Accueil
FAQ
Rechercher
Dernières images
Membres
Groupes
S'enregistrer
ConnexionYou should not pass : it's a dead~lock here... [PV Matsuoka Kimitada]Reborn NEW Futur :: Mairie :: Bibliothèque :: Abandonnés
# You should not pass : it's a dead~lock here... [PV Matsuoka Kimitada]Mar 26 Mai - 18:35You should not pass : it's a dead~lock here... [Ft Matsuoka Kimitada]
"Voici tout ce que l'on m'a confié : confirmez qu'il y ait bien tout"confia le receleur en déposant des sacs réutilisables et qu'on pouvait trouver à n'importe quel kombini de Namimori aux pieds d'un groupe de jeunes hommes dans la vingtaine.
"Y'a intérêt à tout avoir le bleu sinon..."marmonna l'un des gars alors qu'ils déballaient rapidement et vérifiaient les contenus des sacs. Les paquets se passant de main en main pour rejoindre la paire qui se chargera de les distribuer une dernière fois à moins que l'un des futurs acheteurs avait son propre business à gérer.
Après il n'était pas rare qu'il y est un système pyramidale : untel achetait tel produit pour revendre à autrui qui le mettait à disposition à truc, etc...Un cycle se répétant en boucle et auquel on pourrait ajouter des processus de raffinage, mixage et autres qui pouvaient rendre un produit consommable hautement néfaste mais plus bon marché et avec un stock plus important.
"Tout est là, je n'ai aucun intérêt à vous entourlouper."réaffirma d'une voix plus implacable Sorane et assez contraire au ton qu'il employait en général avant de hausser un sourcil en sentant une soudaine humidité sur son front, le levant les yeux au ciel il ne put constater que la pluie avait décidé de s'inviter et parsemait ses lunettes de ses petites gouttes kamikazes. Reprenant d'une voix plus proche de son timbre naturel comme si la pluie avait eu un effet tranquilisant sur son esprit : "Si vous pouviez vous dépêchez, je ne voudrais pas être accusé d'avoir négligé la marchandise lors du transport~"
"Foutu pluie ! Elle ne pouvait pas venir à un autre moment cette..."grognèrent les dealers alors qu'ils s'empressaient de ranger leur part de marchandise bien à l'abri dans leur poche, sac et autres entités pouvant servir de récipient qu'ils possédaient l'un d'eux le rangea dans son bonnet.
Cela voulait-il dire que le délégué des délégués des délégués pardon le président du conseil étudiant de son établissement qui avait sept jours sur sept, vingt quatre heures sur vingt quatre un bonnet qu'il pleuve, qu'il neige, qu'il vente et qui fait grand soleil serait du genre à cacher quelque chose sous son couvre-chef ?
Récupérant ses sacs réutilisables et les pliants afin qu'il ne prenne moins de place dans le sac qu'il transporte, Sorane jeta un regard interrogateur au porte-parole du groupe afin d'avoir confirmation qu'il pouvait enfin les quitter et les laisser finir de discuter affaires et s'attribuer les zones d'actions de chacun.
"Tout est nickel, on fera remonter : tu peux te barrer."annonça après un conciliabule silencieux ledit représentant."Bien sûr, on compte encore sur ton silence."
Il valait sans dire que l'adolescent n'allait pas aller au centre de police le plus proche pour avouer avoir été impliquer dans une transaction de stupéfiants. Après tout même s'il n'en consommait, n'en traitait pas et n'en vendait pas de son initiative il participait à la propagation de ce "mal" et était donc complice.
Adressant un geste de la main pouvant passer pour un salut et signifiant principalement son désintérêt flagrant à cette idée de les dénoncer pour une réduction de peine qui serait une pénalisation qu'importe sa durée et inscrit dans son casier judiciaire toujours vierge : du moins à sa connaissance. Il décida de jouer le jeu et d'assurer de sa totale coopération dans l'affaire après tout y avait vraiment peu de chance que quelqu'un mette un prix suffisamment élevé ou intéressant pour qu'il vende ces infos :
"Le silence est d'or : bonne soirée messieurs~" furent les derniers mots qu'il adressa aux hommes avant de quitter la ruelle étroite qui les abritait mieux des regards que du bombardement aqueux qui décidait de s’intensifier.
Prenant un tournant qui allait le sortir du champ de vision de ses clients, le brunet en profita pour remettre à portée de ses yeux l'ouverture de son sac afin de faire sortir le parapluie que sa obaachan l'avait enjoint à prendre au vue des nuages qui avaient recouvert le ciel et le trouva facilement malgré le contenu de son sac grâce à sa couleur pour le moins rougeoyante.
Oh, il allait être repérable de loin avec ce parapluie d'un rouge sanglant et c'était vrai qu'il aimait bien cette couleur mais cela ne voulait pas dire qu'il voulait que tout ses accessoires soient d'une teinte sanguinaire. En parlant de ça, il pouvait maintenant ôter ses gants et les ranger dans la poche intérieure de son sac.
Après tout, même si c'était le Japon et qu'on tolérait facilement l'excentricité vestimentaires des personnes il n'était pas sûr que le port de ses gants ne marquent pas les mémoires. Il devait juste s'assurer de ne pas toucher directement les sacs rangés dans le sachet plastique et hermétique : ce qui était jouable.
Une fois abrité de l'attaque diluvienne du ciel bien que celle-ci ait eu le temps de mouiller ses cheveux et consteller ses lunettes de gouttes, il sortit une chamoisine grise pour nettoyer les verres de ses lunettes afin de percevoir à nouveau le monde comme il le ferait s'il ne s'embêtait pas à porter cet accessoire.
Et qui lui aurait permis avant de l'entendre la présence d'un cycliste dans cette zone assez délaissée surtout par ce temps pluvieux et en ce début de soirée. Tournant son regard vers la source de ce bruit et faisant en sorte de bloquer la ruelle à une quelconque inspection si cela se révélait être un agent de police.
Il put lâcher un soupir de soulagement interne en constatant que le passant était bien trop jeune pour être un représentant des forces de l'ordre et qu'il semblait égaré voir essoufflé comme s'il avait tenté de semer les projectiles que leur envoyait le ciel.
Réfléchissant un instant alors que ses yeux anthracites observaient attentivement l'apparence physique de l'adolescent qui se rapprochait de plus en plus à chaque coup de pédale, le receleur décida de laisser la place au délégué face au visage familier d'un de ses kohais :
"Konbanwa ! "lança Sorane avec un sourire engageant au cycliste qui se trouvait presque à son niveau en éteignant discrètement le dernier portable allumé se trouvant dans sa poche qui se trouvait dans sa poche avant d'indiquer d'un mouvement du parapluie le ciel et reprit d'une voix assez basse pouvant passer pour de la gène :
"C'est vraiment un sale temps pour traîner dehors...Dis moi, vous n'auriez pas encore de la batterie sur vôtre portable pour lancer l'application gps s'il vous plaît ? Je me suis complètement perdu dans ce labyrinthe de cul-de-sac.
Tout indiquait qu'il revenait de la ruelle qui se trouvait dans son dos, il ne servait donc à rien de le nier mais il fallait faire en sorte que cet étudiant de Namimori ne découvre pas ce qui se trouvait réellement au bout de ce chemin surtout qu'ils pourraient très bien décidé de le rouer de coups : or en tant que membre du conseil des lycéens il ne pouvait pas laisser ce lycéen se faire tabasser non ? Même s'il ne connaissait pas son nom, c'était sa responsabilité. Il devait donc juste l'amener loin d'ici avant qu'ils finissent leur petite réunion après tout, il était fort probable que certains d'entres eux empruntent la même voie de sortie que lui.
:copyright:️ 2981 12289 0
"Voici tout ce que l'on m'a confié : confirmez qu'il y ait bien tout"confia le receleur en déposant des sacs réutilisables et qu'on pouvait trouver à n'importe quel kombini de Namimori aux pieds d'un groupe de jeunes hommes dans la vingtaine.
"Y'a intérêt à tout avoir le bleu sinon..."marmonna l'un des gars alors qu'ils déballaient rapidement et vérifiaient les contenus des sacs. Les paquets se passant de main en main pour rejoindre la paire qui se chargera de les distribuer une dernière fois à moins que l'un des futurs acheteurs avait son propre business à gérer.
Après il n'était pas rare qu'il y est un système pyramidale : untel achetait tel produit pour revendre à autrui qui le mettait à disposition à truc, etc...Un cycle se répétant en boucle et auquel on pourrait ajouter des processus de raffinage, mixage et autres qui pouvaient rendre un produit consommable hautement néfaste mais plus bon marché et avec un stock plus important.
"Tout est là, je n'ai aucun intérêt à vous entourlouper."réaffirma d'une voix plus implacable Sorane et assez contraire au ton qu'il employait en général avant de hausser un sourcil en sentant une soudaine humidité sur son front, le levant les yeux au ciel il ne put constater que la pluie avait décidé de s'inviter et parsemait ses lunettes de ses petites gouttes kamikazes. Reprenant d'une voix plus proche de son timbre naturel comme si la pluie avait eu un effet tranquilisant sur son esprit : "Si vous pouviez vous dépêchez, je ne voudrais pas être accusé d'avoir négligé la marchandise lors du transport~"
"Foutu pluie ! Elle ne pouvait pas venir à un autre moment cette..."grognèrent les dealers alors qu'ils s'empressaient de ranger leur part de marchandise bien à l'abri dans leur poche, sac et autres entités pouvant servir de récipient qu'ils possédaient l'un d'eux le rangea dans son bonnet.
Cela voulait-il dire que le délégué des délégués des délégués pardon le président du conseil étudiant de son établissement qui avait sept jours sur sept, vingt quatre heures sur vingt quatre un bonnet qu'il pleuve, qu'il neige, qu'il vente et qui fait grand soleil serait du genre à cacher quelque chose sous son couvre-chef ?
Récupérant ses sacs réutilisables et les pliants afin qu'il ne prenne moins de place dans le sac qu'il transporte, Sorane jeta un regard interrogateur au porte-parole du groupe afin d'avoir confirmation qu'il pouvait enfin les quitter et les laisser finir de discuter affaires et s'attribuer les zones d'actions de chacun.
"Tout est nickel, on fera remonter : tu peux te barrer."annonça après un conciliabule silencieux ledit représentant."Bien sûr, on compte encore sur ton silence."
Il valait sans dire que l'adolescent n'allait pas aller au centre de police le plus proche pour avouer avoir été impliquer dans une transaction de stupéfiants. Après tout même s'il n'en consommait, n'en traitait pas et n'en vendait pas de son initiative il participait à la propagation de ce "mal" et était donc complice.
Adressant un geste de la main pouvant passer pour un salut et signifiant principalement son désintérêt flagrant à cette idée de les dénoncer pour une réduction de peine qui serait une pénalisation qu'importe sa durée et inscrit dans son casier judiciaire toujours vierge : du moins à sa connaissance. Il décida de jouer le jeu et d'assurer de sa totale coopération dans l'affaire après tout y avait vraiment peu de chance que quelqu'un mette un prix suffisamment élevé ou intéressant pour qu'il vende ces infos :
"Le silence est d'or : bonne soirée messieurs~" furent les derniers mots qu'il adressa aux hommes avant de quitter la ruelle étroite qui les abritait mieux des regards que du bombardement aqueux qui décidait de s’intensifier.
Prenant un tournant qui allait le sortir du champ de vision de ses clients, le brunet en profita pour remettre à portée de ses yeux l'ouverture de son sac afin de faire sortir le parapluie que sa obaachan l'avait enjoint à prendre au vue des nuages qui avaient recouvert le ciel et le trouva facilement malgré le contenu de son sac grâce à sa couleur pour le moins rougeoyante.
Oh, il allait être repérable de loin avec ce parapluie d'un rouge sanglant et c'était vrai qu'il aimait bien cette couleur mais cela ne voulait pas dire qu'il voulait que tout ses accessoires soient d'une teinte sanguinaire. En parlant de ça, il pouvait maintenant ôter ses gants et les ranger dans la poche intérieure de son sac.
Après tout, même si c'était le Japon et qu'on tolérait facilement l'excentricité vestimentaires des personnes il n'était pas sûr que le port de ses gants ne marquent pas les mémoires. Il devait juste s'assurer de ne pas toucher directement les sacs rangés dans le sachet plastique et hermétique : ce qui était jouable.
Une fois abrité de l'attaque diluvienne du ciel bien que celle-ci ait eu le temps de mouiller ses cheveux et consteller ses lunettes de gouttes, il sortit une chamoisine grise pour nettoyer les verres de ses lunettes afin de percevoir à nouveau le monde comme il le ferait s'il ne s'embêtait pas à porter cet accessoire.
Et qui lui aurait permis avant de l'entendre la présence d'un cycliste dans cette zone assez délaissée surtout par ce temps pluvieux et en ce début de soirée. Tournant son regard vers la source de ce bruit et faisant en sorte de bloquer la ruelle à une quelconque inspection si cela se révélait être un agent de police.
Il put lâcher un soupir de soulagement interne en constatant que le passant était bien trop jeune pour être un représentant des forces de l'ordre et qu'il semblait égaré voir essoufflé comme s'il avait tenté de semer les projectiles que leur envoyait le ciel.
Réfléchissant un instant alors que ses yeux anthracites observaient attentivement l'apparence physique de l'adolescent qui se rapprochait de plus en plus à chaque coup de pédale, le receleur décida de laisser la place au délégué face au visage familier d'un de ses kohais :
"Konbanwa ! "lança Sorane avec un sourire engageant au cycliste qui se trouvait presque à son niveau en éteignant discrètement le dernier portable allumé se trouvant dans sa poche qui se trouvait dans sa poche avant d'indiquer d'un mouvement du parapluie le ciel et reprit d'une voix assez basse pouvant passer pour de la gène :
"C'est vraiment un sale temps pour traîner dehors...Dis moi, vous n'auriez pas encore de la batterie sur vôtre portable pour lancer l'application gps s'il vous plaît ? Je me suis complètement perdu dans ce labyrinthe de cul-de-sac.
Tout indiquait qu'il revenait de la ruelle qui se trouvait dans son dos, il ne servait donc à rien de le nier mais il fallait faire en sorte que cet étudiant de Namimori ne découvre pas ce qui se trouvait réellement au bout de ce chemin surtout qu'ils pourraient très bien décidé de le rouer de coups : or en tant que membre du conseil des lycéens il ne pouvait pas laisser ce lycéen se faire tabasser non ? Même s'il ne connaissait pas son nom, c'était sa responsabilité. Il devait donc juste l'amener loin d'ici avant qu'ils finissent leur petite réunion après tout, il était fort probable que certains d'entres eux empruntent la même voie de sortie que lui.
en bref
Quick Links