parrain voit soudainement le monde différemment, Shilia a activé son œil et ce qui en ressort va dans le sens des dires du serpent. L'âme du leader était incroyablement puissante. Comme si rien ne pourrait l'arrêter mais on peut y voir également que le corps a du mal à s'adapter à cette âme car elle n'était tout simplement pas la sienne.
Le regard de Shilia s'abaisse donc pour forcer Zuran à se regarder lui-même à son tour et le constat est sans appel. Il s'agit bel et bien de la même âme. Et ainsi le leader esquissa juste un léger sourire amusé et finit par claquer des doigts ce qui mena à la tête du serpent de se séparer de son corps. Les deux reviennent donc à leur corps et dans la réalité, le jeune parrain est tétanisé alors que le serpent s'exclame.
- Voilà qui tu es... Dit-il sur un ton mélancolique. Quand j'ai comprit que c'était toi j'ai assassiné tes complices en espérant que ça te force à te focaliser sur tes vrais amis qui ne veulent que ton bien. Ça avait marché au début mais tu as subi d'autres choses que tu n'aurais pas dû vivre. Ton combat contre le commissaire à qui j'ai donné la flamme pour qu'il te débarrasse de l'emprise de Katsu. Tes enseignements tirées de Yuri qui agit aveuglément pour récupérer Kagami. La disparition de Aoi qui a mené ton bras droit à flancher. Mais au lieu de regarder les autres qui étaient là pour toi Toichi, Sakura, Eden, Saphire, Naoki, Rihan ou encore Hakuba... Tu t'es concentré uniquement sur ceux qui ne pouvaient pas t'aider comme tu aurais dû l'être. Rajoute-t-il l'air désolé. Tu n'as pas les épaules Zuran, tu vas juste finir par devenir hors de contrôle et détruire tout ce qui a un rapport avec la flamme.
Zuran ne réagit pas, il se remet debout et aide Shilia à le faire également. Son combat internet est terminé, pour une fois il était enfin en accord entre son corps et son esprit. Pourquoi ? Car il a déjà montré les signes qu'il voulait se débarrasser de la mafia, des Vongola et de la flamme. Il l'avait dit à Saphyr, l'arcobaleno de la pluie. Il a prit conscience qu'il n'était plus que l'ombre de lui-même. Shilia reprend donc la parole.
- Je pense que tu n'es pas quelqu'un de mauvais Zuran. Des personnes naissent avec un esprit de guerrier mais naissent avec un corps malade. Toi à l'inverse tu n'aspires qu'à avoir une vie tranquille mais tu es doté de capacités hors normes qui t'en privent. J'en suis sincèrement désolé. Finit-il en lui tendant la main.
Zuran a observé cette main pendant de longues secondes mais a terminé par la saisir, une poignée de main pour signer une fin de combat. Jusqu'à ce que la main libre de Zuran fonce à toute vitesse vers Shilia et finit par entrer dans la chaire de ce dernier, un trou en pleine poitrine. Shilia, surprit et choqué regarde le parrain dans les yeux et il n'y voit qu'une froideur glaciale et un visage de marbre. Le jeune parrain saisit le cœur du serpent jusqu'à ce que leur température corporelle se met à chuter de manière drastique. De la glace commence à se répandre sur la main de Zuran et le cœur de de Shilia.
- J'accepte ce que tu me dis, je conçois ne pas être la personne de la situation et je comprends que mes amis étaient des traîtres et moi aussi. Dit-il sur un ton intransigeant. Mais il ne t'est jamais venu à l'esprit que c'est parce que tu as assassiné mes amis que ça m'a mené à devenir ce que je suis devenu ? Demande-t-il en écrasant le serpent du regard pendant que des blocs de glace commencent à s'agrandir et à se répandre sur les deux garçons. Tes actions avaient un but louable je ne peux pas le nier. Mais Shilia... Tu restes un meurtrier avant tout et tu les as tous assassiné avant même de savoir si oui ou non ils allaient trahir la mafia. Finit-il alors que la glace continue de grandir entre eux.
Shilia comprenant rapidement la situation et transperce également le cœur de Zuran avec sa main libre alors que leur poignée de main est figée dans la glace. Zuran se met à sourire chaleureusement comme il le faisait auparavant et il entamera ses dernières paroles à son ennemi.
- Je t'enferme avec moi dans la glace, tu n'en reviendras pas cette fois car nous ne seront ni morts ni vivants. Ça me laissera le temps de réfléchir à une solution pour m'en dégager et veiller à ce que toi en revanche tu ne reviennes jamais. Finit-il avec un air radieux. Adieu Shilia.
- … Tu lui ressembles déjà... Marmonne-t-il pendant que le sang coule et la glace le piège petit à petit entièrement. Tu es perdu Zuran... Finit-il avant d'être totalement recouvert.
- Et toi tu as perdu. S'exprime-t-il avant d'être lui-même prit au piège.
Résumé : Zuran et Shilia s'affrontent. Le serpent aura révéler des informations difficiles à croire suivies de plusieurs preuves. Zuran a entendu raison mais a décidé de se piéger avec Shilia dans une technique secrète des Vongola. Zuran montre un visage froid et effrayant au serpent avant d'être figé dans la glace.
- Je n'imaginais pas que tu sois en capacité de réellement m'écouter tout en cherchant à me tuer. Dit-il accompagné d'une expression déterminée. Ce sont tes amis qui m'ont assassiné la première fois, des amis venant d'un plus loin futur.
Le parrain lui coupait alors la parole et son expression calme refait doucement place à un visage de colère.
- Tu mens ! Répond-t-il en fonçant sur le serpent pour lui loger un direct du droit en plein abdomen, il pouvait sentir plusieurs côtes du serpent se briser pendant que ce dernier recrachait de la bile.
Shilia s'écrasait au sol alors que du sang commençait à couler à grosses gouttes de sa bouche. Il restait tout bonnement allongé, se retournait et regardait le ciel ombragé de nuages gris. Et reprit la parole comme si ses blessures ne comptaient pas. Il avait l'air de ne plus vouloir se battre contre Zuran.
- Ma faute dans cette histoire c'est que j'ai voulu aider les Vongola et tes actions depuis le début du combat me montrent que je fais bien de t'affronter et de vouloir t'arrêter... Rajoute-t-il l'air presque triste. Tu es en train de me tuer en gardant ton sang-froid. Mais pas comme Tsuna et Primo pouvaient le faire, toi, tu agis avec un sang-froid destructeur...
Comment le serpent pouvait parler au nom de Tsuna et Primo ? Il en discutait comme s'il les connaissait. Mais c'était tout bonnement impossible, le corps de Zuran s'arrête donc sur son chemin et il reste statique, prêt à écouter ce que Shilia pourrait dire. Il comprenait qu'ils étaient à une étape du combat où Shilia allait utiliser les mots pour poursuivre la lutte et non la violence physique.
- Tu sais, des éléments ont rapporté que les anciens parrains des Vongola dont Tsuna avaient la capacité de voir et parler à Primo dans les moments de pures détresses. Révèle-t-il avec un sourire en coin. Quand j'ai tué Azami, tu ne l'as pas vu n'est-ce pas ?
L'expression de Zuran se renfrognait, il avait effectivement vu et parler à quelqu'un qui a su le remettre sur pied mais ce n'était pas Primo. Il ne comprenait pas comment Shilia pouvait savoir tout ça, ça faisait remettre une fois de plus en question le pourquoi Shilia avait tué ses amis. Est-ce qu'au final il y avait une véritable raison logique derrière ses agissements ?
- FERME LA SHILIA ! Hurle-t-il comme en signe de ne pas vouloir écouter la vérité.
- QUI EST-CE QUE TU AS VU QUAND J'AI ASSASSINÉ AZAMI ?! Répond-t-il aussi fortement.
- MOI ! JE ME SUIS VU MOI PLUS VIEUX D'ACCORD ?! ET ALORS ? QU'EST-CE QUE ÇA CHANGE HEIN ?
- Absolument tout Zuran...
Zuran malgré sa colère affichée, une larme commençait à couler sur sa joue alors que sa flamme commençait à vaciller par les doutes, là où celle de Shilia se renforçait et restait forte. Le jeune malentendant fixait l’œil nuageux du serpent et répond.
- Je crois que j'ai compris ce que tu vas dire, dis le.
- Tu n'es pas un Vongola, tu as leur sang, tu as la force pour être le nouveau parrain mais la vérité c'est que tu ne l'es pas et tout le monde s'est trompé sur ton compte. Même moi, j'ai cru que tu étais celui que je devais protéger mais c'est faux. Je dois protéger les autres de toi. Dit-il d'un air abattu et sincèrement attristé. J'ai essayé de te sauver, j'ai vraiment essayé.
Autant le serpent que le parrain, les deux commencèrent à faire couler les larmes au même rythme que le sang de Shilia se répand sur l'herbe fraîche.
- Tu insinues que je suis quel genre de monstre ? Demande Zuran tiraillé entre le déni et l'écoute.
- … Le genre de monstre qui est le premier à m'avoir assassiné. J'ai cru pendant longtemps qu'il s'agissait d'un leader dénommé Byakuran qui allait amener la mafia à être purement détruite, que c'était lui qui allait tuer tous les Arcobaleno et utiliser la puissance des Anneaux, la puissance des Arcobaleno et celle de Kagami pour parvenir à ses fins. Mais c'était faux... En me tuant tu m'as fait involontairement cadeau de la résurrection et de cet œil. Dit-il en pointant le globe de fumée. Et c'est en reconstituant ma propre mort des milliers de fois que cet œil a pu apprendre à percevoir l'âme et la flamme. J'ai donc regardé ce Byakuran une dernière fois droit dans les yeux et ce que j'y ai vu est une âme différente. Une âme qui manipule un corps mort qui abritait autrefois une puissance phénoménale... Rajoute-t-il pendant que Zuran a l'air d'être en état de choc. Zuran tu as tué ce type et tu as prit possession de son corps car le tien ne supportait pas ta pleine puissance destructrice. Tu es l'être le plus dangereux que je n'ai jamais croisé.
Zuran va instinctivement foncer sur Shilia et le frapper à maintes reprises en brisant ses os à chaque coups. Il ne supportait pas ce que disait le serpent, il ne pouvait tout simplement pas l'accepter alors il cherchait à le faire taire par tous les moyens. C'est alors qu'il continuait à le frapper, le serpent finit par mourir sous les coups du parrain sans que la flamme du serpent s'éteigne et revient inlassablement à la vie à tous les coups.
- La malédiction d'éternité que tu m'as imposé va me servir à t'arrêter. Tu n'as pas d'autres choix que d'abandonner. Continue-t-il alors que son visage se déforme à chaque coups jusqu'à en mourir à nouveau. Jusqu'à ce que Shilia plonge son œil brumeux dans ceux de Zuran.
Et là, plus rien. Le corps de Shilia se décontracte comme s'il s'était endormi et Zuran tombe au sol face contre terre. Le combat n'était plus physique ou oral, il était devenu mental. Le parrain se retrouvait confronter à la vision du serpent. Il se voyait dehors dans la rue, à préparer un sale coup quand des bruits de pas se faisaient entendre derrière lui. Le Ciel piégé dans le point de vu de la Brume esquive un coup de justesse qui avait tout de même réussi à lui ouvrir l'abdomen.
Le corps du serpent fait face à un groupe, il y voit deux membres de la famille Dhiya, un de la famille Nobusuma, trois Vongola et un inconnu, grand aux cheveux blancs et aux tatouages mauves sous un œil. Sûrement le leader. C'est alors que le parrain voit soudainement le monde différemment, Shilia a activé son œil et ce qui en ressort va dans le sens des dires du serpent. L'âme du leader était incroyablement puissante. Comme si rien ne pourrait l'arrêter mais on peut y voir également que le corps a du mal à s'adapter à cette âme car elle n'était tout simplement pas la sienne.
Le regard de Shilia s'abaisse donc pour forcer Zuran à se regarder lui-même à son tour et le constat est sans appel. Il s'agit bel et bien de la même âme. Et ainsi le leader esquissa juste un léger sourire amusé et finit par claquer des doigts ce qui mena à la tête du serpent de se séparer de son corps. Les deux reviennent donc à leur corps et dans la réalité, le jeune parrain est tétanisé alors que le serpent s'exclame.
- Voilà qui tu es... Dit-il sur un ton mélancolique. Quand j'ai comprit que c'était toi j'ai assassiné tes complices en espérant que ça te force à te focaliser sur tes vrais amis qui ne veulent que ton bien. Ça avait marché au début mais tu as subi d'autres choses que tu n'aurais pas dû vivre. Ton combat contre le commissaire à qui j'ai donné la flamme pour qu'il te débarrasse de l'emprise de Katsu. Tes enseignements tirées de Yuri qui agit aveuglément pour récupérer Kagami. La disparition de Aoi qui a mené ton bras droit à flancher. Mais au lieu de regarder les autres qui étaient là pour toi Toichi, Sakura, Eden, Saphire, Naoki, Rihan ou encore Hakuba... Tu t'es concentré uniquement sur ceux qui ne pouvaient pas t'aider comme tu aurais dû l'être. Rajoute-t-il l'air désolé. Tu n'as pas les épaules Zuran, tu vas juste finir par devenir hors de contrôle et détruire tout ce qui a un rapport avec la flamme.
Zuran ne réagit pas, il se remet debout et aide Shilia à le faire également. Son combat internet est terminé, pour une fois il était enfin en accord entre son corps et son esprit. Pourquoi ? Car il a déjà montré les signes qu'il voulait se débarrasser de la mafia, des Vongola et de la flamme. Il l'avait dit à Saphyr, l'arcobaleno de la pluie. Il a prit conscience qu'il n'était plus que l'ombre de lui-même. Shilia reprend donc la parole.
- Je pense que tu n'es pas quelqu'un de mauvais Zuran. Des personnes naissent avec un esprit de guerrier mais naissent avec un corps malade. Toi à l'inverse tu n'aspires qu'à avoir une vie tranquille mais tu es doté de capacités hors normes qui t'en privent. J'en suis sincèrement désolé. Finit-il en lui tendant la main.
Zuran a observé cette main pendant de longues secondes mais a terminé par la saisir, une poignée de main pour signer une fin de combat. Jusqu'à ce que la main libre de Zuran fonce à toute vitesse vers Shilia et finit par entrer dans la chaire de ce dernier, un trou en pleine poitrine. Shilia, surprit et choqué regarde le parrain dans les yeux et il n'y voit qu'une froideur glaciale et un visage de marbre. Le jeune parrain saisit le cœur du serpent jusqu'à ce que leur température corporelle se met à chuter de manière drastique. De la glace commence à se répandre sur la main de Zuran et le cœur de de Shilia.
- J'accepte ce que tu me dis, je conçois ne pas être la personne de la situation et je comprends que mes amis étaient des traîtres et moi aussi. Dit-il sur un ton intransigeant. Mais il ne t'est jamais venu à l'esprit que c'est parce que tu as assassiné mes amis que ça m'a mené à devenir ce que je suis devenu ? Demande-t-il en écrasant le serpent du regard pendant que des blocs de glace commencent à s'agrandir et à se répandre sur les deux garçons. Tes actions avaient un but louable je ne peux pas le nier. Mais Shilia... Tu restes un meurtrier avant tout et tu les as tous assassiné avant même de savoir si oui ou non ils allaient trahir la mafia. Finit-il alors que la glace continue de grandir entre eux.
Shilia comprenant rapidement la situation et transperce également le cœur de Zuran avec sa main libre alors que leur poignée de main est figée dans la glace. Zuran se met à sourire chaleureusement comme il le faisait auparavant et il entamera ses dernières paroles à son ennemi.
- Je t'enferme avec moi dans la glace, tu n'en reviendras pas cette fois car nous ne seront ni morts ni vivants. Ça me laissera le temps de réfléchir à une solution pour m'en dégager et veiller à ce que toi en revanche tu ne reviennes jamais. Finit-il avec un air radieux. Adieu Shilia.
- … Tu lui ressembles déjà... Marmonne-t-il pendant que le sang coule et la glace le piège petit à petit entièrement. Tu es perdu Zuran... Finit-il avant d'être totalement recouvert.
- Et toi tu as perdu. S'exprime-t-il avant d'être lui-même prit au piège.
Résumé : Zuran et Shilia s'affrontent. Le serpent aura révéler des informations difficiles à croire suivies de plusieurs preuves. Zuran a entendu raison mais a décidé de se piéger avec Shilia dans une technique secrète des Vongola. Zuran montre un visage froid et effrayant au serpent avant d'être figé dans la glace.
en bref
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# Re: Event FestivalMar 13 Déc - 1:31
Tout ce si était rude très rude, rien d'assez grand qui serai difficile à refouler, mais une robe qui ne sera surement jamais remis.
La place était pourtant superbe si l'on souhaitez tous savoir sur ce qui ce passe, comme ce qu'elle voulait. Malheureusement pour elle les film d'horreur n'avait jamais était son genre préférais, la romance non plus si l'on voulait vraiment savoir. Cela serai plutôt les film policer. Dans se genre il y a aussi des meurtre horrible, mais ... en générales les gens ne reviennent pas à la vie ... autant de fois que l'être étrange. Shilia, le serpent, le méchant, le meutrier.
Bien qu'il lui foutais des frissons elle ne lui souhaitais aucun mal. Souhaitait-elle le mal a quelqu'un en premier lieu ... ? Non, enfin si, sûrement, mais cela était plus un jeux de mise et parie.
Ceci n'étais pas un jeu au quel elle pouvait prendre par et cela ne lui plaisait pas du tout. Elle ressentais un gout amère dans la bouche qui fut remplacer par un gout de fer par la suite.
Elle n'avait pas récupérais le portable de Kamichi lorsqu'elle l'avait tirais. De temps en temps elle baissait le regard pour voir si il était toujours là, au cas où il serai voler ou même écraser. Ce n'est pourtant pas comme si quelqu'un d'autre avait fait attention a se détail.
Elle vue la glace les recouvrirent, sans pour autant bouger, sans pourvoir faire quoi que soit, silencieuse. Elle continua à fixer la scène s'attendant presque a voir la glace ce fendre et que leurs danse macabre ne recommence, mais il n'en fut rien.
La fourchette était toujours dans sa main, qui devenait de plus en plus blanche au fur et à mesure que le sang peiner a circuler à cause de la pression exercer.
Plus rien ne serai comme avant.
-
*Sakura reste prés de Kamichi, lui laissant une place de premier ordre sur le combat de Zuran et Shilia. Sa fourchette a la main elle ne bougera pas d'un pouce avant l'arriver des secours.
@Shiroïme Brawer
Festival
Etoile
#Event
Etoile
#Event
Tout ce si était rude très rude, rien d'assez grand qui serai difficile à refouler, mais une robe qui ne sera surement jamais remis.
La place était pourtant superbe si l'on souhaitez tous savoir sur ce qui ce passe, comme ce qu'elle voulait. Malheureusement pour elle les film d'horreur n'avait jamais était son genre préférais, la romance non plus si l'on voulait vraiment savoir. Cela serai plutôt les film policer. Dans se genre il y a aussi des meurtre horrible, mais ... en générales les gens ne reviennent pas à la vie ... autant de fois que l'être étrange. Shilia, le serpent, le méchant, le meutrier.
Bien qu'il lui foutais des frissons elle ne lui souhaitais aucun mal. Souhaitait-elle le mal a quelqu'un en premier lieu ... ? Non, enfin si, sûrement, mais cela était plus un jeux de mise et parie.
Ceci n'étais pas un jeu au quel elle pouvait prendre par et cela ne lui plaisait pas du tout. Elle ressentais un gout amère dans la bouche qui fut remplacer par un gout de fer par la suite.
Elle n'avait pas récupérais le portable de Kamichi lorsqu'elle l'avait tirais. De temps en temps elle baissait le regard pour voir si il était toujours là, au cas où il serai voler ou même écraser. Ce n'est pourtant pas comme si quelqu'un d'autre avait fait attention a se détail.
Elle vue la glace les recouvrirent, sans pour autant bouger, sans pourvoir faire quoi que soit, silencieuse. Elle continua à fixer la scène s'attendant presque a voir la glace ce fendre et que leurs danse macabre ne recommence, mais il n'en fut rien.
La fourchette était toujours dans sa main, qui devenait de plus en plus blanche au fur et à mesure que le sang peiner a circuler à cause de la pression exercer.
Plus rien ne serai comme avant.
-
*Sakura reste prés de Kamichi, lui laissant une place de premier ordre sur le combat de Zuran et Shilia. Sa fourchette a la main elle ne bougera pas d'un pouce avant l'arriver des secours.
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en bref
Inventaire : - petite arme : taser
- dernier balle de la volonté
- 1 RP avec un chef de la mafia de votre choix afin d'avoir une chance d'intégrer sa famille
- 1 RP d'enseignement avec un Arcobaleno actuellement en tourisme à Namimori
+ 1 Niveau de flamme supplémentaire gratuit
grosse arme ou outil de votre choix
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# Re: Event FestivalSam 17 Déc - 22:42
`
Résumey : Suite à la tentative de meurtre de Zuran, BOOM, Namimori explose. Eden, sous flamme, finit par se débarrasser du détonateur, récupère son portable et part en quête du leader, qu'elle ne retrouvera pas.
« In position ! »
Le festival de Namimori
Shoot.
Shoot. Shoot. Shoot !
Ce connard s'est tiré dessus et maintenant il te fait face avec la flamme de dernière volonté. Tu t'arrêtes, tes mèches de jets partent devant toi sous le coup de l'inertie.
C'est critique. Vraiment critique. Tu n'as absolument pas confiance en la police. D'abord parce que par définition, ils ne sont pas dans ton camp. Ensuite parce qu'ils ne savent pas ce qu'il se trame.
Où peut-être le savent-ils ? Pourquoi cet idiot aurait la flamme de dernière volonté sinon?
Seulement tu ne veux pas réveiller ta flamme non plus. Les informations, c’est le pouvoir, et tu es trop importante pour que ça ne se remarque pas, si tu montres être affilié d’une manière ou d’une autre à la mafia.
T’es sur ton dilemme, incapable de trouver une conclusion satisfaisante…
Et puis boom.
Namimori explose.
Le vacarme te parvient comme un silence. Tu fixes la tête de ton opposant, alors que tu vois tout s’éclaire autour de toi.
Zuran, qu’est-ce que tu as fait ?
La lumière devient de plus en plus intense. Mince. C’est peut-être le jour où tu vas crever.
Sauf que non, tes yeux s’ouvrent, animés par une rage de vaincre. Une rage de vivre. Tu te redresses, fixant tes mains. Ton regard est à la fois froid et bouillonnant de détermination. Tu reconnais la sensation. C'est grisant. Tes pupilles réduites à un point avisent le détonateur, que tu finis par lancer vers le policier.
-Tenez. Je n’en ai plus besoin.
Vifs, tes iris incandescents se posent sur ton portable abandonné sur le sol. Preuve. Dangereux. Avec rapidité, tu te jettes dessus pour l’attraper, esquivant au passage les coups de quelqu’un d’autre, sous flamme également. Puis ton regard revient vers l’endroit où s’est envolé le parrain en devenir des Vongolas.
Zuran.
Laissant le champ de bataille avec indifférence, tu sautes par dessus la foule, pour atterrir en dehors de l’enceinte du lycée. Puis tu cours. Vite.
Quelques minutes plus tard, la flamme s'éteint sur ton front, alors que tout ton corps endolori te rappelle à l’ordre. Tu as à peine le temps de tomber sur tes genoux que tu entends ton chauffeur te rattraper enfin, sa flamme bleue foncée s’estompant elle aussi.
-Mademoiselle… …
Tu frappes mollement de rage sur le sol. Même sous flamme, tu n’es pas parvenue à le retrouver.
-Rentrons, William.
Mais en toi, la colère gronde encore.
Shoot. Shoot. Shoot !
Ce connard s'est tiré dessus et maintenant il te fait face avec la flamme de dernière volonté. Tu t'arrêtes, tes mèches de jets partent devant toi sous le coup de l'inertie.
C'est critique. Vraiment critique. Tu n'as absolument pas confiance en la police. D'abord parce que par définition, ils ne sont pas dans ton camp. Ensuite parce qu'ils ne savent pas ce qu'il se trame.
Où peut-être le savent-ils ? Pourquoi cet idiot aurait la flamme de dernière volonté sinon?
Seulement tu ne veux pas réveiller ta flamme non plus. Les informations, c’est le pouvoir, et tu es trop importante pour que ça ne se remarque pas, si tu montres être affilié d’une manière ou d’une autre à la mafia.
T’es sur ton dilemme, incapable de trouver une conclusion satisfaisante…
Et puis boom.
Namimori explose.
Le vacarme te parvient comme un silence. Tu fixes la tête de ton opposant, alors que tu vois tout s’éclaire autour de toi.
Zuran, qu’est-ce que tu as fait ?
La lumière devient de plus en plus intense. Mince. C’est peut-être le jour où tu vas crever.
Sauf que non, tes yeux s’ouvrent, animés par une rage de vaincre. Une rage de vivre. Tu te redresses, fixant tes mains. Ton regard est à la fois froid et bouillonnant de détermination. Tu reconnais la sensation. C'est grisant. Tes pupilles réduites à un point avisent le détonateur, que tu finis par lancer vers le policier.
-Tenez. Je n’en ai plus besoin.
Vifs, tes iris incandescents se posent sur ton portable abandonné sur le sol. Preuve. Dangereux. Avec rapidité, tu te jettes dessus pour l’attraper, esquivant au passage les coups de quelqu’un d’autre, sous flamme également. Puis ton regard revient vers l’endroit où s’est envolé le parrain en devenir des Vongolas.
Zuran.
Laissant le champ de bataille avec indifférence, tu sautes par dessus la foule, pour atterrir en dehors de l’enceinte du lycée. Puis tu cours. Vite.
Quelques minutes plus tard, la flamme s'éteint sur ton front, alors que tout ton corps endolori te rappelle à l’ordre. Tu as à peine le temps de tomber sur tes genoux que tu entends ton chauffeur te rattraper enfin, sa flamme bleue foncée s’estompant elle aussi.
-Mademoiselle… …
Tu frappes mollement de rage sur le sol. Même sous flamme, tu n’es pas parvenue à le retrouver.
-Rentrons, William.
Mais en toi, la colère gronde encore.
`
Résumey : Suite à la tentative de meurtre de Zuran, BOOM, Namimori explose. Eden, sous flamme, finit par se débarrasser du détonateur, récupère son portable et part en quête du leader, qu'elle ne retrouvera pas.
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Inventaire : - berreta chromé
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# Re: Event FestivalMar 27 Déc - 21:40
Résumé : Yuri met à l'écart l'homme qu'elle a découvert. Aucune information en plus.
Event Festival
Partie 3 - Tour 5
La jeune femme ne parlera pas de ce qu'elle a pu découvrir. La seule chose qu'elle peut dire c'est qu'elle a rapidement envoyé un message à Eden et Megumi en les prévenant qu'elle ne serait pas tout de suite de retard. On l'a vu porter un corps très haut dans le ciel, voler jusqu'à un endroit où on ne la retrouvera pas. Elle a tenu cette personne bien contre elle et l'a amené loin, très loin... Peut-être à sa demande, peut-être de son propre chef.
La seule chose dont on peut être sûr, c'est que de là haut, la jeune parraine remarqua le gaz, puis des milliers de flammes. Elles s'éveillèrent toutes au fur et à mesure que se répendait l'odorante création des hommes. Dans un petit voltige, elle bondit encore plus haut, cette fois les étincelles devenaient étoiles sous ses pieds.
Elle volait au dessus d'un ciel de volonté, et en dessous d'un sans âme humaine. De ses rollers s'étendaient de magnifiques ailes de flammes oranges.
Yuri prit un temps de flottement, l'homme toujours contre elle.
Puis elle se dit que son premier festival n'avait pas été comme elle le souhaitait.
Rien ne lui arriverait jamais comme cela devrait l'être pour une jeune fille de son âge.
Elle resterait une étoile au dessus de leur ciel... incapable de briller à leur hauteur.
Cette fois, une petite larme s'éloigna de son œil pour sombrer dans la blouse de l'homme qu'elle tenait.
La seule chose dont on peut être sûr, c'est que de là haut, la jeune parraine remarqua le gaz, puis des milliers de flammes. Elles s'éveillèrent toutes au fur et à mesure que se répendait l'odorante création des hommes. Dans un petit voltige, elle bondit encore plus haut, cette fois les étincelles devenaient étoiles sous ses pieds.
Elle volait au dessus d'un ciel de volonté, et en dessous d'un sans âme humaine. De ses rollers s'étendaient de magnifiques ailes de flammes oranges.
Yuri prit un temps de flottement, l'homme toujours contre elle.
Puis elle se dit que son premier festival n'avait pas été comme elle le souhaitait.
Rien ne lui arriverait jamais comme cela devrait l'être pour une jeune fille de son âge.
Elle resterait une étoile au dessus de leur ciel... incapable de briller à leur hauteur.
Cette fois, une petite larme s'éloigna de son œil pour sombrer dans la blouse de l'homme qu'elle tenait.
Codage by Lamire~
Résumé : Yuri met à l'écart l'homme qu'elle a découvert. Aucune information en plus.
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Inventaire : - des gants de protection pour rollers solide que la moyenne
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# Re: Event FestivalMar 27 Déc - 22:25Event~ Il arrive devant le combat.
Malgré la flamme, il a le souffle coupé. Quand il voit la situation, ça le fait ouvrir en grand les yeux. Merde, merde, merde, merde... Il ne veut pas perdre quelqu'un d'autre. Mais il lui a aussi promis de ne pas laisser de mort derrière eux.
Il ne peut rien faire, du début à la fin. Sa bouche s'ouvre. Il sent qu'il va hyper-ventiller. Pire, le son des bombes qui explosent lui vrille les tympans. Il n'entend plus rien, trop, et ses yeux sont à deux doigts de partir vers le ciel. Mais il se retient, merci à sa flamme. Il se bouche les oreilles en regardant ce qui arrive à son meilleur ami.
La glace, la glace les prend tous les deux. Il serre ses oreilles alors que c'est son crâne qu'il racle. Ses genoux tombent au sol, et il commence à trembler.
Il est arrivé trop tard.
Son ami a tué.
Son ami est mort.
Là, c'est tout son corps qui brule. Il a l'impression que chaque parti de son corps se broit sous la douleur. Il a l'impression qu'il ne peut rien arrêter. Il a mal, il n'a pas mal seulement à ses oreilles qui saignent du sang, il n'a pas mal seulement à sa peau sous ses ongles, il n'a pas mal seulement à ses muscles qui ont été plus loin que ce qu'ils auraient du, il n'a pas mal seulement dans ses yeux qui refusent de se fermer, il n'a pas mal seulement dans son cœur qui bat trop vite, il n'a pas mal seulement dans ses poumons qui refusent de se remplir, il n'a pas mal seulement à son âme qui implosent...
Il a mal. Il a mal. Il a putain de mal.
Son gorge n'a jamais hurlé aussi fort, ses genoux tombent comme sa voix qui se brisent. Pourtant, il en a de la voix.
Son ami a tué.
Son ami est mort.
Sa voix aussi vient de clamser. Il se l'est brisé ; et autours de lui, le monde est fou. Il en a rien à foutre.
Il a échoué à sauver la seule personne dont il a avait vraiment la charge.
Autant physiquement que mentalement.
Il a envie de se flinguer. Il arrivera jamais à rien, hein ?
Comme le fait de pas avoir mal, il y arrivera jamais.
C'est fini.
Son ami a tué, son ami est mort.
Et lui, il a plus la force de hurler, seulement d'observer.
Il a mal partout, mais surtout à sa volonté. :copyright:️ 2981 12289 0
Résumé : Arun est face au combat Zuran/Shilia; pas ouf.
Malgré la flamme, il a le souffle coupé. Quand il voit la situation, ça le fait ouvrir en grand les yeux. Merde, merde, merde, merde... Il ne veut pas perdre quelqu'un d'autre. Mais il lui a aussi promis de ne pas laisser de mort derrière eux.
Il ne peut rien faire, du début à la fin. Sa bouche s'ouvre. Il sent qu'il va hyper-ventiller. Pire, le son des bombes qui explosent lui vrille les tympans. Il n'entend plus rien, trop, et ses yeux sont à deux doigts de partir vers le ciel. Mais il se retient, merci à sa flamme. Il se bouche les oreilles en regardant ce qui arrive à son meilleur ami.
La glace, la glace les prend tous les deux. Il serre ses oreilles alors que c'est son crâne qu'il racle. Ses genoux tombent au sol, et il commence à trembler.
Il est arrivé trop tard.
Son ami a tué.
Son ami est mort.
Là, c'est tout son corps qui brule. Il a l'impression que chaque parti de son corps se broit sous la douleur. Il a l'impression qu'il ne peut rien arrêter. Il a mal, il n'a pas mal seulement à ses oreilles qui saignent du sang, il n'a pas mal seulement à sa peau sous ses ongles, il n'a pas mal seulement à ses muscles qui ont été plus loin que ce qu'ils auraient du, il n'a pas mal seulement dans ses yeux qui refusent de se fermer, il n'a pas mal seulement dans son cœur qui bat trop vite, il n'a pas mal seulement dans ses poumons qui refusent de se remplir, il n'a pas mal seulement à son âme qui implosent...
Il a mal. Il a mal. Il a putain de mal.
Son gorge n'a jamais hurlé aussi fort, ses genoux tombent comme sa voix qui se brisent. Pourtant, il en a de la voix.
Son ami a tué.
Son ami est mort.
Sa voix aussi vient de clamser. Il se l'est brisé ; et autours de lui, le monde est fou. Il en a rien à foutre.
Il a échoué à sauver la seule personne dont il a avait vraiment la charge.
Autant physiquement que mentalement.
Il a envie de se flinguer. Il arrivera jamais à rien, hein ?
Comme le fait de pas avoir mal, il y arrivera jamais.
C'est fini.
Son ami a tué, son ami est mort.
Et lui, il a plus la force de hurler, seulement d'observer.
Il a mal partout, mais surtout à sa volonté.
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- Arme contondante moyenne : L'instrument qu'il portera sur le moment.
- flûte traversière
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# Re: Event FestivalMar 27 Déc - 23:10Event Des activités, des étoiles et des amisNaoki respire rapidement. Il doit y aller. Il devait y aller. Protéger les gens étaient une des ses priorités. Pourtant quand l’explosion arriva. Il voulait aller là-bas. Aller voir ce qui se passait. Parce que c’était dangereux. Il serra ses poings Lui qui voulait à tout pris réprimer son émotion. Lui qui voulait être simplement être heureux. Il l’était seulement, il voulait être là pour tout ceux qui lui avait tendu la main. Il hurlait : « Laissez-moi y aller ! ». Il tourne en rond. Il doit confier sa tâche à Megumi ? Non, malgré sa force, elle avait besoin de lui. Pourquoi tremblait-il ? Pourquoi ? Il souffle. Il doit rester calme. Il devait rester ainsi. Ne pas laisser son cœur lui dire quelque chose. Pas en ce moment. Haruna était en sécurité. Mais Zuran ? Arun ? Toutes ces personnes a qui il avait offert ses gâteaux. Avaient-elles fini par survivre à ses flammes. Alors debout, incapable de se retenir. Il pleura.
Se cachant pitoyablement par sa manche, il se tenait droit. Il voulait que cette folie cesse. Il voulait retrouver ces personnes qu’il avait compté dans son cœur. Ceux qui l’avait en dehors de ce qu’il montrait d’habitude. IL devait être là. Protéger les gens étaient bien. Mais son cœur était-il à l’abri d’une nouvelle blessure ? Peut-être. Mais il devait faire face. Face à ce que la vie avait mis, montrer que sa volonté était celle d’être là pour ceux qui comptait. Il pose un regard sur la foule. Il ne voit rien. Il est pitoyable. Il n’est même pas au courant de ce qui se passe. Mais la peur de perdre quelqu’un qui comptait avait pris le dessus. Il respira à fond, fouillant dans ses poches. Il sortit de cette dernière un porte-bonheur, donné par son petit frère. Depuis quand était-il là ? Mais il le trouva à cet instant. Il porta l’objet à son nez et son odeur le calma. Il avait eu ce besoin de se recentrer. Il devait croire à la capacité de ces personnes. Après tout, ils étaient forts. Bien plus que lui. Il respira, inspira, puis d’un coup. Il lança un souhait si bas.
« Je serai là... »
Pour qui ? Pour les gens, présentement oui. Il espérait que l’évacuation finirait par se faire. Il restait là.
« Désolé Mégumi. Tu sais, la peur ça fait faire n’importe quoi. »
Il laisse échapper un rire qui est factice. Il tendrait la main vers ceux qui reviendrait. Leur ferait un repas digne de lui et même plus. Car il voulait tout partager. Avait-il bien fait ? Il le saurait sûrement plus tard.
Naoki reste avec les gens à la route arc-en-ciel, malgré les explosions. Il est un peu déchiré par ce qu'il ressent. Il s'inquiète pour les autres. Il craque, mais reste à son endroit en espérant que les secours arrivent.
Se cachant pitoyablement par sa manche, il se tenait droit. Il voulait que cette folie cesse. Il voulait retrouver ces personnes qu’il avait compté dans son cœur. Ceux qui l’avait en dehors de ce qu’il montrait d’habitude. IL devait être là. Protéger les gens étaient bien. Mais son cœur était-il à l’abri d’une nouvelle blessure ? Peut-être. Mais il devait faire face. Face à ce que la vie avait mis, montrer que sa volonté était celle d’être là pour ceux qui comptait. Il pose un regard sur la foule. Il ne voit rien. Il est pitoyable. Il n’est même pas au courant de ce qui se passe. Mais la peur de perdre quelqu’un qui comptait avait pris le dessus. Il respira à fond, fouillant dans ses poches. Il sortit de cette dernière un porte-bonheur, donné par son petit frère. Depuis quand était-il là ? Mais il le trouva à cet instant. Il porta l’objet à son nez et son odeur le calma. Il avait eu ce besoin de se recentrer. Il devait croire à la capacité de ces personnes. Après tout, ils étaient forts. Bien plus que lui. Il respira, inspira, puis d’un coup. Il lança un souhait si bas.
« Je serai là... »
Pour qui ? Pour les gens, présentement oui. Il espérait que l’évacuation finirait par se faire. Il restait là.
« Désolé Mégumi. Tu sais, la peur ça fait faire n’importe quoi. »
Il laisse échapper un rire qui est factice. Il tendrait la main vers ceux qui reviendrait. Leur ferait un repas digne de lui et même plus. Car il voulait tout partager. Avait-il bien fait ? Il le saurait sûrement plus tard.
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- arme blanche : Couteau de cuisine
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# Re: Event FestivalMar 27 Déc - 23:35
Avez-vous déjà conduit une voiture... Êtes-vous déjà partit d'un point A à un point B... et n'avoir strictement aucun souvenirs du voyage ? Vous rendre compte que vous avez parcouru un long chemin uniquement au moment où vous arriviez à destination ? Ce sentiment d'être dans le présent pendant la route et pourtant le plus grand flou quand vous essayiez de vous en rappeler ? C'est ce que vivait notre très cher Toichi en ce moment même. Il ignorait comment il avançait, mais il le faisait. Même les explosions derrière lui ne l'avait dérangé. Au contraire, peut-être que le surplus d'énergie était arrivé jusqu'à lui le boostant plus loin encore qu'il ne le pouvait habituellement.
Ou bien était-ce son cœur qui si fort battait dans sa poitrine ? Ou la flamme peut-être bien trop lumineuse qui ne l'aveuglait pas mais le guidait ? Il n'était guère nécessaire de répondre à ces questions, car il n'y aurait jamais de réponse. Ni aujourd'hui, ni demain. C'était comme si il était devenu pure énergie. L'énergie de retrouver un ami en danger. Un ami... un ami dont il aurait voulu se rapprocher. Un ami dont il n'était pas sûr qu'il pouvait nommer ainsi. Car la scène qui le réveilla de cette dissociation était étrange. Voir problématique. Il n'arrivait pas à entendre ce qu'il se passait, ses oreilles sifflant violemment entre les explosions et l'effort qu'il venait de dépenser. La glace enveloppait les rivaux, mais au contraire des histoires qu'il avait pu lire, ce n'était pas une action du méchant désigné et il ne savait pas comment le prendre. Comme pour protéger son coeur, son cerveau partit sur le sacrifice. Bien sûr. C'était un sacrifice pour les aider. Une personne un tant soit peu mauvaise ne pouvait pas sourire ainsi, n'est-ce pas ? Pourtant, les mains des rivaux en miroir ne pouvait laisser le doute. Les deux avaient été acteurs dans leur... situation.
Le sifflement dans ses oreilles ne pouvaient vaincre le cris d'Arun. Il avait toujours eu une sacré voix celui-là, pas étonnant qu'elle porte autant. Cela lui fit tourner la tête, alors qu'il se rendait compte que lui-même pleurait. Il n'avait jamais vu cet ami inattendu dans cet état et ça lui brisait le cœur. Le poids émotionnel commençait à peser et lui rappela la personne qu'il portait. Dans un sursaut, il déposa Rihan, qui lui aussi était dans un état pitoyable.
Oh bordel tout ce sang.
Comment est-ce que Toichi tenait encore debout, lui-même l'ignorait. En fait il n'était pas sûr de sentir son propre corps ou sa propre flamme. Il avança d'un pas. Puis deux. Puis quatre. Lentement, il arriva enfin aux côtés de Zuran, complètement gelé. Dans un geste désespéré, il posa sa main sur la glace, voulant la faire fondre. A la place, la glace lui brûla la lui brûla. Il regarda sa paume. L'instinct était un outil merveilleux. Un peu plus et il aurait peut-être perdu ses empreintes digitales. Il redressa la tête à nouveau. Regarda Zuran. Shilia. Zuran. Il n'arrivait pas à être en colère contre Shilia. Ou Zuran. Ou qui que ce soit. Il était juste... triste. Peut-être la tristesse la plus pure et la plus vrai qu'il ait pu ressentir jusqu'ici. Car devant ses yeux, ses rêves, ses espoirs, ses plans futurs, tout passait à grande vitesse pour finir gelé, eux-aussi. Seul ses larmes étaient encore un tant soit peu chaudes.
"... Pourquoi t'es parti, Zuran ?" arriva-t-il à dire entre deux hoquets. "On avait encore tant de chose à faire ensemble..."
Il regarda sa main.
"Aller au lycée... Regarder cet anime dont je t'avais parlé..."
Il redressa sa tête.
"Discuter de Namimori ensemble... Discuter de tes rêves..."
Il se rapprocha de la glace.
"On a pas pu se connaître... Putain, je voulais vraiment te connaître. J'aurais dû être impatient, hein ?"
Il ferma les yeux, pleurant encore.
"Même cette histoire de mafia là... J'y ai rien compris et j'y comprends encore pas grand chose... Si ce n'est que... que ça t'as mené là..."
Il serra les poings.
"C'était quoi ton plan... Tes plans ? Qu'est-ce que tu voulais qu'on fasse ensemble... ?"
Il rouvrit les yeux, se remettant soudainement droit et parlant plus fort, peut-être hurlant ?
"... Tout ce que je sais, c'est que t'aimais Namimori ! J'y ai jamais vécu, mais ça, je l'ai bien sentis ! C'est pas juste.."
Il inspira (ou renifla).
"Alors j'abandonnerais pas ce rêve-là. Même en ton absence, je la protégerai !"
Et dans un mouvement presque fou, il plaqua une partie de son visage contre la glace. La douleur le ramenait à son corps. Ça y est, il sentait la fatigue. Les tremblements. Les crampes. La Flamme. La Glace. Et malgré son instinct qui lui hurlait de reculer, il ne le fit pas immédiatement. Serrant les dents et grognant, il appuya même encore plus. Puis il recula brutalement, y laissant clairement de la peau et saignant lui aussi. Putain que ça faisait mal. Mais il avait besoin d'un rappel. Un rappel chaque matin. Un rappel pour tout le monde aussi. Il avait si mal physiquement, il était même assez certain qu'il avait cramé son œil. Mais ce rappel... Ce symbole... Il était nécessaire.
"... J'te le promets Zuran."
Arrivant au dernier moment du combat entre Zuran et Shilia, Toichi ne put rien faire. Choqué, il fit la promesse à Zuran de protéger Namimori à sa place, se gelant la moitié du visage avec la glace provoqué par son ami.
Something Wicked this way come... |
Avez-vous déjà conduit une voiture... Êtes-vous déjà partit d'un point A à un point B... et n'avoir strictement aucun souvenirs du voyage ? Vous rendre compte que vous avez parcouru un long chemin uniquement au moment où vous arriviez à destination ? Ce sentiment d'être dans le présent pendant la route et pourtant le plus grand flou quand vous essayiez de vous en rappeler ? C'est ce que vivait notre très cher Toichi en ce moment même. Il ignorait comment il avançait, mais il le faisait. Même les explosions derrière lui ne l'avait dérangé. Au contraire, peut-être que le surplus d'énergie était arrivé jusqu'à lui le boostant plus loin encore qu'il ne le pouvait habituellement.
Ou bien était-ce son cœur qui si fort battait dans sa poitrine ? Ou la flamme peut-être bien trop lumineuse qui ne l'aveuglait pas mais le guidait ? Il n'était guère nécessaire de répondre à ces questions, car il n'y aurait jamais de réponse. Ni aujourd'hui, ni demain. C'était comme si il était devenu pure énergie. L'énergie de retrouver un ami en danger. Un ami... un ami dont il aurait voulu se rapprocher. Un ami dont il n'était pas sûr qu'il pouvait nommer ainsi. Car la scène qui le réveilla de cette dissociation était étrange. Voir problématique. Il n'arrivait pas à entendre ce qu'il se passait, ses oreilles sifflant violemment entre les explosions et l'effort qu'il venait de dépenser. La glace enveloppait les rivaux, mais au contraire des histoires qu'il avait pu lire, ce n'était pas une action du méchant désigné et il ne savait pas comment le prendre. Comme pour protéger son coeur, son cerveau partit sur le sacrifice. Bien sûr. C'était un sacrifice pour les aider. Une personne un tant soit peu mauvaise ne pouvait pas sourire ainsi, n'est-ce pas ? Pourtant, les mains des rivaux en miroir ne pouvait laisser le doute. Les deux avaient été acteurs dans leur... situation.
Le sifflement dans ses oreilles ne pouvaient vaincre le cris d'Arun. Il avait toujours eu une sacré voix celui-là, pas étonnant qu'elle porte autant. Cela lui fit tourner la tête, alors qu'il se rendait compte que lui-même pleurait. Il n'avait jamais vu cet ami inattendu dans cet état et ça lui brisait le cœur. Le poids émotionnel commençait à peser et lui rappela la personne qu'il portait. Dans un sursaut, il déposa Rihan, qui lui aussi était dans un état pitoyable.
Oh bordel tout ce sang.
Comment est-ce que Toichi tenait encore debout, lui-même l'ignorait. En fait il n'était pas sûr de sentir son propre corps ou sa propre flamme. Il avança d'un pas. Puis deux. Puis quatre. Lentement, il arriva enfin aux côtés de Zuran, complètement gelé. Dans un geste désespéré, il posa sa main sur la glace, voulant la faire fondre. A la place, la glace lui brûla la lui brûla. Il regarda sa paume. L'instinct était un outil merveilleux. Un peu plus et il aurait peut-être perdu ses empreintes digitales. Il redressa la tête à nouveau. Regarda Zuran. Shilia. Zuran. Il n'arrivait pas à être en colère contre Shilia. Ou Zuran. Ou qui que ce soit. Il était juste... triste. Peut-être la tristesse la plus pure et la plus vrai qu'il ait pu ressentir jusqu'ici. Car devant ses yeux, ses rêves, ses espoirs, ses plans futurs, tout passait à grande vitesse pour finir gelé, eux-aussi. Seul ses larmes étaient encore un tant soit peu chaudes.
"... Pourquoi t'es parti, Zuran ?" arriva-t-il à dire entre deux hoquets. "On avait encore tant de chose à faire ensemble..."
Il regarda sa main.
"Aller au lycée... Regarder cet anime dont je t'avais parlé..."
Il redressa sa tête.
"Discuter de Namimori ensemble... Discuter de tes rêves..."
Il se rapprocha de la glace.
"On a pas pu se connaître... Putain, je voulais vraiment te connaître. J'aurais dû être impatient, hein ?"
Il ferma les yeux, pleurant encore.
"Même cette histoire de mafia là... J'y ai rien compris et j'y comprends encore pas grand chose... Si ce n'est que... que ça t'as mené là..."
Il serra les poings.
"C'était quoi ton plan... Tes plans ? Qu'est-ce que tu voulais qu'on fasse ensemble... ?"
Il rouvrit les yeux, se remettant soudainement droit et parlant plus fort, peut-être hurlant ?
"... Tout ce que je sais, c'est que t'aimais Namimori ! J'y ai jamais vécu, mais ça, je l'ai bien sentis ! C'est pas juste.."
Il inspira (ou renifla).
"Alors j'abandonnerais pas ce rêve-là. Même en ton absence, je la protégerai !"
Et dans un mouvement presque fou, il plaqua une partie de son visage contre la glace. La douleur le ramenait à son corps. Ça y est, il sentait la fatigue. Les tremblements. Les crampes. La Flamme. La Glace. Et malgré son instinct qui lui hurlait de reculer, il ne le fit pas immédiatement. Serrant les dents et grognant, il appuya même encore plus. Puis il recula brutalement, y laissant clairement de la peau et saignant lui aussi. Putain que ça faisait mal. Mais il avait besoin d'un rappel. Un rappel chaque matin. Un rappel pour tout le monde aussi. Il avait si mal physiquement, il était même assez certain qu'il avait cramé son œil. Mais ce rappel... Ce symbole... Il était nécessaire.
"... J'te le promets Zuran."
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Arrivant au dernier moment du combat entre Zuran et Shilia, Toichi ne put rien faire. Choqué, il fit la promesse à Zuran de protéger Namimori à sa place, se gelant la moitié du visage avec la glace provoqué par son ami.
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# Re: Event FestivalMer 28 Déc - 0:34
Comme un murmure quand on est plongé sous l'eau. Un son étouffé car le corps est totalement immergé. Mais il l'avait entendu, Zuran a entendu son ami hurler à la mort. Au final, ce n'était pas la glace technique de l'emprisonnement cristallisé qui avait glacé son sang. Alors il ouvrait les yeux et voyait quasiment tout ses amis s'approcher de sa nouvelle prison et réagir à sa mort... Mais pourtant il était bel et bien là, bel et bien présent.
Merde... Si Shilia n'avait pas répondu à son attaque alors il aurait pu rester à leur côté. C'était injuste... Zuran a été victime d'un harcèlement massif de Shilia et a vu ses proches mourir et pourtant il se retrouve bloqué avec son plus grand ennemi... C'était injuste. Sa présence dans la glace faisait subir à ses proches exactement la même chose qu'il a subit en perdant les siens. C'était injuste. Tout ça parce qu'il avait été enrôlé de force dans un rôle qui ne lui convenait pas et qui ne dépendait pas de sa volonté. C'était injuste. On lui a détruit sa vie pour le bien commun... Pourtant tout le monde a l'air de souffrir de le voir comme ça. C'était injuste... Il n'y avait aucun bien qui émanait de tout ce qu'il s'était passé depuis le début.
Et c'est pendant que Toichi se brisait physiquement que le cœur détruit par les mains de Shilia venait à briller de mille feux. Une flamme de la Dernière Volonté qui ne s'était jamais montrée aussi lumineuse, aussi animée... Aussi vivante. Une flamme bien localisée qui finit par se répandre dans tout le corps de Zuran et entourer le jeune malentendant comme si l'âme n'avait jamais été aussi puissante avant aujourd'hui.
Et c'est alors que le corps du parrain donnait l'impression de se dédoubler et que l'une des deux copies arrivait à se hisser à travers la glace. La rage de vivre était tellement violente qu'il arrivait littéralement par la puissance de sa volonté à quitter la prison la plus parfaite au monde. Pour au final arriver sur un Zuran se tenant juste derrière Toichi avant de le tirer en arrière et de le serrer dans ses bras.
- Arrête... Dit-il. Tu n'as pas à t'infliger ça Toichi ! Poursuit-il avant de se mettre au milieu de tout le monde. Personne n'a à me pleurer ! Je ne suis pas mort ! Avoue-t-il en pointant Shilia du doigt. Et lui non plus d'ailleurs. Finit-il brutalement avant de s'approcher de Arun.
Il lui tendait la main, une main facile à traverser si on ne se concentrait pas. Zuran n'était apparemment pas totalement sorti, mais il l'était assez pour faire ressentir la chaleur de sa main à son meilleur ami. La chaleur d'un vivant. Mais il sentait déjà ses forces s'épuiser alors qu'il maîtrisait déjà très bien sa flamme après tout les entraînements qu'il avait subi. Il avait la sensation... De ressentir exactement la même fatigue que lorsqu'il avait utilisé ses capacités pour la première fois... Pourquoi ? Pourquoi il tenait si peu ? En sachant son temps compté, il reprenait la parole de plus belle.
- Désolé les amis... J'ai appris durant mon combat que Shilia était tout bonnement immortel et ma seule solution pour l'arrêter était de l'enfermer dans ma glace... Je ne pensais pas qu'il réussirait à me forcer à rester avec lui... Reprend-t-il l'air attristé. Mais j'arrive à sortir dehors. J'arrive à penser, à voir, à entendre, ressentir et je vous promets que je reviendrais face à vous de manière physique. Promet-il à tout ses amis. Je ne suis pas mort et si Shilia et physiquement immortel alors je veillerai à l'être spirituellement pour ne plus jamais perdre et qu'on puisse rester ensemble. Continue-t-il alors que son corps se confond avec les couleurs de la vie. La seule chose que je vous demande c'est... Promettez moi de ne plus jamais faire parti de la mafia et de me rejoindre pour la détruire quand le moment sera venu... Je ne veux plus vivre en versant mon sang et celui de mes amis, on doit arrêter tout ça. Dit-il avant de disparaître à nouveau dans la glace.
Une promesse à devoir être gravée dans le marbre, une promesse gelée dans la glace. La fin des Vongola touche à son terme... Le début d'une nouvelle ère commence. L'ère où la mafia se doit de mourir.
Merde... Si Shilia n'avait pas répondu à son attaque alors il aurait pu rester à leur côté. C'était injuste... Zuran a été victime d'un harcèlement massif de Shilia et a vu ses proches mourir et pourtant il se retrouve bloqué avec son plus grand ennemi... C'était injuste. Sa présence dans la glace faisait subir à ses proches exactement la même chose qu'il a subit en perdant les siens. C'était injuste. Tout ça parce qu'il avait été enrôlé de force dans un rôle qui ne lui convenait pas et qui ne dépendait pas de sa volonté. C'était injuste. On lui a détruit sa vie pour le bien commun... Pourtant tout le monde a l'air de souffrir de le voir comme ça. C'était injuste... Il n'y avait aucun bien qui émanait de tout ce qu'il s'était passé depuis le début.
Il faut juste arrêter tout ça.
Et c'est pendant que Toichi se brisait physiquement que le cœur détruit par les mains de Shilia venait à briller de mille feux. Une flamme de la Dernière Volonté qui ne s'était jamais montrée aussi lumineuse, aussi animée... Aussi vivante. Une flamme bien localisée qui finit par se répandre dans tout le corps de Zuran et entourer le jeune malentendant comme si l'âme n'avait jamais été aussi puissante avant aujourd'hui.
Et c'est alors que le corps du parrain donnait l'impression de se dédoubler et que l'une des deux copies arrivait à se hisser à travers la glace. La rage de vivre était tellement violente qu'il arrivait littéralement par la puissance de sa volonté à quitter la prison la plus parfaite au monde. Pour au final arriver sur un Zuran se tenant juste derrière Toichi avant de le tirer en arrière et de le serrer dans ses bras.
- Arrête... Dit-il. Tu n'as pas à t'infliger ça Toichi ! Poursuit-il avant de se mettre au milieu de tout le monde. Personne n'a à me pleurer ! Je ne suis pas mort ! Avoue-t-il en pointant Shilia du doigt. Et lui non plus d'ailleurs. Finit-il brutalement avant de s'approcher de Arun.
Il lui tendait la main, une main facile à traverser si on ne se concentrait pas. Zuran n'était apparemment pas totalement sorti, mais il l'était assez pour faire ressentir la chaleur de sa main à son meilleur ami. La chaleur d'un vivant. Mais il sentait déjà ses forces s'épuiser alors qu'il maîtrisait déjà très bien sa flamme après tout les entraînements qu'il avait subi. Il avait la sensation... De ressentir exactement la même fatigue que lorsqu'il avait utilisé ses capacités pour la première fois... Pourquoi ? Pourquoi il tenait si peu ? En sachant son temps compté, il reprenait la parole de plus belle.
- Désolé les amis... J'ai appris durant mon combat que Shilia était tout bonnement immortel et ma seule solution pour l'arrêter était de l'enfermer dans ma glace... Je ne pensais pas qu'il réussirait à me forcer à rester avec lui... Reprend-t-il l'air attristé. Mais j'arrive à sortir dehors. J'arrive à penser, à voir, à entendre, ressentir et je vous promets que je reviendrais face à vous de manière physique. Promet-il à tout ses amis. Je ne suis pas mort et si Shilia et physiquement immortel alors je veillerai à l'être spirituellement pour ne plus jamais perdre et qu'on puisse rester ensemble. Continue-t-il alors que son corps se confond avec les couleurs de la vie. La seule chose que je vous demande c'est... Promettez moi de ne plus jamais faire parti de la mafia et de me rejoindre pour la détruire quand le moment sera venu... Je ne veux plus vivre en versant mon sang et celui de mes amis, on doit arrêter tout ça. Dit-il avant de disparaître à nouveau dans la glace.
Une promesse à devoir être gravée dans le marbre, une promesse gelée dans la glace. La fin des Vongola touche à son terme... Le début d'une nouvelle ère commence. L'ère où la mafia se doit de mourir.
en bref
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# Re: Event FestivalMer 28 Déc - 12:31
Résumé : Rihan promet à Zuran de s'occuper de ses gardiens.
Event Festival
Partie 3 - Tour 5
Dans quelle situation était-il vraiment exactement ?
Il n'en savait rien. Ce qu'il voyait lui semblait sur-réaliste... Zuran était en dehors mais dedans ? Il avait déjà vu ça... Son « père » l'avait fait... Est-ce que c'était une forme de projection astrale avancée ? Est-ce qu'il allait agir comme un démon dans Supernatural et posséder les autre ? Zuran le démon, il n'y aurait jamais cru.
Seulement, là, il venait de demander à ses gardiens de faire quelque chose d’extrêmement dur. Il venait de les clouer sur place encore plus que ça devait l'être à la base. Rihan se redressa malgré la douleur, toujours sous coc' pour tenir le coup. Il avança jusqu'à être au milieu des deux gardiens, face à Zuran. Arun ne tournait pas de l’œil, il restait fixé dans le regard de son meilleur ami. Par contre, Toichi s'était évanoui.
« T'es vraiment un petit connard avec beaucoup de chatte Kitamura. »
Il ricana malgré lui. Il voyait tellement de trucs chelous depuis toujours qu'un de plus, ou un de moins... La seule chose qu'il voyait c'est que les deux garçons de Namimori était en vie. Peu importe la façon dont il l'était.
Alors il redressa Toichi en princesse contre lui, sa balle dans le torse saignait encore plus. Sa flamme s'activa pour tenir le coup. Une flamme de nuage parfaite trônait sur son front. Les ombres, peut-être des esprits entouraient son corps pour l'aider à tenir, comme des bandes de soutien musculaire.
Puis sa main se mit sur l'épaule d'Arun et la serra.
« Je m'occuperai d'eux jusqu'à ton retour. »
Son regard se fixa sur lui, puis il sourit de côté, rarissime, quand le Zuran disparut.
Il n'en savait rien. Ce qu'il voyait lui semblait sur-réaliste... Zuran était en dehors mais dedans ? Il avait déjà vu ça... Son « père » l'avait fait... Est-ce que c'était une forme de projection astrale avancée ? Est-ce qu'il allait agir comme un démon dans Supernatural et posséder les autre ? Zuran le démon, il n'y aurait jamais cru.
Seulement, là, il venait de demander à ses gardiens de faire quelque chose d’extrêmement dur. Il venait de les clouer sur place encore plus que ça devait l'être à la base. Rihan se redressa malgré la douleur, toujours sous coc' pour tenir le coup. Il avança jusqu'à être au milieu des deux gardiens, face à Zuran. Arun ne tournait pas de l’œil, il restait fixé dans le regard de son meilleur ami. Par contre, Toichi s'était évanoui.
« T'es vraiment un petit connard avec beaucoup de chatte Kitamura. »
Il ricana malgré lui. Il voyait tellement de trucs chelous depuis toujours qu'un de plus, ou un de moins... La seule chose qu'il voyait c'est que les deux garçons de Namimori était en vie. Peu importe la façon dont il l'était.
Alors il redressa Toichi en princesse contre lui, sa balle dans le torse saignait encore plus. Sa flamme s'activa pour tenir le coup. Une flamme de nuage parfaite trônait sur son front. Les ombres, peut-être des esprits entouraient son corps pour l'aider à tenir, comme des bandes de soutien musculaire.
Puis sa main se mit sur l'épaule d'Arun et la serra.
« Je m'occuperai d'eux jusqu'à ton retour. »
Son regard se fixa sur lui, puis il sourit de côté, rarissime, quand le Zuran disparut.
Codage by Lamire~
Résumé : Rihan promet à Zuran de s'occuper de ses gardiens.
en bref
Inventaire : - Arme contondante moyenne : batte cloutée.
- Petite arme blanche : poing américain.
-poing américain
- Kit de nettoyage
-Balle de la Dernière Volonté (?)
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# Re: Event FestivalMer 28 Déc - 12:40
Event Festival
Partie 3 - Tour 5
Résumés :
Zuran et Shilia s'affrontent. Le serpent aura révéler des informations difficiles à croire suivies de plusieurs preuves. Zuran a entendu raison mais a décidé de se piéger avec Shilia dans une technique secrète des Vongola. Zuran montre un visage froid et effrayant au serpent avant d'être figé dans la glace.
Arun est face au combat Zuran/Shilia; pas ouf.
Arrivant au dernier moment du combat entre Zuran et Shilia, Toichi ne put rien faire. Choqué, il fit la promesse à Zuran de protéger Namimori à sa place, se gelant la moitié du visage avec la glace provoqué par son ami.
Après s'être gelé avec Shilia, Zuran réussit quand même à séparer son "âme"(?) de son corps après avoir entendu les hurlements d'Arun. Il empêche aussi Toichi de trop se défigurer. Utilisant ses dernières forces pour leur parler, Zuran fait promettre à ses deux amis de ne plus faire partit de la mafia, voir de la détruire pour éviter encore plus d'injustice.
Rihan promet à Zuran de s'occuper de ses gardiens.
Sakura reste prés de Kamichi, lui laissant une place de premier ordre sur le combat de Zuran et Shilia. Sa fourchette a la main elle ne bougera pas d'un pouce avant l'arriver des secours.
Suite à la tentative de meurtre de Zuran, BOOM, Namimori explose. Eden, sous flamme, finit par se débarrasser du détonateur, récupère son portable et part en quête du leader, qu'elle ne retrouvera pas.
Naoki reste avec les gens à la route arc-en-ciel, malgré les explosions. Il est un peu déchiré par ce qu'il ressent. Il s'inquiète pour les autres. Il craque, mais reste à son endroit en espérant que les secours arrivent.
Yuri met à l'écart l'homme qu'elle a découvert. Aucune information en plus.
Les Vindices vont prendre la glace où se trouve Shilia & Zuran. Guidé par un bébé aux cheveux blancs et aux yeux d'un bleu éclair, ils ont traversé la ville sans un bruit. La ville qui après une épiphanie de la flamme, la réveillant chez tous les présents de Namimori, a sombré dans un silence lugubre, sombre.
Main dans la main, La mafia mexicaine, la police et les autres mafias locales ont aidé les civils comme il pouvait. L'hôpital a été saturé.
Puis après une ou deux semaines, Namimori s'est relevé; comme si de rien n'était. On a parlé de moment de folie collective... Mais la vérité c'est que dans le monde classique, personne ne sait ce qu'il s'est passé.
Dans le monde de l'ombre au contraire, on se demande comment et pourquoi ça s'est passé...
Nous sommes à la fin de cette histoire.
Nous sommes au début de la nouvelle.
Le premier futur est mort, celui-ci sera un nouveau.
Zuran et Shilia s'affrontent. Le serpent aura révéler des informations difficiles à croire suivies de plusieurs preuves. Zuran a entendu raison mais a décidé de se piéger avec Shilia dans une technique secrète des Vongola. Zuran montre un visage froid et effrayant au serpent avant d'être figé dans la glace.
Arun est face au combat Zuran/Shilia; pas ouf.
Arrivant au dernier moment du combat entre Zuran et Shilia, Toichi ne put rien faire. Choqué, il fit la promesse à Zuran de protéger Namimori à sa place, se gelant la moitié du visage avec la glace provoqué par son ami.
Après s'être gelé avec Shilia, Zuran réussit quand même à séparer son "âme"(?) de son corps après avoir entendu les hurlements d'Arun. Il empêche aussi Toichi de trop se défigurer. Utilisant ses dernières forces pour leur parler, Zuran fait promettre à ses deux amis de ne plus faire partit de la mafia, voir de la détruire pour éviter encore plus d'injustice.
Rihan promet à Zuran de s'occuper de ses gardiens.
Sakura reste prés de Kamichi, lui laissant une place de premier ordre sur le combat de Zuran et Shilia. Sa fourchette a la main elle ne bougera pas d'un pouce avant l'arriver des secours.
Suite à la tentative de meurtre de Zuran, BOOM, Namimori explose. Eden, sous flamme, finit par se débarrasser du détonateur, récupère son portable et part en quête du leader, qu'elle ne retrouvera pas.
Naoki reste avec les gens à la route arc-en-ciel, malgré les explosions. Il est un peu déchiré par ce qu'il ressent. Il s'inquiète pour les autres. Il craque, mais reste à son endroit en espérant que les secours arrivent.
Yuri met à l'écart l'homme qu'elle a découvert. Aucune information en plus.
Les Vindices vont prendre la glace où se trouve Shilia & Zuran. Guidé par un bébé aux cheveux blancs et aux yeux d'un bleu éclair, ils ont traversé la ville sans un bruit. La ville qui après une épiphanie de la flamme, la réveillant chez tous les présents de Namimori, a sombré dans un silence lugubre, sombre.
Main dans la main, La mafia mexicaine, la police et les autres mafias locales ont aidé les civils comme il pouvait. L'hôpital a été saturé.
Puis après une ou deux semaines, Namimori s'est relevé; comme si de rien n'était. On a parlé de moment de folie collective... Mais la vérité c'est que dans le monde classique, personne ne sait ce qu'il s'est passé.
Dans le monde de l'ombre au contraire, on se demande comment et pourquoi ça s'est passé...
Nous sommes à la fin de cette histoire.
Nous sommes au début de la nouvelle.
Le premier futur est mort, celui-ci sera un nouveau.
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