Plus tu es loin de lui, mieux tu te portes. Tu as souhaité un nombre incalculable de fois d’exploser sa sale tête de con sur un de vos murs blancs immaculés. Et pourtant. Tes échanges avec lui s’en tiennent au minimum. Il a toujours manifesté pour toi le même comportement qu’avec n’importe lequel de ses employés. En réalité, tu le vois plus comme un CEO que comme ton véritable père.

Une sale pute. Ni plus ni moins. Une pute qui appuie toujours ce qui fâche, l’air de rien. Mais tu fais avec. Tu préfèrerais qu’elle ne soit pas avec toi au japon, et qu’elle te foute la paix. Mais malheureusement, elle est mille fois plus investie que ton père dans ton intégration dans la mafia, et cherche constamment la petite bête. Tu as hâte que ta place soit assurée au sein des Nobusuma, qu’elle dégage son nez d’hypocrite de tes affaires.

Petit à petit, t’as commencé à donner ta confiance à ces gens. Tu sais qu’à quelques exceptions près, ils te balanceront pas.

Emma -  28 ans - Employée familiale : Embauchée durant ton dernier séjour en Angleterre. Ton assistante personnelle. Semble négligente mais réalise son travail à la perfection. Talk too much.

William -  47 ans - Chauffeur et garde du corps :  Te connais depuis toute petite. N’exprime pas beaucoup de chose. Probablement l’employé en qui tu places le plus de confiance.

Simone -  53 ans - Gouvernante Te donnes des cours supplémentaires. Grosse balance, fait des rapports réguliers à ta mère.Tu la détestes cordialement.

Akiko -  33 ans - Femme de ménage : Plus récente employée. Très compétente. Stoïque et tétue, mais fiable.

Bill -  48 ans - Jardinier : Ancien apprenti du précédent jardinier. Ami avec William. Malgré ton désintérêt pour lui, il essaie parfois d’être  gentil avec toi. Useless.

   

A venir : médecin familial, chef cuisinier,

Ton premier « ami » quand tu venais au Japon, étant petite. C’est le metteur d’ambiance par excellence, mais également l’élève à la langue la plus dévastatrice de tout Namimori. T’as plus de respect pour lui que pour les autres. Il connait ta famille, donc il sait qu’il a plus interêt à être ton allié. C’est la personne avec qui tu passes le plus de temps dans le groupe. Tu trouves ça légitimement fun de trainer avec lui et de cracher sur les autres.

Ta relation avec Sakura peut s’apparenter à une relation patron/ employé. Elle fait bien son taff et elle ne t’emmerde pas, donc tu la laisses tranquille. Quand tu passes du temps avec elle, tu apprécies sa pertinence. Et c’est tout. En dehors de ça, il n’y a pas grand chose.

Fut un temps où Akemi pensait être la reine du lycée, en première année. Elle s’est permise de la ramener publiquement, en tentant de t’humilier. Lancer des sales rumeurs sur elle appuyées par des fais que tu avais déniché, et la menacer à suffit à l’isoler pour quelques temps et lui faire comprendre qui était la boss. Sous des airs de rédemption, tu as fait en sorte de sauver sa réputation en démontant tes propres rumeurs, et en lui proposant une place de choix dans ton petit groupe. Une manière de lui faire comprendre que sa réputation ne tient qu’à toi. Officiellement, vous êtes meilleures amies, mais tu sais bien qu’elle te déteste. D’ailleurs : tu la détestes aussi.

Le toutou d’Akemi. La meilleure pour dire du mal des gens et lancer des rumeurs. En groupe, elle est divertissante. En solo, vous n’avez absolument rien à vous dire.

Quand tu l’as remarquée pour la première fois, elle a failli pleurer. Grande férue de potins et de luxe, elle est prête à tout pour gagner tes faveurs. « Edeeeen ! Je peux porter ton sac si tu veux! » « Edeeeeeen ! J’ai fini le devoir maison, si tu veux copier ! » Elle t’insupporte, mais c’est pratique d’avoir quelqu’un pour faire tout ce que tu dis, et de se moquer ouvertement d’elle sans qu’elle ne s’en rende compte.

Tu as une profonde admiration pour Sora. Il s’est présenté comme la providence au moment où tout s’écroulait pour toi. Ce qui ne t’empêche pas d’avoir régulièrement envie de lui filer des baffes quand il prend son air mystérieux, qu’il te donne les infos au compte-goutte et qu’il dit des trucs pas clairs. C’est comme si tu n’étais pas digne de confiance. Ça te soule. (Mais ça n’empêche pas que tu serais capable d’à peu près tout pour lui, s’il fallait)

Cette fille … ou ce mec… cache plus qu’elle ne veut bien l’admettre, tu l’as appris à tes dépends. Cependant, ça reste dur pour toi de comprendre comment une gamine est parvenue à la tête des Nobusuma. Elle a des plans qui te plaisent pour la mafia, et tu as hâte de pouvoir apporter ta pierre à l’édifice.

A venir

Quod si rectum statuerimus vel concedere amicis, quidquid velint, vel impetrare ab iis, quidquid velimus, perfecta quidem sapientia si simus, nihil habeat res vitii; sed loquimur de iis amicis qui ante oculos sunt, quos vidimus aut de quibus memoriam accepimus, quos novit vita communis. Ex hoc numero nobis exempla sumenda sunt, et eorum quidem maxime qui ad sapientiam proxime accedunt.

Tu sais jamais à quoi t’en tenir avec ce connard suffisant. Ses habitudes de délinquants jurent complètement avec son travail impeccable de représentant du lycée. Il t’agace profondément, car tu sais jamais ce qu’il a dans la tête. Tu le respectes mais tu rêverais de le voir dos au mur. T’aimes tes échanges avec lui mais tu finis toujours par avoir envie de lui péter sa gueule de tombeur trop sûr de lui. Bref, tu fais en sortes de ne pas perdre la face, tu collabores avec lui, mais tu te passes bien de creuser plus.  De toute façon, qui sais quelle merde t’y trouverais ?

Quand il est dans les parages, t’as tout le mal du monde à garder ton calme. Tu sais que les ennuis ne sont jamais loins, et tu dois déployer toujours plus d’efforts pour faire en sorte que tout se déroule comme prévu. Le plus excédant, c’est qu’il a l’air de constamment le faire exprès, juste pour te faire péter des calmes. Mais le pire, c’est qu’on fond, tu as du mal à l’admettre mais tu l’aimes bien.

T’es partie du principe qu’elle était incompétente, donc pour toi, elle est incompétente. Et elle l’a ramène beaucoup trop pour ne rien dire. Insupportable. Y a pas d’autres mots. Moins tu la voies, mieux tu te portes.

Quod si rectum statuerimus vel concedere amicis, quidquid velint, vel impetrare ab iis, quidquid velimus, perfecta quidem sapientia si simus, nihil habeat res vitii; sed loquimur de iis amicis qui ante oculos sunt, quos vidimus aut de quibus memoriam accepimus, quos novit vita communis. Ex hoc numero nobis exempla sumenda sunt, et eorum quidem maxime qui ad sapientiam proxime accedunt.

C’est non seulement un meurtrier, mais également la personne qui t’as tiré dessus devant tes potes. Tu connais pas ses raisons, et pas besoin. La prochaine fois que tu tombes dessus, tu l’exploses.

Quod si rectum statuerimus vel concedere amicis, quidquid velint, vel impetrare ab iis, quidquid velimus, perfecta quidem sapientia si simus, nihil habeat res vitii; sed loquimur de iis amicis qui ante oculos sunt, quos vidimus aut de quibus memoriam accepimus, quos novit vita communis. Ex hoc numero nobis exempla sumenda sunt, et eorum quidem maxime qui ad sapientiam proxime accedunt.

Quod si rectum statuerimus vel concedere amicis, quidquid velint, vel impetrare ab iis, quidquid velimus, perfecta quidem sapientia si simus, nihil habeat res vitii; sed loquimur de iis amicis qui ante oculos sunt, quos vidimus aut de quibus memoriam accepimus, quos novit vita communis. Ex hoc numero nobis exempla sumenda sunt, et eorum quidem maxime qui ad sapientiam proxime accedunt.

Quod si rectum statuerimus vel concedere amicis, quidquid velint, vel impetrare ab iis, quidquid velimus, perfecta quidem sapientia si simus, nihil habeat res vitii; sed loquimur de iis amicis qui ante oculos sunt, quos vidimus aut de quibus memoriam accepimus, quos novit vita communis. Ex hoc numero nobis exempla sumenda sunt, et eorum quidem maxime qui ad sapientiam proxime accedunt.