Prenom Nom : Nao Hazuki Age : 16 ans Genre : Féminin Metier : Lycéenne Situation romantique : Célibataire Date et ville de naissance : 1 mai à Sydney Flamme souhaitée : Pas de flamme  particulière. Flamme indésirable : Soleil Groupe : Mafia Avatar : Jean de Genshin impact

Histoire

Nao est née à Sydney,ses parents pensèrent y rester le reste de leurs vies. C’est à l’âge de trois ans que Nao débarqua Au japon, non loin de Nagasaki. Sa famille avait une maison au bord de l’océan. Ce fut là qu’elle allait grandir.

En grandissant, elle n’avait pas le droit d’avoir des goûts personnels, ses parents choisissaient toujours pour elle. Allant de son allure vestimentaire à son caractère, mais l’enfant ne pouvant se rebeller, elle dû se faire une bulle. Quand elle était seule et que nul ne pouvait la remarquer, Nao pouvait faire tout ce qu’elle désirait ! Petite elle aimait écouter de la musique, en essayant même de les chanter. Quand elle n’avait pas de musique ? L’enfant parla seule et faisait comme si elle avait des amis très proche, leurs parlant de ses peurs et de ses joies. Bien sûr elle en avait, mais des amis que ses parents choisissèrent pour elle. Généralement des enfants de personnes hauts placés ou riches comme eux. Sa vie n’était pas plaisante, mais elle s’y plia sans pouvoir faire quoi que ce soit.

Intérieurement elle n’était pas à l’aise avec sa famille, extérieurement elle avait toujours un sourire et une façade joyeuse ! Hors, cela n’était pas du tout le cas. Le  temps passant, Nao n’arrivait pas à exprimer ses goûts face aux autres, se laissant plonger dans cette pièce pseudo dramatique que pouvait être sa vie. Ses parents avaient déjà prévu une liste de choses qu’elle devrait faire dans la vie ! Cela afin de connaître le bonheur ! Mais le bonheur de qui ? C’est à partir de douze ans qu’elle commença à craquer les nuits, pleurant dans le silence avant de s’endormir et de cauchemarder… sa vie n’était qu’un tracé des désirs de ses parents. Ils avaient déjà ciblé la personne avec qui elle devrait se marier, le pire était que son père avait déjà arrangé quelques rencontres entre elle et son “futur époux”. Ce fut à partir de ce moment qu’elle se mit à comprendre que son père avait un lien avec la mafia, sa mère aussi. Alors que pouvait-elle être pour eux ? Un outil ? C’était le sentiment qu’elle abrita et cacha aux yeux de tous.

Un jour ses parents reçurent une invitation pour assister à un gala de charité, pour aider une association pour les enfants n’ayant pas la possibilité d’aller à l’école dû au manque d’argent de leurs familles. Nao douze ans devait accompagner ses parents, à leurs yeux, elle était un joyau. Un joyau bien travaillé. Lors de ce gala, la jeune fille allait vers qui ses parents l’envoyèrent restant polie, courtoise et respectueuse. Il y avait d’autres enfants, certains plus âgés d’autres plus jeunes. Elle ne pouvait pas aller vers eux comme elle rêvait de le faire. Adoptant juste l’approche que ses parents lui forcèrent de faire ! Elle put discuter avec la plupart d’entre eux. La conversation était simple, certains parlaient de l’entreprise de leurs parents qu’ils hériteraient, Nao ne pouvait qu’entrer dans le jeu et jouer de la façon dont ses parents voulaient qu’elle agisse. Son aspect heureux cacha si bien sa tristesse, sa haine et la douleur en son coeur. Personne n’arrivait à percer son masque, la jeune fille espérait tant que quelqu’un le découvre, mais ce n’était pas ceux intéressés par l’argent qui pourraient y parvenir. A la fin de ce gala, ses parents lui demandèrent si elle avait aimé le gala, ne pouvant pas dire ce qu’ils ne désiraient pas entendre, Nao ne pouvait que mentir en disant que le gala avait été superbe.

gée de quatorze ans, elle était toujours la poupée manipulée de ses parents. Un espoir de s’en sortir ? Possiblement, mais la jeune fille ne pouvait se défaire des fils de sa famille. Nao avait beau essayer d’en parler à quelqu’un, qu’un mutisme la prenait lors de ces moments, pour ensuite changer de sujet et dire autre chose. La blonde était fortement appréciée des garçons, tenant de sa mère australienne notre demoiselle avait une taille plus grande que la moyenne japonaise. Mais machinalement elle devait rejeter les avances des garçons face à elle, car on lui avait déjà trouver quelqu’un. C’est aussi à partir de ce moment qu’elle… Prit une décision. C’était le premier décembre, elle était venue face à ses parents.

“Papa, maman, j’aimerais avoir un chien !”

Le regard de ses parents face à cette demande changea en un regard sombre et froid, c’était pour Nao très effrayant, au point où elle faillit verser une larme, son père soupira froidement, il la regarda droit dans les yeux, lui rappelant qu’elle n’avait pas à prendre de décision ou d’avoir des choix.

“Nao, cela serait à l’encontre de ton bien être, n’y songe même pas ma chérie, un chien… Tu ne saurais même pas t’en occuper et de plus. Ton fiancé en a plusieurs de ce que j’ai entendu. De ce fait tu n’en as pas besoin.”

Elle voulut ouvrir de nouveau la bouche pour parler, mais non, elle s’inclina en  s’excusant de cette demande “absurde”. Retournant dans sa chambre, la nuit fut encore pluvieuse en son âme, la tristesse et la haine grandissant de plus en plus. Cela lui confirma que pour eux, elle n’était qu’un outil. Les larmes silencieuses coulèrent à flot.

Le lendemain, son père l’envoya chez son oncle, ce dernier devait la former pour qu’elle puisse se protéger en cas de danger. Son oncle la recevant prit peine à lire les instructions du père de la petite, soufflant en faisant de cette feuille une boule de papier et la mettant à la poubelle. Il avait bien entendu attendu que ce dernier soit parti. Regardant sa nièce il commença de suite à lui apprendre les bases des prises et aussi où frapper. Et en fin de journée…

“Dis moi ma grande, pourquoi tu suis strictement les moindres volontés et mots de tes parents ? Je vois bien que ce n’est pas ce que tu veux.”

Surprise, elle leva la tête avec les yeux commençant à être légèrement humide.

“Comment l’avez vous su ?
-Mon frère est un manipulateur. C’était facile de voir qu’il a fait de toi sa marionnette. Et si tu es là, c’est parce qu’il ne veut pas d’un outil déféctueux…
-Je… Ne dois pas désobéir…
-T’es chez moi, pas chez lui, t’as le droit de faire ce que tu désires ! Mais respecte les régles de MA maison et pas de la maison de ton vieux.”

Cet échange lui permis alors de se libérer un peu de l’emprise de ses parents. Nao avait enfin l’impression que quelqu’un allait pouvoir l’écouter et l’aider ! Notre jeune demoiselle apprit auprès de son oncle à se défendre, mais il lui apprit aussi à manier le couteau, l’aidant aussi à l’entraîner à son anglais. A sa grande surprise son oncle avait plus de savoir que son père, c’est une semaine après son arrivée chez son oncle qu’elle prit son courage à deux mains pour lui parler de ça.

“Tout votre savoir, d’où le tirez vous ?
-Ton père ne t’as rien dit ?
-Sur quoi ?
-Il est dans la mafia, tout comme ta mère, mais bon. Moi j’ai pris ma retraite et je ne suis même pas censé t’en parler. C’est tout ce que tu sauras sur ça, mais j’ai tout appris seul en lisant des livres et en appliquant ce que j’ai appris dedans c’est tout.
-Vraiment ?
-Oui, aller on cesse les questions et on reprend les révisions.”

Pendant encore trois semaines elle fut tranquille et put acquérir un peu plus de confiance en elle. Même si elle ne voulait pas faire face à ses parents tout de suite, Nao se prépara petit à petit pour un jour pouvoir dire non au chemin qu’on lui avait tracé.

Deux années s’écoulèrent, entre temps Nao avait assisté à des bals de bienfaisance et autres avec ses parents. L’été c’était chez son oncle qu’elle le passait. Bien consciente que le moment était venu, ses parents avaient invité son “fiancé”. Mais il ne vint pas, tombé malade apparemment, elle profita de ce jour pour se mettre face à son père et sa mère.

“Je ne veux pas que vous décidiez qui je dois épouser. Si je dois me marier, je choisirais moi-même la personne !
-Chérie, tu nous fais une petite crise d'adolescence, tu ne sais pas ce qui est bien pour toi on dirait.
-Mon coeur, je vais la remettre sur le bon chemin.”

Son père s'était levé brusquement, lui attrapant le poignet pour la tirer et la jeter au sol par la suite. Il n’hésita pas à la frapper sous le regard de la mère qui ne réagissait pas, trouvant cela naturel. Après quelques coups, les yeux larmoyant, son père l’envoya dans sa chambre l’enfermant. Elle ne put sortir de la maison le temps que ses bleus disparaissent. Et ce fut en fin juin qu’il fut annoncé qu’ils allaient l’envoyer à Namimori, seule dans un appartement qu’ils avaient acheté. Elle y fut envoyé pour fin juin. Mais des choses étranges se produisirent à Namimori, les flammes se mirent à apparaître, ce fut dans ce moment qu'elle découvrit la sienne.