Prénom, Nom : Jefferson Truesight, enchanté. Age : 31 ans depuis deux mois m’sieur/m’dame. Genre : Je me classifie en tant qu’homme. Métier : Je dis avec fierté être des force de l’ordre de ce pays. Situation romantique : Heum… OK, je ne m’attendais pas a ce genre de question quand vous avez planifié ceci, mais je suis célibataire… Date et ville de naissance : J’ai vu le jour le 12 mai, dans une ville du Mississippi Flamme souhaitée : À discrétion du Staff. Flamme indésirable : Je sais m’adapter. Groupe : Police Avatar : Tartaglia de Genshin Impact

Histoire

        Pourquoi un Américain ce retrouverais maintenant au Japon et ancré dans le système policier affecté à ce charmant petit endroit me diras-tu? Le travail des parents, simplement. Mon père est un homme d’affaire assez bien établie et entrepreneur. Alors j’ai eu une enfance assez mouvementée de déménagement, mais rien d’autre d’extraordinaire, ce ne m’as pas vraiment étonné plus tard, quand je n’étais plus dans le nid familial, qu’ils soient partis hors du pays pour affaire. Je n’étais content pour mon père que ses affaires d’entreprise marchent assez bien pour faire ce genre de voyages de grande ampleur. De mon côté j’ai fait ma vie tranquillement, joignant finalement la police du dernier quarter où nous avions déménagé comme emploi. On m’avait toujours dit que mon sens de la justice et des règles m’amènerait dans ce genre d’environnement. C’était ça ou être avocat, mais je suis quelqu’un de plus physique que paperasse donc… On prenait des nouvelles de temps en temps par internet, de ce que je comprenais tout semblais bien aller de leur côté. Pour moi, je faisais ce que je devais faire, prévenir les crimes, arrêter ceux qui les font et parfois devoir neutraliser permanemment ou non les plus « malins » qui la défiait plus fermement qu’avec des mots. Oui, j’ai du sang sur les mains, du sang sale de personnes se croyant plus haut que la loi, mais c’était ça ou une gamine mourait, on volait les épargnes d’une vie d’un tout juste retraité ou le classique, une banque se faisait cambriolée. Évidemment, avec une attitude comme la mienne, ça n’a pas toujours bien tourné. Mais hé, j’suis toujours vivant et en un seul morceau non? Autre que des cicatrices, concussion et remontrance de mes supérieurs, je trouve que mes actions ont plutôt bien tourné.

C’est après un peu plus de trois ans de service que j’ai eu une nouvelle qui n’a pas été joyeuse à propos de ma mère. Elle se serrait faite agresser dans la rue et volé son porte-monnaie et son manteau fourrure pour finir a l’hôpital. J’ai tout de suite été prendre mes jours de congé que normalement je ne prends pas ou on me force à les prendre en fin d’année. Mon père ne n’avais pas eu le temps de m’en dire plus que j’étais déjà entrain de me réserver un vol pour pouvoir aller la voir, comme je ne savais pas si c’était grave ou non. Quelques jours plus tard, un peu avant mon vol, mon supérieur m’avait appelé pour m’informer que, si j’étais intéressé, il pourrait me transférer « temporairement » a un post de police au Japon pour une petite ville avec ses connaissances, comme ça je pourrai prendre plus que 2 semaines. C’était une bonne attention de sa part, et après avoir vue l’état de ma mère alité avec trop de file de machine a mon gout, j’avais bien l’intention de rendre justice. Je pris donc son offre de restée ici un temps, ma mère se remis sur pied sans complication et je pus prendre un peu de temps avec eu en les protégeant sans doute un peu trop en alerte. Dut fait que j’allais être transféré j’ai dû apprendre une nouvelle langue, de nouvelles habitudes de vie et règle, si on veut, culturel, et plus. La langue ça passe avec le prof’ que mes parents m’ont engagé comme remerciement, mais changer de culture cela m’avait donné un coup! Un temps avant mon entretien de transfère, j’avais déjà assimilé une bonne partit de ce que je devais apprendre, l’accent était toujours présent cela dit, ha ha.

Il va sans dire que, après avoir le poids sur les épaules élever une fois que ma mère était totalement guérit, je remis ma concentration sur le boulot, et disons que… J’étais, et suis toujours selon certains, plus téméraire et strict sur les lois. Et un peu trop ferme sur mes méthodes que j’applique celle-ci. Moi je dis qu’on ne peut pas appliquer une chose si importante avec des mains molles. Mais c’était surtout que je voulais retrouver celui, ceux, le groupe, peu importe, qui avait fait du mal a ma mère qui n’a rien demandé. Les retrouvés, leur montré que leurs actes ont des conséquences et que la loi doit être appliquée, peut importe le temps qui passe. Puis, j’ai entendu dire que les activités de la pègre sont en hausse dans le coin, ça sera parfait pour montrer à ses vermines que personne ne peut faire sa propre loi! Ce quartier se verra changer et sera libre de tout crime, c’est bien ce que je compte accomplir avec ce transfert. Il faut juste que je m’équipe un peu plus de façon appropriée, et je doute que le petit commissariat de police soit l’endroit pour ça.

« -Parents, frère sœur. Tous biens en vie et en santés.
-Maternelle/primaire/collège. Une scolarité privée, jusqu’au bac.
-Premier amour. Sandrine. Pourquoi demander?
-Traumatisme. Rude de posé la question. Vous êtes Psy’?
-Grand fou rire. Alors c’est un docteur dans un tribunal…
-Ses objectifs maintenant. Faire régner l’ordre et la loi. La force est autorisée. »