La recherche d'informations continue. La première séance a été assez fructueuse, au final monsieur Fukataka alias mon agneau sacrificiel d'hier soir a bel et bien été cueilli par la police. Le pauvre ne se souvient de rien à cause de la piqûre d'héroïne qu'il s'était injecté juste après les recherches et le piratage massif qu'il avait lancé hier soir. Au moins, ça a permit à la police de retrouver les armes achetées qui étaient responsables de la mort de plusieurs personnes. Il devrait rester longtemps à l'ombre celui-là et je sais que je n'ai rien laissé qui peut laisser entendre que c'est moi qui ait orchestré son arrestation. Mais un problème subsiste néanmoins. J'avais encore une tâche d'ombre sur mon tableau net. Qui était ce faux ambulancier et où est-ce qu'il avait emmené le petit Zuran ?

Il était blond, corpulence masculine et au niveau de sa posture et de ses traits il devrait avoir entre vingt ou vingt-cinq ans. Avant de simplement chercher au hasard, j'ai pu voir sur les archives des journaux qu'un établissement commercial proche du lycée avait ouvert le jour de la cérémonie d'entrée. La coïncidence est assez impressionnante, je vais commencer par fouiller là-bas. De toute façon, je suis venu à Namimori une semaine en avance afin de pouvoir me préparer à mêler mon histoire à ceux de ses habitants donc autant aller profiter d'un bon café si la coïncidence en étant effectivement une. C'est ainsi que je suis arrivé à un charmant café, une petite heure avant le début des cours.

Évidemment c'était le début de la journée donc il y avait assez peu de monde. D'ailleurs, si ma mémoire est bonne la première victime au nom de Ethan avait sa profession qui était recensée dans ce lieu. J'en suis sûr et certain, je n'ai besoin d'apercevoir du coin de l’œil le gérant qu'une seule fois pour savoir si oui ou non les Vongolas sont bien entourés. Il y avait la famille de ce Yazhu et cette Yuri mais je ne savais pas qui était le parrain ou la marraine. Alors est-ce que oui ou non le gérant est impliqué ou pas ? Et si oui, est-ce qu'il est le parrain de Yazhu, Ethan ou Yuri ou pas du tout ? Il fallait qu'il puisse tirer ça au clair. Mais en attendant, au loin il apercevait quelqu'un s'approcher pendant que le gérant était manifestement absent. Je la reconnais, il s'agit d'une déléguée, Sakura Tanaka.

« Bonjour mademoiselle, je vois que vous portez l'uniforme du lycée que je vais rejoindre dans une semaine. » Disais-je tout sourire. « Enchanté, je m'appelle Kamichi Buraito. » Rajoutais-je calmement en m'inclinant doucement.

Je la regardais très sereinement avec un soupçon de fatigue dans les yeux dû à la matinée très douce avec un petit manque d'activité. Je me demandais vraiment où était passé le gérant... Si seulement sa photo dans le journal n'avait pas été en noir et blanc, j'en aurais déjà eu le cœur net mais là... Disons que mon seul pourcentage de suspicion n'est pas encore comblé. Puis au vu de sa réputation, ça m'étonne pas mal qu'il ne soit pas derrière son comptoir. Je suis peut-être arrivé trop tôt ? Quoi qu'il en soit, ça me laissait l'occasion de faire connaissance avec la délégué dont je n'avais encore aucune idée quant à son implication dans tout cela. Peut-être qu'elle n'était qu'une simple civile ? Je pense que j'en aurais une petite idée à la fin de notre conversation.

Sakura s'était finalement présentée avec toute la politesse et la courtoisie recommandée sur le sol japonais. J'avais envie de vomir, mais évidemment j'ai quand même assez de retenue pour que le gérant mystère n'ait pas à subir l'odeur des rejets gastriques avec ces multitudes de parfums envoûtants qui envahissaient son café. Mais alors pourquoi une telle réaction ? C'était simple, elle était aussi fausse que lui. Vous connaissez la chanson, un monstre reconnaît les monstres même si eux-mêmes n'avaient pas encore compris quels sombres côtés ils pouvaient cacher au fond d'eux. Mais ce n'était pas ça qui me donnait envie de tout régurgiter car je l'accepte, elle est comme elle est et je n'ai pas à la juger pour ça. J'ai juste ce sentiment de malaise quand le mensonge de quelqu'un me renvoie à mon mensonge. Oui je ne suis pas aussi honnête que j'aimerais le laisser paraître mais que voulez-vous ? Je n'ai confiance en aucun de vous, je ne peux vous montrer qui j'aimerais être avec des personnes de confiance car elles n'existent tout simplement pas.

« Enchanté Tanaka-chan et merci de la proposition. » Disais-je en m'inclinant à la même hauteur qu'elle, la main sur le cœur. « Mais ne t'en fais pas, j'ai pris le temps de m'informer sur le fonctionnement du lycée et les différentes sales afin de ne pas être perdu. La seule chose qui me manque c'est de m'intégrer correctement. Aurais-tu des conseils pour cela ? » Rajoutais-je tout sourire et en fermant les yeux afin qu'on ne puisse pas avoir cette sensation par le regard que je ne suis pas quelqu'un de confiance comme on me l'a si souvent reproché.

Elle me disait qu'elle voyait qu'on m'avait déjà conseillé le café Tutti Frutti... M'oui, on peut dire ça. J'ai vu l'annonce de l'ouverture du café entre deux articles de meurtres de mafieux et le lieu pouvait être une piste donc par la force des choses on peut dire que le sang versé avait aussi servi à me donner envie de me rendre ici. Mais honnêtement, il y avait beaucoup mieux comme technique marketing.

« Oui effectivement, j'ai fait des recherches sur internet pour voir quels établissements étaient conseillés. Je n'aurais pas forcément toujours le temps de me nourrir par mes propres moyens donc c'est toujours bien de savoir ce qui peut être recommandé. » Expliquais-je à la demoiselle.

Mine de rien, j'ai cette impression que ce côté sombre qu'elle peut dissimuler est comme son visage de la fausse gentille : une coquille. Il y a sûrement un cœur apeuré qui se cache derrière toutes ces couches, pourquoi n'osait-elle pas s'ouvrir véritablement aux autres ? J'espère qu'elle n'a pas été touché par le monde comme je l'ai été car au final ça voudrait dire qu'elle vivrait elle aussi en étant incapable d'accorder sa pleine confiance à qui que ce soit... Et je sais depuis longtemps que vivre avec cette contrainte s'apparente plus à de la survie et que l'épanouissement ne vient qu'à être étouffé un peu plus chaque jours. Sakura, si tel est le cas j'aimerais que tu sois plus forte que moi et que tu arrives un jour à te libérer de ces chaînes que je vois autour de ton cou. Mais évidemment je je ne m'avancerais pas non plus sur ce sujet, je ne la connais pas et je ne peux pas lui faire confiance. Je crains même de peut-être avoir une simple forme d'empathie à cause de ce miroir que j'ai pu dresser entre nous. Je dois juste attendre et m'assurer que ce miroir n'a pas sa place ici avant de le briser car dans le cas contraire, ça ne ferait que la blesser inutilement et la conforterait à se détacher des autres.

Enfin bref, après un petit temps, le gérant finissait par montrer le bout de son nez en s'excusant de l'attente avant d'enchaîner sur nos prises de commandes. Au moins il était réactif, peut-être un simple imprévu qu'il avait du rapidement régler ? En tout cas, ce n'était pas vraiment gênant. Avant de répondre quoi que ce soit, je reculais délicatement de deux pas afin de laisser la délégué prendre sa commande en première. Puis ça me laissait également l'occasion de pouvoir enfin observer le blondinet et de le comparer à la vidéo du faux ambulancier. Même couleur de cheveux, même couleur des yeux, même corpulence, la taille que j'avais estimé est bonne. Il n'y a que le bas du visage que je ne peux pas confirmer car il était caché par son épaule durant l'enregistrement. Mais il ne fait plus aucun doute, c'est lui. Après que Sakura ait commandé et payer, il s'avançait doucement à son tour.

« Bonjour et ne vous en faites pas pour l'attente, on ne peut pas tout prévoir. » Disais-je compréhensif. « J'avoue ne pas avoir encore observer votre carte étant donné que je ne m'attendais pas à rencontrer une camarade si tôt. » Expliquais-je tranquillement. « Vous auriez un café latté à la citrouille ? Si vous n'en faites pas, alors je prendrais un thé vert au Jasmin s'il vous plaît. » Commandais-je en lui tendant de la monnaie.

Le gérant au bout de quelques secondes avait fini par esquisser un léger sourire. Il avait remarqué quelque chose lui aussi. Je ne sais pas ce que c'est et honnêtement bien que je devais m'y attendre ça me dérange assez mais je n'en montrais rien. Contrairement à ce que je pouvais en conclure avec Rihan, Manami, lui, avait l'air de dégager une forme de puissance similaire à celle de mon père adoptif. Je pense très sincèrement qu'il maîtrise sa flamme et à haut niveau. Enchanté de vous rencontrer monsieur le parrain, je viendrais vous parler un jour quand ce sera plus propice à la discrétion. J'espère que nous nous entendrons et qu'un lien professionnel pourra être tissé entre nous.

Elle me conseille de trouver un club, c'est vrai que c'était la manière la plus simple de créer des liens. La logique voudrait que je rejoigne le journal de l'école afin de récupérer des informations que je peux utiliser pour mon travail personnel. Mais non, déjà ce serait trop suspect et puis il y a un temps entre le stratège dans le monde de la mafia et Kamichi Buraito, simple élève du lycée de Namimori. Non, je pense que je vais plutôt écouter son conseil et rejoindre un club sans arrières-pensées. Je pense que j'aimerais bien essayer le bricolage, si un club n'est pas déjà ouvert je le ferai moi-même je pense, bien que le recrutement risque d'être difficile étant donné que l'année scolaire a bien avancé. Par contre pour le festival, je pense que c'est trop tard pour me proposer puis avec mon travail à mi-temps je n'aurais pas le temps nécessaire pour m'y investir convenablement.

« Très bien, je note pour les ramens, j'irai m'en prendre quand je n'aurais pas le temps de me préparer moi-même à manger. Merci. » Disais-je gentiment.

Après cela et avoir récupérer mon thé et avoir remercié le faux ambulancier, je suis la jeune déléguée et m'assois à sa table. Puis elle décide de me poser une question assez singulière, c'est vrai que je n'ai pas cherché à être très prudent sur les informations que je pouvais donner et quand bien même je pense la recroiser sur ma route professionnelle, elle est avant tout une camarade de mon lycée. Le plus important à l'heure actuelle est de me faire des amis et je pense pouvoir dire qu'il y a la possibilité qu'elle et moi puissions établir un lien amical.

« Oui je vais vivre seul. » Disais-je calmement. « En dehors des cours j'ai un travail à mi-temps assez omniprésent alors je n'aurais pas le temps pour être avec ma famille. » Rajoutais-je en buvant une gorgée de ce délicieux thé. « Alors pour ne pas avoir la sensation de ne pas profiter de mes proches comme je l'aimerais, j'ai décidé de vivre seul afin de n'avoir que mon emploi du temps à prendre en compte, comme ça je profiterai de mes congés pour aller voir ma famille. » Finissais-je tranquillement. « Et toi alors ? Le lycée te plaît ? Qu'est-ce que tu apprécies faire de manière générale ? » Demandais-je, curieux.

Bien que je souhaite me comporter comme une personne tout à fait normal, je ne peux pas m'empêcher de calculer mes actions afin de ne pas griller ma couverture trop rapidement. Un côté de moi me dit que je ne devrais rien dire par sécurité, un autre côté me dit que si je reste trop discret ça va éveiller la curiosité d'autrui. Donc au final, la meilleure solution est d'agir tout à fait normalement et de manière habituelle. J'espère parvenir à arrêter de penser à tout ça au fil de la discussion, ce serait sympathique de pouvoir me prendre une vraie pause maintenant que je sais où Zuran se trouvait après la cérémonie d'entrée.

Une réflexion mature ? C'est vrai que j'ai toujours eu tendance à être précoce dans mes actions et mon éducation. On m'avait déjà fait la remarque enfant que j'agissais comme un adolescent et maintenant que je suis en adolescence je dois ressembler à un jeune adulte je suppose. D'autant plus quand on sait ma profession, des personnes pourraient penser que je suis un lycéen infiltré en tant que policier. Les policiers eux, pourraient imaginer que je suis un petit gangster qui s'est infiltré dans la police. C'est très drôle quand on y pense finalement. La seule chose qu'il fallait retenir au final, c'est que je suis tout simplement un lycéen policier à mi-temps.

« Et tes yeux voient très bien car le lycée reste effectivement qu'une étape dans une vie complète, un chapitre. » Disais-je de manière rhétorique. « Très peu de personnes se rappellent de ce détail. » Continuais-je en buvant une gorgée de mon thé. « Rigueur dans les études, détente et amusement, fêtes étudiantes, chasse à la popularité. Toutes ces choses sont le quotidien et la recherche des personnes de notre âge, à vrai dire soit ils s'investissent trop soit pas assez. Tout simplement car nous retrouvons deux grands types de philosophie dans la routine des étudiants. » Expliquais-je, les yeux plongeant dans ma tasse de thé pendant que je remue le fin sucre dissous dans ma tasse. « Il y a ceux qui ne savent pas gérer leurs craintes du futur et accordent une importance beaucoup trop grande à ce qu'ils font à l'école pour vivre par la suite leurs rêves sans prendre en compte que le métier idéal ne prend pas que les diplômes en compte, mais aussi la classe sociale et la santé qui ferment énormément de portes parmi les plus aptes à la profession visée. » Racontais-je en buvant une nouvelle gorgée. « Ensuite, il y a ceux qui n'arrivent pas à se projeter, ils vivent leur vie au lycée comme s'ils allaient y rester jusqu'à leur trépas. Ce qu'il y a de malheureux c'est que le lycée et la fac ne permettent que d'avoir d'excellentes références pour viser une plus grande école, plus prestigieuse mais coûteuse. C'est dans cette école d'élite que tout se joue car si tu en ressors diplômé avec des notes excellentes alors tu as les connaissances et les diplômes nécessaires mais surtout l'argent requis pour payer les cours que tu as suivi. Mais ça ne suffira toujours pas à t'ouvrir les portes vers ta profession de rêve, pourquoi ? Car tu t'es tellement investi dans tes connaissances que tu n'as aucune connaissance humaine. Tu n'as pas fait de fêtes, tu ne t'es lié à personnes et par conséquent tu es seul, individualiste. Alors ils prendront l'élève un peu moins bien niveau théorique mais on sait qu'il a tendance à bien s'entourer et être coopératif. Mais admettons que tu as le réseau amical, l'argent et les connaissances nécessaires pour être astronaute et tu postes ta candidature. Tu ne seras pas prit parce qu'à la soirée étudiante de ta confrérie tu ne traînais qu'avec des fumeurs et bien que tu n'ais jamais touché à une cigarette, les effets du tabagisme passif t'ont mené à avoir une fragilité au niveau des poumons qui s'apparentent à de l'asthme. Et là, boum, le rêve s'écroule. Tu as les conditions corporelles musculaires pour réaliser ton rêve mais pas la condition corporelle au niveau de tes organes. » Finissais-je finalement en la regardant. « Si tu as mauvaise mémoire, que tu as une santé qui peut paraître fragile, que tu ne sais pas t'entourer mais surtout que tu n'es pas issue de la bonne classe sociale alors ne t'investis pas, fais le strict minimum, économise toi et donne tout dans ton futur emploi pour briller là-bas. En revanche, si tu corresponds à tout ce que j'ai dit avant alors je te conseille sincèrement de foncer pour atteindre tes objectifs car tu possèdes toutes les clés nécessaires pour ouvrir les portes que tu désires traverser. » Continuais-je. « Au final, si tu veux tenir un stand de tir à l'arc alors fais le. Si tu veux être vendeuse en magasin fais le, si tu veux être dans le social fais le. Mais si tu veux que les gens portent tes vêtements à toi, alors investis toi et deviens styliste. Si tu veux un poste de haut fonctionnaire alors investis toi car je vois dans tes yeux que tu peux en être capable. Il faut juste savoir s'il faut se tourner sur l'implication dans le lycée car ton rêve est hors de portée ou si tu dois le vivre au jour le jour. Je ne suis pas donneur de leçon, je sais juste comment ça marche et je pense que j'apprécierai de savoir qu'il y ait une personne qui te ressemble non loin de mes propres objectifs. Je pense pouvoir dire que c'est de la curiosité quant à tes principes et envies mais aussi une invitation pour que peut-être on se croise à nouveau dans un futur lointain en haut du panier. » Terminais-je réellement en finissant ma tasse.

J'ai beaucoup parlé et je m'en vois désolé mais quitte à montrer une réflexion poussée alors autant le faire jusqu'au bout. Je pense avoir parler de manière à démontrer que c'est plus un partage de connaissances plutôt qu'un cours de réussite personnelle car ce n'était vraiment pas mon intention. Au mieux, elle ne savait pas comment cela marchait derrière. Au pire, peut-être partageons-nous un point de vue commun et si ce n'est pas le cas cela pourrait donner lieu à un échange intéressant et éducatif.

Je l'écoutais très tranquillement, elle aussi avait des choses à dire manifestement mais ça me montrait que je visais juste. Elle a du potentiel, elle ne sait juste pas encore où le dévoiler. En revanche, elle m'a bien fait comprendre qu'une fois lancée elle ne s'arrêterait pas. Il était curieux de voir ce que cela donnerait, de voir si elle savait au fond d'elle que ça serait le cas ou si elle sous-estime juste les personnes qui peuvent lui faire de l'ombre.

« Je te souhaite que de réussir, je pense sincèrement que tu peux aller plus loin que tu ne le penses. » Disais-je sincèrement. « Et pour répondre à ta question, oui. Je risque de louper des cours si la police vient à avoir besoin de renforts pour arrêter des personnes classées dangereuses comme Shilia Nakamaru. » Continuais-je en ne citant que le plus évident étant donné tout ce qu'il avait fait. « Sinon je suis en dernière année, j'ai 18 ans. » Finissais-je calmement.

Je la regarde quelques secondes silencieusement avant de sortir mon téléphone de la poche de mon jean. Juste après, je prends un petit bout de papier et je note mon numéro dessus. Une fois fait, je le lui dépose juste à côté d'elle. Et enfin, je recommence à parler de manière tout à fait normal.

« Qu'est-ce qui t'a motivé à vouloir être déléguée d'ailleurs et de quelle manière tu t'y es prise pour que ta classe accepte à ce que tu les représentes ? » Demandais-je sans cacher ma curiosité.

J'aime bien en apprendre un peu sur mon prochain, savoir ce qu'ils ont mit en œuvre pour atteindre un objectif personnel. De plus, je ne sais toujours pas si elle est liée au faux ambulancier ou un quelconque autre groupe que j'ai pu repérer sur les vidéos de la cérémonie d'entrée. Je pense que je pourrai avoir dans l'idée de la ester ou de la confronter amicalement sur son terrain afin de savoir ce qu'elle pouvait dégager face à quelque chose qui l'intéresse personnellement. Quant à ses relations, j'imagine que je le découvrirais tôt ou tard en fonction de celle que nous pourrions établir ensemble.