La journée était nuageuse, autant physiquement que métaphoriquement pour plus d’une personne. Pour l’américain, la journée avait mal débuté, il n’avait plus de lait dans son frigo par oublie, il c’était cogner l’oreille sur son lit et il avait manqué de frapper en voiture un enfant qui courait sans faire attention dans la rue. De plus, comme il était encore nouveau on ne le mettait pas sur de cas un peu plus critique, pour en rajouter encore plus son partenaire était à l’hôpital avec sa femme qui accouchait. Bien pour lui ne vous détromper pas, mais vous savez comment c’est barbant d’être seul en voiture pour faire les randonner de surveillance? Mais, Jefferson étant un homme droit et résigné il enfila son uniforme, arriva au poste, salua les personnes présentes, prit son café pur, mais n’eut pas le temps de le finir que le chef de section le demanda, lui et le jeune Miky qui n’était même pas encore adulte pour la moitié du monde, et pour le japon aussi. C’était donc toujours très étrange pour Jefferson de le voir bosser comme policier. Avait-il suivi tous les cours nécessaires? C’était peut-être un stage… Faut dire, ils n’ont pas eu l’occasion de se taper la discute, enfaite, Jeff’ n’avais pas eu l’occasion ou avait pris ce temps pour faire la discute informative à qui que se soit depuis son arrivé. Bien sûr, prendre part à des discutions de tout et de rien et être amicale n’avais pas été omni, mais connaitre mieux ses compères était une autre chose. Mais, nouveau département, nouveaux pays, il n’avait pas sa place de questionner ce qui se tramait ici et au lieu d’y réfléchir trop, alla voir le chef.
» Jefferson Truesight présent chef. Quel est le problème que je dois régler?

L’homme à la tête de ce département de police lui demanda d’attendre que Miky arrive avant d’entrer dans les détails et ils ne les firent pas attendre bien longtemps. Jefferson apprit que le jeunot aussi n’avait pas de partenaire pour la journée, mais surtout qu’on venait de se faire signaler un vol à la petite bijouterie du coin. Les heures d’ouverture approchaient pour le public et c’est le caissier qui vient d’entrée et vue la bijouterie manquante qui les aurait contactés. Ce qui était demandé du duo temporaire était simple, allez voir les dégâts, interroger brièvement l’employé, le patron si possible et tenter de monter une liste de suspect. La justice avait été trop lente pour ce crime, et cela fit serrer les poings a notre justicier plus impliqué que la norme. Avec chance cela pourrait avoir un lien avec ceux qui avait causé du tord a sa mère et pourrait enfin coffré ses salauds, dans tous les cas il était bien déterminé à rendre les bijoux au propriétaire du magasin et la justice à ces criminels. Prenant une bonne inspiration pour se calmer un peu, du moins extérieurement pour ne pas foutre la trousse à son partenaire pour la journée, le non-natif se tourna vers son compère en lui tendant la main et offrant un sourire calme.
» Un plaisir de faire équipe avec vous collègue Sutton. Avec un peu de chance le voleur aura laissé des preuves faciles, dans tout le cas allons réglé se mal au plus vite.

Notre téméraire justicier arqua un sourcil en voyant la tête de Miky. Il avait beau « faire comme d’habitude », il y avait un truc qui n’allait pas, mais l’étranger ne pouvait pas mettre la main dessus. Serrant sa main de manière ferme pour la secouer doucement, Jefferson ne put s’empêcher de sourire avec le visage un peu amuser à entendre le japonais prononcé son nom avec un certain accent de manière a bien prononcé les consonnes. Ça manquait de fluidité, mais était tout de même correct en son fond.

» Ce n’est pas la peine d’étirée autant, mais ‘Ouuuui’ c’est bien ça.

Il lui sourit doucement amusé malgré qu’il était toujours intrigué, non perturbé ne vous méprenez pas, qu’un adolescent allait inspecter une scène de crime, et possédait sans doute une arme à feu… Néanmoins, si le chef du département avait mis un gamin et l’étranger ensemble, c’était soit, car il ne se souciait pas de ce crime ou le considérais comme cause perdue et envoyait les moins aptes selon lui à trouvé de quoi; Soit il prenait en considération les possibles discutions entre son ancien chef aux États-Unis ainsi qu’avais confiance en ce jeune Sutton. Dans tous les cas, les première impression et préjugé ne sont bons qu’à se tromper, alors Jeff’ verra bien ce que ce si jeune policier peut faire une fois sur place. Il a bien été engagé dans les forces de l’ordre ça ne doit pas être pour rien après tout.

Encore une fois, il fut légèrement surpris, par le fait de l’entendre avoir une voiture, à dix-huit ans. Il devait être bien enthousiasme de pouvoir conduire lui-même ou pensais au long terme des assurances pour avoir son permit et une voiture si tôt. Où avait-il eu l’argent pour une voiture? En espérant qu’il n’avait pas de problème d’argent pour payer les intérêts. Truesight s’en faisait surement trop, après tout il était dans la police, c’est une bonne paie, et un emploi respecté. Enfin, tant qu’on n’est pas corrompu. M’enfin, sans trop montrer l’étendue de ses pensées, Jeff’ hocha la tête, acceptant l’offre de prendre la voiture de Miky au lieu de la sienne. De toute façon s’il prendrait la sienne, il devrait se faire guider vu qu’il ne connaît pas encore le quartier pour aller à ce magasin sans aide externe. Après tout, il n’avait pas à faire souvent dans le quartier des magasins. Il suivit donc son collègue dehors à sa voiture et entra au côté passager. Durant le cours chemin Jeff ne posa pas beaucoup de questions et garda celle sur le boulot pour ne pas paraître impolie, de plus qu’il devait les entendre trop souvent pour être confortable. Les génies, ça existe, mais qui en rencontre vraiment? Pour ne pas être trop silencieux cependant, Jefferson fit un peu la discute.

» C’était une bonne opportunité de mémoriser le chemin pour le futur. Tu es de Namimori ou tu as ‘aussi’ été transféré? Au moins pour mon cas j’étais plus que volontiers. Dit, tu sembles avoir faim, j’crois avoir entendu ton ventre grondé… Envie de prendre un détour pour aller à une petite boulangerie se prendre des boites de douzaines de beignets? Jeffeson attendit quelques « longue » secondes avant de tourner la tête vers lui et reprendre. » C’était… je faisais une blague. Aux États-Unie, voir en Amérique, le stéréotype typique des policiers est de manger des beignets à longueur de shift, ha ha funny…

La mauvaise blague à part et le reste du court chemin de passé, le duo sortit de la voiture pour se diriger vers la porte de leur point d’enquête. Étant le premier sortie, Jefferson arriva le premier a celle-ci, la pancarte montrant « Fermé », cogna tout en montrant son insigne avant même que quelqu’un se présente pour ouvrir. Cela ne prit pas bien longtemps avant que celui qui avait signalé le cambriolage vienne leur ouvrir.

» Bon matin à vous, agent Truesight ainsi que mon collègue agent Sutton. Nous sommes ici pour le cambriolage de bijoux que nous avons été signalés. Comme le magasin semble vide autre que vous, j’imagine que c’est vous qui avez appelé? Pouvons-nous entrer et commencer l’investigation?
» O-oh, oui c’est bien moi qui suis appelé, je pensais pas que vous arriveriez si vite. Enchanté, moi c’est Miure. J-je vous en pris oui, entré. Le gérant ne devrait pas tarder non plus.

Notre policier se tourna vers son coéquipier pour lui faire signe d’un hochement de tête que tout était OK puis se retourna vers Miure et ensuite entré dans le magasin, voyant rapidement qu’une des places d’affichage de bijouterie brisé.

Leur discussion en chemin avait duré juste comme il le faut et Jefferson pouvait se dire qu’il avait au moins fait le pas de la discussion. Après, s’ils étaient tous deux des personnes à peu de paroles, tant bien que cela fasse que la discussion n’était pas de tout et rien inutilement. Le non-Nippon était aussi bien content qu’il ne posa pas de question sur son transfert, après tout cela ne fera que le mettre plus en colère face au crime, ce qui n’aurait pas été bien « bon » pour le criminel du cas actuel. Après tout son tempérament « Justicier » peut être un peu trop dans le côté violent. L’agent Truesight arqua un sourcil de curiosité à la réaction de l’employé face au nom de « Sutton », ce nom était populaire? Cela faisait un moment qu’il était au Japon, mais n’avais pas entendu les grands noms des gangs dangereuses du coin, principalement car le chef sachant son caractère, il aurait probablement fait trop de recherche et fait des actions trop précipitée en se mettant en danger. Mais la réaction avait capté son attention et il ferra une petite enquête dans son coin, mais plus tard, le moment était à résoudre le vol de bijoux.

Miure » Nettoyer? J’écoute assez de séries policières pour savoir de toucher le moins possible à la scène de crime. Je vous ai appelé directement après avoir vu les présentoirs cassés et je suis resté béat à vous attendre.

Le policier alla lui aussi près des présentoirs pour les inspecter à son tour, sans se mettre dans le chemin de Miky. Le jeune homme athlétique sortit des gants plastiques de ses poches et les enfila histoire de ne pas mettre ses empreintes, pour ensuite tasser doucement les quelques bouts de verre cassé et tâter ici et là l’intérieur des présentoirs.

Jefferson » Également, que pouvez-vous nous dire sur les bijoux vole? Ont-ils une certaine valeur? Ont-ils un artisan spécial? Peut-être une certaine rumeur, ou sont-il que du métal et des pierres mis ensemble sans importance?
Miure » Ah um… J-j’ai contacté le gérant tout de suite après avoir contacté la police, je me suis dit que c’était une bonne priorité d’appel. Pourquoi vous avez dit « merde »…? Pour ce qui est des bijoux, hm, le gérant pourrait vous en dire plus, je m’occupe principalement que de la caisse, je ne m’intéresse pas beaucoup aux spécifications désolées officier.

Malheureusement pour Jefferson il n’aurait pas d’information tout de suite. Il hocha simplement la tête puis regarda les autres bijoux et présentoirs, il y avait de bien jolis bijoux deux pas de distance de ceux volés qui semblais valoir pas mal aussi, alors pourquoi s’être contenté que d’une poigné? Ce n’était quand même pas un truc d’amourette si? Jefferson grimaça un peu à l’idée qu’on puisse commettre un crime par ou pour amour.

Jefferson » Perde sont temps à mettre en place un plan d’action, quoi que basique, pour le crime, et tout ça pour du métal et des roches qui brille?
Un soupire de dégout et de déception sortit de la bouche de Truesight avant de se déconcentré sur un des présentoirs, tassant les bouts de verre, avant de voir une marque de coupure sur le coin de ce dernier sur les cadres en bois, à force de s’approcher pour mieux boucher le bras a l’intérieur. La coupure de semblais pas vielle vue la couleur du bois à l’extérieur et intérieur de la marque. Des éclats de verre ne pourraient pas faire une coupure si profonde juste en se brisant… Jefferson sortit son bras du présentoir, et par inadvertance se coupa un peu avec la vitrine cassée, lâchant un petit grognement de mécontentement en regardant la faible coupure il fit de son mieux pour mettre cette dernière vers le haut et ne pas saigner sur la scène, ça serait un peu gênant. Cependant, en pensant à ne pas saigner, il remarqua une couleur qui ne correspondait pas dans le fond de la coupure du cadre.
Jefferson » Sutton, j’ai de quoi ici. À dernière nouvelle, du bois ça ne saigne pas, autre que de la sève…

C’était au tour de l’américain de sourire un peu amusé alors que Miky parla de la valeur des pierres précieuses. C’est sur que si on met un prix sur la chose cela avait plus de sens. Mais n’étant pas très matérialiste, surtout en vêtement et décoration, pour lui un diamant pouvait tout aussi bien être simplement une belle roche. Puis d’un point de vue plus pratique, voler des bijoux et autre, demande qu’il faut trouver une personne qui à l’argent pour les acheter à un prix convenable et donc plus de boulot. Si on veut de l’argent, on a qu’à travailler. Mais bon, le point principal était que le vol c’est mal. Jeff’, le bras avec la coupure en l’air, regarda son collègue amusé et haussa donc les épaules alors que ce dernier s’approcha avec un air qui en disait long, tendant un mouchoir que le blesser ne tarda pas a prendre et mettre de façon à arrêter le sang de couler sur lui.

» Merci, je sais bien que ça peut valoir une fortune. C’est quand même con selon moi du point de vue plus général. Je vais juste désinfecter et mettre un pansement.

Son sourire tourna avec une pointe un peu gênée, se couper ainsi, bravo quoi, pour ensuite accepté les clefs de la voiture du jeunot pour se dirigé vers la sortit et aller chercher la trousse de premier soin de l’agent Sutton.

Enlevant le mouchoir, la blessure avait presque déjà arrêté de saigner. Le policier alla chercher la trousse de soins et prit que le minimum; désinfecter la plaie, grimacer un peu dans le processus, puis mettre un pansement pour couvrir le tout ou presque et puis voilà! Cependant c’était juste assez de temps pour qu’il ne puisse pas faire partit de l’échange mentionnant la « potentielle » bagarre, c’était un détail de moins pour se dernier. Revenant dans la bijouterie juste au moment où Miky demanda l’accès aux caméras de surveillance.

Jefferson » On aurait dû commencer par là au début.
Miure » Je ne crois pas qu’il devrait tarder. Comme j’ai dit, je l’ai contacté en même temps que la police. C’est vous qui êtes arrivé aussi rapidement, ce qui est rassurant je dois dire. Je ne pensais pas la police si active. Le patron doit être tout juste réveillé à cette heure…

Jefferson hocha la tête doucement avec un sourire un peu fier de son boulot, en règle général, pas le fait qu’il se soit coupé comme un idiot, et du fait qu’ils avaient donné bonne impression et rassurance. Dans cette lancée il continua à observer la zone où les bijoux avaient été volés, puis regarda l’angle des caméras pour pouvoir anticiper un peu ce qui aurait pu arriver. Les marques de coupure restaient les plus intrigantes. C’est peu de temps après qu’un homme entra également dans la bijouterie, conflue et un peu irrité.

Patron » Miure, qu’est-ce qui...ihhhh ce passe ici bordel? La police maintenant? Tu m’expliques Miure??
Miure » Ou-oui, c’est comme je vous ai dit au téléphone, il y a eu un vol normal que j’ai contacté la police aussi… Ils ont été très rapide.
Jefferson » Enchanté, agent Truesight et Sutton déployé pour résoudre se qui c’est passé. Mon collègue et moi aimerions avoir accès à vos caméras de surveillance si possible.
Patron » Je m’attendais pas à voir les flics ici un jour… en même temps, des bijoux, un jour ça attire l’œil. Oui, les caméras, c’est par ici.

L’homme, supposément le patron du magasin de bijou, les amena a la petite sale au fond et alla dans la sale de surveillance où il chercha un instant pour les vidéos d’hier à se matin. Il ne manquait plus qu’à nos deux policiers de les observer, analyser et avec chance facilement mettre la main sur l’identité du voleur. Mais avec les coupures et tout, cela ne semble pas s’enligner pour être si simple…

Soupirant de nouveau de façon un peu dégoutée, mais aussi d’approbation malheureuse en hochant lentement la tête alors que Miky mentionna le petit dicton bien que trop vrai pour son gout. Ce faire rappeler qu’un simple bout de papier de « valeur » pouvait transformer la plupart des gens en chose inhumaine, même prête à se faire du mal à elle-même mit une boule au ventre du policier. Si un billet rendait fou, alors ce qu’un bijou pouvait faire… Juste à y réfléchir quelques secondes le fit soupirer de nouveau à la honte que l’être humain puisse tomber si bas malgré qu’il y avait des gens comme lui et Miky qui tentait d’instauré une vie sécuritaire et propre.

» On dit que c’est l’intelligence qui a fini par faire l’orgueil, qui nous a rendu ainsi, triste chose qu’est l’ironie de l’évolution.

Dire que les animaux eux n’avaient au fond d’eux aucune réelle différence autre que leur aptitude n’a s’adapter à leur environnement mieux que d’autre et que la seule chose qui différencie le caractère des animaux domestiques est leur maitre, l’homme lui à de multiple caractéristique. C’est à ce demander qui a commencera a être toxique envers sa propre espèce pour commencer se cercle vicieux qui ne s’arrêtera jamais.

Prenant son métier à cœur et, sans doute trop, au sérieux Jefferson avait l’œil aiguiser, l’intuition souvent juste, mais aussi l’oreille fine pour tout détail dans les scènes de crime. Ce n’était pas un robot bionique qui trouvait tout sur tout non plus, mais vous saisissez le principe. Pourtant malgré la grandeur du bâtiment qui était plutôt petit de surcroit bien fermé, on se saurait dit qu’entendre les sonorités des touches d’un téléphone, ou même une faible voix ou des grincements de statique émit par un appelle aurait toucher l’oreille de Jefferson dans ces circonstances. Mais sans trouvé cela étrange quand Miky vin lui faire par du tuyau sur la bagarre, il se critiqua intérieurement pour son manque de vigilance. Un détail d’échapper est un cas rallongé. Au moins cela allait de pair avec les taches rouges à l’intérieur des fissures du bois des caisses de bijoux, donc le tuyau ne devait pas être exagéré ou pipo. Dans toute circonstance, ils allaient bien le découvrir avec la preuve irréfutable des caméras de surveillance qui ne tarda pas à défilé sous leurs yeux.

» Alors là, c’est clair comme de l’eau de roche effectivement.

Sur l’écran de visionnage, deux personnes entra dans le magasin dont une qui était entrain de fumé. Sans réellement regarder plus que cela les bijoux en vente le duo se dirigea vers l’employé du moment qui les avait salués poliment au départ avant d’apporter une pose plus nerveuse. Heureusement que ce n’était pas qu’une simple caméra de surveillance à image, on pouvait clairement entendre la conversassions qui s’engageait entre les trois personnes. Évidemment, le thème de la discutions plus tôt n’avait pas tombé dans l’oreille d’un sourd. « Prêt », « argent », « Miure », « L’patron ». Le jeune homme qui maintenant s’occupait de la caisse semblait être dans de gros problème d’argent avec un certain groupe de gens peu recommandable puisqu’ils commencèrent à heurter les vitrines avec quelque chose de métallique difficiles à identifier de par la caméra. Un des arrivants après plus de discussions avec l’employé finit par le prendre par la tête et la heurter sur le comptoir avant de briser la vitrine que les deux policiers venaient d’inspecter. La victime se releva difficilement, mais le collègue de l’agresseur passa derrière le comptoir pour le plaquer de façon brusque au mur tout en lui assaillant un coup violent dans les côtes. Le pauvre tenta de résister un tant soit peu pour pouvoir mieux respiré, mais fini par se faire rué de coups avec se qui semblais avoir causer un reflet de lumière pendant un des coups, puis lancée vers la caisse de présentoir casser ou le bois cassé lui érafla le bras.

La scène se finit avec les deux hommes sortant du magasin avec une petite poigner de bijoux. Le gérant resta bouche bée un instant après ce visionnage et se mit dans tous ses états par la suite.

» On n’a pas leur nom ni celui de leur groupe. Mais on a de bonnes images et ils ne sont pas en full cagoule et « uniforme », on devrait pouvoir trouver les coupables.

Regardant le reste de la vidéo ou il ne se passait plus grand-chose, l’homme semblais ne plus bouger plus que de respirer difficilement affaler au sol. L’américain tourna les talons et s’excusa alors qu’il sortit de la petite sale pour ensuite glisser sa main dans sa poche droite de son uniforme et en sortir le communiquer de police pour contacté le centre policier.

» Q.G., ici l’agent Jefferson. Nous avons de fortes identifications des responsables sur l’enquête assignée, il y a un blessé, que nous devons encore localiser. Nous donnerons des nouvelles si on découvre autre chose. Terminé. Heureux que ta journée commence Miure, on va devoir te questionné un peu.