Jin passa une main de ces cheveux, agacé par tout ça. Vraiment depuis quand cette merde lui arrivait ? Lui incapable de bouger ? Lui qu’on retenait dans une cage dorée. Oh, il aimait cette vielle. Il y avait vécu le plus longtemps de toute son existence. Mais pourquoi à chaque fois qu’il voulait quitter ces terres pour explorer d’autres choses, il était retenu. Oui, il voulait faire son dojo ici. Oui, il avait réussi à accepter une ou deux personnes dans son entourage. Mais il n’était pas incapable. Et si pour ça il devait tuer. Il le ferait.

Il prit son katana, son pistolet, et mis son ensemble aussi noir que la nuit qui se profilait. Il y avait tant de personnes insignifiante. Les tuer n’apporterait qu’un vague soulagement. Il avait eu une mission. L’échouer était inconcevable. Il était un mercenaire de choix. Il devait frapper fort et bien. Quitter les terres qu’il aimait ne marquerai pas les habitants de cette ville. Ce ne serait qu’un événement banal. Donc se rabattre sur quelque chose de local.

Mon choix était posé, il ne restais qu’à faire en sorte que ce crime soit une alerte. Soit un avertissement. Le danger rôde et ce n’était pas qu’un adolescent rebelle qui en était le gérant. Il enfila ses gants avant de sortir dans la nuit dans les rues. Laissant dans son appartement, le chat. Habitué à ses horaires de nuit, le félin ne se leva pas. IL miaula vaguement avant de s’endormir à nouveau.

Le nuit laissait une odeur particulière au sang. Oh il savait que pour le moment, il devait entendre de sa planque la sortie de sa pauvre victime. Tout ça parce que je me sentais un peu coupable de pas réussir une mission. Quelque chose que je faisais normalement avec facilité. J’ai d’autres choses à mettre en place pour réussir ma mission personnelle. Cette disparition passera entre les mailles de certains filets, pas dans d’autres. Vu que je dois montrer que je suis capable de certaines choses…

Tout d’abord, le voix que je devais faire taire. Mettre au silence… L’intimer au silence était facile. Presque trop beau pour être vrai. Puis, je devais faire en sorte de faire bien, sans aucune trace. M’aidant de mon katana pour le couper sans une forme de pitié. La peur dans son regard ne lui faisant rien. Le refroidir n’a demandé que peu de temps. Nettoyer derrière un peu plus. Jin laissa aucun mot, sa façon de faire serait reconnue par certains. Mais c’était le but.