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Connexion# Un peu de chai et de menthe Sam 16 Mai - 19:59
Jin claqua la langue contre son palais quand il tomba sur le pot vide d’un de ses thés favoris. Il devait en retrouver. Il posa un regard sur la montre qu’il avait dans une de ses poches. C’était une ancienne qui aurait fait rêvé un collectionneur. Mais pour le mercenaire c’était surtout un cadeau qu’il avait eu d’un de ses clients. Il était tard, trop tard pour compter sur un magasin digne de ce nom. Pour lui, il était hors de question qu’il rentre dans un de ses kombinis. En plus, ils étaient truffés de caméras de surveillance. Se faire voir par ces appareils étaient tout sauf un bon point. Surtout pour lui. Mais les éviter de façon trop visible serait pire que tout. Il devait mesurer chacune de ses actions. Mais c’était ça aussi qu’il aimait dans son boulot de mercenaire. Sentir l’adrénaline lui souffler dans le cou de son haleine trop chaude. Il prit quelques billets et se décida d’aller dans un endroit connu par quelques personnes, dont lui.
Pour se fondre dans la masse, il avait mis sur sa tête une casquette de base-ball noire, seul le logo était colorée. Bien entendu, il ignorait qu’elle équipe il était censé soutenir, mais il en connaissait assez en base-ball pour éviter trop de questions. Jin marcha d’un pas presque trop lent pour lui. Il ressemblait encore plus à un gamin ainsi. Mais qu’importe. Il avait les mains profondément enfoncé dans ses poches et il vit la rue qui donnait accès au marché noir. Il glissa un carton à un type qui lui sourit. Il hocha la tête.
Il entra et était bien content d’être dans une heure où les gens ne pupllulait pas comm une bande d’insectes. Il pouvait voir le faussaire du coin essayer d’anarquer un jeune venu,. Mais son fourniseur de thé rare n’était pas loin. Il suffisait de suivre la subtile d’odeur de ces magnifique feuilles séchés pour le trouver. Un homme d’un âge respectable et des yeux perçants lui sourit.
« L’oisillon est donc revenu.
- Le mélange que vous avez vendu l’autre fois…
- L’oisillon est toujours peu bavard, bonsoir…
- Bonsoir. »
Pour se fondre dans la masse, il avait mis sur sa tête une casquette de base-ball noire, seul le logo était colorée. Bien entendu, il ignorait qu’elle équipe il était censé soutenir, mais il en connaissait assez en base-ball pour éviter trop de questions. Jin marcha d’un pas presque trop lent pour lui. Il ressemblait encore plus à un gamin ainsi. Mais qu’importe. Il avait les mains profondément enfoncé dans ses poches et il vit la rue qui donnait accès au marché noir. Il glissa un carton à un type qui lui sourit. Il hocha la tête.
Il entra et était bien content d’être dans une heure où les gens ne pupllulait pas comm une bande d’insectes. Il pouvait voir le faussaire du coin essayer d’anarquer un jeune venu,. Mais son fourniseur de thé rare n’était pas loin. Il suffisait de suivre la subtile d’odeur de ces magnifique feuilles séchés pour le trouver. Un homme d’un âge respectable et des yeux perçants lui sourit.
« L’oisillon est donc revenu.
- Le mélange que vous avez vendu l’autre fois…
- L’oisillon est toujours peu bavard, bonsoir…
- Bonsoir. »
en bref
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# Re: Un peu de chai et de menthe Dim 17 Mai - 1:12Du thé pour obaasan~ Le reflet de son miroir lui renvoya un regard rendu carmin par ses lentilles et dont les verres d'une couleur sanguine feront qu'il verra le marché noir de Namimori pour sa première visite teintée de rouge. Le seul élément qu'il conserva de sa tenue habituelle de l'Alias furent les gants de cuir rouge et parfaitement entretenus : exempte de toute odeur ferreuse et du sang qui les avaient recouverts il y a un mois et sept jours de cela et qui pouvait indiquer qu'il était Hypnos.
Le reste de sa tenue était plus sobre et passe partout un hoodie gris dont la capuche le recouvrai pour cacher sa chevelure et une veste noire par dessus où poches accueilleront ses mains gantées. Ce qui pourrait passer dans une foule malgré ses lunettes pouvant être jugées d'extravagantes mais qui cacheront son regard carmin du public. Après tout même si on n'était pas à Tokyo et qu'il n'y avait pas d'équivalent de Takeshita Street à Namimori, on pouvait croiser des personnes aux looks extravagants notamment des adolescents profitant d'être dans leur temps libre pour exprimer pleinement leur personnalité une fois libérée de leur uniforme.
Ce qui fait qu'il pouvait sortir ainsi habillé et rejoindre l'entrée du Marché Noir à pieds sans être arrêté sous le prétexte fallacieux d'atteinte au bon goût vestimentaire. Sinon autant construire une île artificielle pour servir de prison à tous les futurs pensionnaires.
Se déplaçant en découvrant Namimori sous un nouveau jour et dans des nuances rougeâtres, il arriva finalement à l'entrée comme on lui avait indiqué et paya sous le regard soupçonneux et attentif du guetteur son droit d'entrée.
Après tout, un nouvel visage provoquait naturellement une attention accrue dans ce genre d'endroit et il était prêt à parier ses gants qu'il devait avoir plusieurs paires de yeux qui se fixèrent et l'évaluèrent alors qu'il pénétrait ce nouveau territoire.
Certains de ces regards se détournant après l'avoir considéré indigne d'intérêt-il les remerciait mentalement- d'autres prenant le temps de mémoriser ses caractéristiques physiques qu'ils percevaient -taille, jeunesse de ce qu'il voyait de son visage, des lunettes voyantes ; il les remerciait moins chaleureusement- avant de se retourner à leurs affaires et la dernière catégorie qui regroupaient ceux qui réfléchissaient à quelle sauce, ils allaient manger cette chair fraîche et dont l'un des membres avait décidé d'accaparer le tokyoïte en le forçant à le suivre jusqu'à son stand-il ne savait pas s'il devait le remercier de le soustraire aux ordres ou le maudire de tenter de l'arnaquer.
Ce qui faisait qu'il venait de perdre une heure du temps qu'il avait décidé de consacrer à l'exploration des différents marchands et voir si certains ne rechercheraient pas des livreurs ou transporteurs quand un nouvel venu d'à peu près son âge fit son apparition. Pas qu'il prit le temps de vérifier cette impression ou de bien regarder le nouvel venu mais c'était là une occasion de prendre sa révérence de cette sangsue qui lui avaient quand même appris des choses intéressantes lorsqu'il n'essayait pas de lui refourguer sa marchandise dans les mains.
"Ah mon guide est arrivé, je vais devoir vous laisser~" confia précipitamment l'adolescent en emboîta le pas du jeune homme à la casquette sans attendre la réaction de son vis-à-vis.
Pourtant ça lui aurait pu lui mettre la puce à l'oreille la manière que l'homme a eu de le laisser aller et faire un mouvement de recul quand il avait dit qu'il devait rejoindre son "ami" qui venait d'arriver. Et lui faire comprendre qu'il s'approchait d'une personne avec un potentiel de risques suffisamment élevé pour ne pas être ignoré.
Sauf qu'il ne connaissait pas encore la hiérarchie entière du coin même s'il glanait des détails dessus à chacune de ses excursions dans le monde de la Nuit. Malheureusement, il ne parvint pas à attirer l'attention de son refuge avant que celui-ci ne les mène dans un des magasins où le gérant le surnomma "oisillon"et dont l'endroit embaumait de différentes senteurs de thé et semblait recelés de feuilles de qualité.
Décidant de ne pas troubler le jeune homme qui lui servait de prétexte lors de ses achats, le receleur salua poliment le gérant pour bien montrer ses intentions non hostiles et lui faire comprendre qu'il ne voulait pas troublé son commerce ni sa clientèle avant de regarder les produits exposés.
Songeant qu'il pourrait bien ramener un pot à sa grand-mère bienveillante qui s'intéressait beaucoup à la vie romantique de son seul petit-enfant, il se mit en quête du thé idéal pour elle. Les thés verts étant réputés bons pour la santé peut-être qu'il devrait opté pour du Gyokuro ? Ou du Longjing dont la période de consommation idéale approchait ? Il hésitait et aurait bien besoin des recommandations du gérant qui semblait préparé la commande spéciale de l'autre client qu'il avait oublié d'avoir suivi et le fixait de sous sa casquette.
Ah, était-il possible que l'homme le soupçonne de duplicité et ait eu conscience de sa filature ? Il devrait peut-être profiter de l'occasion pour désamorcer la situation et quelles conséquences pouvaient en découler de ce genre de cas non ? Et lui poser des questions sur le thé puisqu'il semblait être un connaisseur.
Hochant mentalement sa tête face à son idée, Sorane adressa un sourire engageant et soudain au garçon à la casquette avant de commencer à s'approcher de lui en faisant que ses mains soient bien visibles et son rythme lent pour qu'il comprenne qu'il venait pacifiquement.
Très important à signaler dans un marché noir où on ne savait jamais ce qui pouvait arriver et où il était plus fréquent de faire de mauvaises rencontres que de bonnes. Une fois assez proche du noiraud non bavard selon le vendeur mais sans envahir son espace vital, Sorane décida d'engager la conversation par des excuses et une explication :
"Bonsoir et désolé de vous avoir suivi, c'était la première occasion que j'ai trouvé pour me débarrasser d'un arnaqueur sans me montrer incivile pour ma première visite au Marché."
Vous pensez que c'est une mauvaise idée d'avouer à un habitué que vous êtes un nouvel arrivant du coin ? Pauvre naïf, chaque accoutumé des environs savaient instinctivement quand un visage ne leur était pas familier et il ne valait mieux pas essayer de les rouler car ils pouvaient se sentir insultés d'idiots.
Après il ne fallait pas non plus compter sur un traitement laxiste envers les nouveaux, non ils étaient testés et pris en compte s'ils survivaient assez longtemps ou se retrouvaient sous l'aile d'un rapace. Bien sûr certains secteurs étaient plus ouverts au sang frais comme toutes les communautés.
"Est-ce que je pourrais vous troubler davantage pour m'aider à sélectionner un thé adéquat pour une baasan de ma connaissance ?"demanda poliment le lycéen en n'indiquant pas s'il avait des liens de parenté avec cette vieille dame ou non à l'inconnu par prudence.
:copyright:️ 2981 12289 0
Le reste de sa tenue était plus sobre et passe partout un hoodie gris dont la capuche le recouvrai pour cacher sa chevelure et une veste noire par dessus où poches accueilleront ses mains gantées. Ce qui pourrait passer dans une foule malgré ses lunettes pouvant être jugées d'extravagantes mais qui cacheront son regard carmin du public. Après tout même si on n'était pas à Tokyo et qu'il n'y avait pas d'équivalent de Takeshita Street à Namimori, on pouvait croiser des personnes aux looks extravagants notamment des adolescents profitant d'être dans leur temps libre pour exprimer pleinement leur personnalité une fois libérée de leur uniforme.
Ce qui fait qu'il pouvait sortir ainsi habillé et rejoindre l'entrée du Marché Noir à pieds sans être arrêté sous le prétexte fallacieux d'atteinte au bon goût vestimentaire. Sinon autant construire une île artificielle pour servir de prison à tous les futurs pensionnaires.
Se déplaçant en découvrant Namimori sous un nouveau jour et dans des nuances rougeâtres, il arriva finalement à l'entrée comme on lui avait indiqué et paya sous le regard soupçonneux et attentif du guetteur son droit d'entrée.
Après tout, un nouvel visage provoquait naturellement une attention accrue dans ce genre d'endroit et il était prêt à parier ses gants qu'il devait avoir plusieurs paires de yeux qui se fixèrent et l'évaluèrent alors qu'il pénétrait ce nouveau territoire.
Certains de ces regards se détournant après l'avoir considéré indigne d'intérêt-il les remerciait mentalement- d'autres prenant le temps de mémoriser ses caractéristiques physiques qu'ils percevaient -taille, jeunesse de ce qu'il voyait de son visage, des lunettes voyantes ; il les remerciait moins chaleureusement- avant de se retourner à leurs affaires et la dernière catégorie qui regroupaient ceux qui réfléchissaient à quelle sauce, ils allaient manger cette chair fraîche et dont l'un des membres avait décidé d'accaparer le tokyoïte en le forçant à le suivre jusqu'à son stand-il ne savait pas s'il devait le remercier de le soustraire aux ordres ou le maudire de tenter de l'arnaquer.
Ce qui faisait qu'il venait de perdre une heure du temps qu'il avait décidé de consacrer à l'exploration des différents marchands et voir si certains ne rechercheraient pas des livreurs ou transporteurs quand un nouvel venu d'à peu près son âge fit son apparition. Pas qu'il prit le temps de vérifier cette impression ou de bien regarder le nouvel venu mais c'était là une occasion de prendre sa révérence de cette sangsue qui lui avaient quand même appris des choses intéressantes lorsqu'il n'essayait pas de lui refourguer sa marchandise dans les mains.
"Ah mon guide est arrivé, je vais devoir vous laisser~" confia précipitamment l'adolescent en emboîta le pas du jeune homme à la casquette sans attendre la réaction de son vis-à-vis.
Pourtant ça lui aurait pu lui mettre la puce à l'oreille la manière que l'homme a eu de le laisser aller et faire un mouvement de recul quand il avait dit qu'il devait rejoindre son "ami" qui venait d'arriver. Et lui faire comprendre qu'il s'approchait d'une personne avec un potentiel de risques suffisamment élevé pour ne pas être ignoré.
Sauf qu'il ne connaissait pas encore la hiérarchie entière du coin même s'il glanait des détails dessus à chacune de ses excursions dans le monde de la Nuit. Malheureusement, il ne parvint pas à attirer l'attention de son refuge avant que celui-ci ne les mène dans un des magasins où le gérant le surnomma "oisillon"et dont l'endroit embaumait de différentes senteurs de thé et semblait recelés de feuilles de qualité.
Décidant de ne pas troubler le jeune homme qui lui servait de prétexte lors de ses achats, le receleur salua poliment le gérant pour bien montrer ses intentions non hostiles et lui faire comprendre qu'il ne voulait pas troublé son commerce ni sa clientèle avant de regarder les produits exposés.
Songeant qu'il pourrait bien ramener un pot à sa grand-mère bienveillante qui s'intéressait beaucoup à la vie romantique de son seul petit-enfant, il se mit en quête du thé idéal pour elle. Les thés verts étant réputés bons pour la santé peut-être qu'il devrait opté pour du Gyokuro ? Ou du Longjing dont la période de consommation idéale approchait ? Il hésitait et aurait bien besoin des recommandations du gérant qui semblait préparé la commande spéciale de l'autre client qu'il avait oublié d'avoir suivi et le fixait de sous sa casquette.
Ah, était-il possible que l'homme le soupçonne de duplicité et ait eu conscience de sa filature ? Il devrait peut-être profiter de l'occasion pour désamorcer la situation et quelles conséquences pouvaient en découler de ce genre de cas non ? Et lui poser des questions sur le thé puisqu'il semblait être un connaisseur.
Hochant mentalement sa tête face à son idée, Sorane adressa un sourire engageant et soudain au garçon à la casquette avant de commencer à s'approcher de lui en faisant que ses mains soient bien visibles et son rythme lent pour qu'il comprenne qu'il venait pacifiquement.
Très important à signaler dans un marché noir où on ne savait jamais ce qui pouvait arriver et où il était plus fréquent de faire de mauvaises rencontres que de bonnes. Une fois assez proche du noiraud non bavard selon le vendeur mais sans envahir son espace vital, Sorane décida d'engager la conversation par des excuses et une explication :
"Bonsoir et désolé de vous avoir suivi, c'était la première occasion que j'ai trouvé pour me débarrasser d'un arnaqueur sans me montrer incivile pour ma première visite au Marché."
Vous pensez que c'est une mauvaise idée d'avouer à un habitué que vous êtes un nouvel arrivant du coin ? Pauvre naïf, chaque accoutumé des environs savaient instinctivement quand un visage ne leur était pas familier et il ne valait mieux pas essayer de les rouler car ils pouvaient se sentir insultés d'idiots.
Après il ne fallait pas non plus compter sur un traitement laxiste envers les nouveaux, non ils étaient testés et pris en compte s'ils survivaient assez longtemps ou se retrouvaient sous l'aile d'un rapace. Bien sûr certains secteurs étaient plus ouverts au sang frais comme toutes les communautés.
"Est-ce que je pourrais vous troubler davantage pour m'aider à sélectionner un thé adéquat pour une baasan de ma connaissance ?"demanda poliment le lycéen en n'indiquant pas s'il avait des liens de parenté avec cette vieille dame ou non à l'inconnu par prudence.
en bref
# Re: Un peu de chai et de menthe Dim 17 Mai - 10:30
Jin souleva un sourcil avant de regarder le jeune homme qui lui parlait de cette façon. Avant de hausser les épaules. c’était bien un débutant si sa seule présence pouvait servir d’alibi pour échapper aux discours pompeux de l’arnaqueur. Le mafieux se souvenait de sa première fois au marché, il ne devait pas être plus âgé que ce garçon. Ce qui lui avait valu le surnom dont l’affublait l’homme vendeur de thé.
« L’oisillon à trouve un poussin... »
Le mercenaire grogna se retenant de se frapper le front. De quoi se mêlait cet homme ? Comme si une histoire de cœur l’intéressait. Cela faisait des années qu’il n’avait rien à l’horizon et ça lui convenait parfaitement. Il secoua la main avant de se tourner à nouveau vers le vendeur. Alors que le jeune posa sa question pour une dame âgée, il sourit quelques secondes avant de reprendre son habituel visage froid.
« Black mist et ça me suffira.
- Vous l’aimez bien mon mélange. Je suis flatté. J’ai fait un nouveau mélange dont vous me direz des nouvelles Night Sky.
- Je venais aussi pour voir si vous aviez pas un thé fermenté, une personne m’en a parlé l’autre jour, j’avoue être curieux de goûter ça.
- Une personne qui s’y connaissait. Il est rare cependant. Vous comprendrez que le prix sera plus élevé.
-Pour répondre à la demande du poussin… Je pourrais certes vous conseiller. Malgré ma passion pour les feuilles de thé et les mélange possibles avec divers ingrédients naturels. Je ne sais pas si votre dame d’un certain âge aime le thé ou non. »
C’était si rare que Jin parle autant qu’il sentait une irritation dans sa gorge. Il sortit d’une de ses poches une canettes qu’il avait pris dans un distributeur un soir. Le mercenaire peu causant avait retrouvé ses mots. Pas qu’il se sente à l’aise avec un étranger. Mais l’odeur de thé lui avait monté à la tête. Sa passion avait primé sur son envie de solitude. Pourtant il devait observer des adolescents de plus ou moins son âge pour sa mission. Ce garçon avait des liens avec le monde de l’ombre, c’était certain, mais à quel point ? Le mafieux se dit qu’il creuserait ça un peu.
« L’oisillon à trouve un poussin... »
Le mercenaire grogna se retenant de se frapper le front. De quoi se mêlait cet homme ? Comme si une histoire de cœur l’intéressait. Cela faisait des années qu’il n’avait rien à l’horizon et ça lui convenait parfaitement. Il secoua la main avant de se tourner à nouveau vers le vendeur. Alors que le jeune posa sa question pour une dame âgée, il sourit quelques secondes avant de reprendre son habituel visage froid.
« Black mist et ça me suffira.
- Vous l’aimez bien mon mélange. Je suis flatté. J’ai fait un nouveau mélange dont vous me direz des nouvelles Night Sky.
- Je venais aussi pour voir si vous aviez pas un thé fermenté, une personne m’en a parlé l’autre jour, j’avoue être curieux de goûter ça.
- Une personne qui s’y connaissait. Il est rare cependant. Vous comprendrez que le prix sera plus élevé.
-Pour répondre à la demande du poussin… Je pourrais certes vous conseiller. Malgré ma passion pour les feuilles de thé et les mélange possibles avec divers ingrédients naturels. Je ne sais pas si votre dame d’un certain âge aime le thé ou non. »
C’était si rare que Jin parle autant qu’il sentait une irritation dans sa gorge. Il sortit d’une de ses poches une canettes qu’il avait pris dans un distributeur un soir. Le mercenaire peu causant avait retrouvé ses mots. Pas qu’il se sente à l’aise avec un étranger. Mais l’odeur de thé lui avait monté à la tête. Sa passion avait primé sur son envie de solitude. Pourtant il devait observer des adolescents de plus ou moins son âge pour sa mission. Ce garçon avait des liens avec le monde de l’ombre, c’était certain, mais à quel point ? Le mafieux se dit qu’il creuserait ça un peu.
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# Re: Un peu de chai et de menthe Dim 17 Mai - 17:29Du thé pour obaasan~ Haussements de sourcil et des épaules, on pouvait les prendre pour des réactions encourageantes au moins il ne lui avait ni sauté dessus pour le plaquer dessus et le menacer de s'occuper de son cas dans des descriptions fleuries ou dans des paroles froides ne laissant aucun doute qu'il était sérieux.
En somme, il pouvait lui accoler l'étiquette de tolérant et non de détraqué ou d'instabilité : une première personne fréquentable rencontré en ces lieux inconnus pour l'instant.
"L'oisillon a trouvé un poussin..."furent les mots que prononça le gérant pour signaler son retour avec la commande préparée pour l'oisillon à qui il fit place pour aller saisir sa commande et réagir envers le vieil homme qu'il devait bien connaître pour que celui-ci le taquine. Et que cette plaisanterie soit tolérée et ne provoque qu'un geste las de dénégation et rien de plus.
On pouvait presque penser voir un grand-père taquiner son petit-enfant qui venait lui rendre visite. Et oui, il pouvait aussi y avoir de telles scènes dans le monde noir et ténébreux de l'Underground. Bien que les outsiders pouvaient les manquer n'étant pas conviés dans ces moments où des liens sont démontrés subtilement ou non entre des partenaires.
*Il me voit comme un poussin comme j'ai suivi son client régulier tel l'un d'eux qui vient d'éclore et l'aurait reconnu comme "mère"...*retenant un sourire face à cette image mentale et nota dans sa tête les noms de mélange de thé mentionnés pour songer qu'il devrait les goûter un jour. Mais pas aujourd'hui sinon ça pouvait donner l'impression qu'il cherchait à imiter cet inconnu sympathique au domaine de prédilection inconnu. Ou le rejoindre dans son équipe s'il en avait une. Sa prudence et sa liberté faisant qu'il maintenait une certaine distance entre lui et ses employeurs : donnant une relation assez fragile.
Bien qu'il espérait se construire une réputation de fiabilité et de discrétion sur différents jobs pour combler ce manque et démontrer une certaine neutralité qui pourrait attirer mais aussi rebuter de potentiels clients.
Attendant patiemment que leur conversation finisse sous son regard écarlate, l'adolescent en profita pour examiner son confrère qui semblait dégageait une certaine maturité et un calme non feint. Une certaine assurance dans ses mouvements qu'on obtenait qu'avec l'âge et donc l'expérience. Et pourtant, ils étaient de stature similaire mais Sorane avait plus l'air d'un poussin que le noiraud.
Songeant qu'il venait d'à nouveau de changer d'animal totem alors qu'une nouvel personne du troisième âge lui conférait un animal : sa grand-mère l'ayant appelé chaton jusqu'à qu'elle apprenne qu'il avait obtenu sa licence de parkour et gambadait de bâtiment en bâtiment et le désignait comme un "momonga" (écureuil volant). Et maintenant, un poussin mais il n'avait nullement l'intention de devenir un coq qui se pavane et se reçoit une balle par la nuisance sonore qu'il était.
Surtout que c'était un volatile qui ne pouvait voler, à qui on volait les œufs de leur labeur et plumait pour s'en nourrir ensuite. Certes, tout était exploitable chez lui mais c'était bien au détriment de l'animal.
Non, être un momonga lui convenait bien mieux bien qu'il ne puisse réellement voler mais planait simplement cela devrait l'empêcher de s'approcher trop près du Soleil et de s'y brûler les ailes comme Icare et de faire une sacré chute. Ils savaient atterrir ces petits mammifères discrets.
Pas de vol en hauteur pour attirer une attention soutenue d'éventuels chasseurs tapies : parfait,et bien que les momonga se font braconniers pour leur fourrure aussi. Il n'avait qu'à faire en sorte de redoubler de vigilance et de bien s'assurer que ni l'expéditeur et ni le destinataire ne sauraient quels trajets il utiliserait. Après tout, il ne pouvait pas s'assurer qu'ils ne fuitent rien et il en avait eu la preuve il a d'un mois de cela.
Constatant que le jeune homme à l'âge indéterminé lui adressa la parole, Sorane lui adressa un sourire reconnaissant avant de lui apporter les détails demandés pendant qu'il se ré abreuvait :
"Avec plaisir, elle en consomme en effet bien que ça soit plus du thé vert pour leurs vertus thérapeutiques, c'est pourquoi j'avais songé à lui prendre du Gyokuro et du Longjing de cette saison... Pour les mélanges, j'avoue ne pas m'y connaître suffisamment pour m'y explorer seul. "
Surtout qu'il ne pouvait décemment invité sa chère obaachan ici bien qu'elle serait ravie de faire des emplettes dans les différentes boutiques. Pas qu'il jugeait ce commerçant de thé suspect si la santé de ses clients avaient rencontré des complications en consommant les produits de chez lui, il ne serait plus là et pas aussi bien installé.
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En somme, il pouvait lui accoler l'étiquette de tolérant et non de détraqué ou d'instabilité : une première personne fréquentable rencontré en ces lieux inconnus pour l'instant.
"L'oisillon a trouvé un poussin..."furent les mots que prononça le gérant pour signaler son retour avec la commande préparée pour l'oisillon à qui il fit place pour aller saisir sa commande et réagir envers le vieil homme qu'il devait bien connaître pour que celui-ci le taquine. Et que cette plaisanterie soit tolérée et ne provoque qu'un geste las de dénégation et rien de plus.
On pouvait presque penser voir un grand-père taquiner son petit-enfant qui venait lui rendre visite. Et oui, il pouvait aussi y avoir de telles scènes dans le monde noir et ténébreux de l'Underground. Bien que les outsiders pouvaient les manquer n'étant pas conviés dans ces moments où des liens sont démontrés subtilement ou non entre des partenaires.
*Il me voit comme un poussin comme j'ai suivi son client régulier tel l'un d'eux qui vient d'éclore et l'aurait reconnu comme "mère"...*retenant un sourire face à cette image mentale et nota dans sa tête les noms de mélange de thé mentionnés pour songer qu'il devrait les goûter un jour. Mais pas aujourd'hui sinon ça pouvait donner l'impression qu'il cherchait à imiter cet inconnu sympathique au domaine de prédilection inconnu. Ou le rejoindre dans son équipe s'il en avait une. Sa prudence et sa liberté faisant qu'il maintenait une certaine distance entre lui et ses employeurs : donnant une relation assez fragile.
Bien qu'il espérait se construire une réputation de fiabilité et de discrétion sur différents jobs pour combler ce manque et démontrer une certaine neutralité qui pourrait attirer mais aussi rebuter de potentiels clients.
Attendant patiemment que leur conversation finisse sous son regard écarlate, l'adolescent en profita pour examiner son confrère qui semblait dégageait une certaine maturité et un calme non feint. Une certaine assurance dans ses mouvements qu'on obtenait qu'avec l'âge et donc l'expérience. Et pourtant, ils étaient de stature similaire mais Sorane avait plus l'air d'un poussin que le noiraud.
Songeant qu'il venait d'à nouveau de changer d'animal totem alors qu'une nouvel personne du troisième âge lui conférait un animal : sa grand-mère l'ayant appelé chaton jusqu'à qu'elle apprenne qu'il avait obtenu sa licence de parkour et gambadait de bâtiment en bâtiment et le désignait comme un "momonga" (écureuil volant). Et maintenant, un poussin mais il n'avait nullement l'intention de devenir un coq qui se pavane et se reçoit une balle par la nuisance sonore qu'il était.
Surtout que c'était un volatile qui ne pouvait voler, à qui on volait les œufs de leur labeur et plumait pour s'en nourrir ensuite. Certes, tout était exploitable chez lui mais c'était bien au détriment de l'animal.
Non, être un momonga lui convenait bien mieux bien qu'il ne puisse réellement voler mais planait simplement cela devrait l'empêcher de s'approcher trop près du Soleil et de s'y brûler les ailes comme Icare et de faire une sacré chute. Ils savaient atterrir ces petits mammifères discrets.
Pas de vol en hauteur pour attirer une attention soutenue d'éventuels chasseurs tapies : parfait,et bien que les momonga se font braconniers pour leur fourrure aussi. Il n'avait qu'à faire en sorte de redoubler de vigilance et de bien s'assurer que ni l'expéditeur et ni le destinataire ne sauraient quels trajets il utiliserait. Après tout, il ne pouvait pas s'assurer qu'ils ne fuitent rien et il en avait eu la preuve il a d'un mois de cela.
Constatant que le jeune homme à l'âge indéterminé lui adressa la parole, Sorane lui adressa un sourire reconnaissant avant de lui apporter les détails demandés pendant qu'il se ré abreuvait :
"Avec plaisir, elle en consomme en effet bien que ça soit plus du thé vert pour leurs vertus thérapeutiques, c'est pourquoi j'avais songé à lui prendre du Gyokuro et du Longjing de cette saison... Pour les mélanges, j'avoue ne pas m'y connaître suffisamment pour m'y explorer seul. "
Surtout qu'il ne pouvait décemment invité sa chère obaachan ici bien qu'elle serait ravie de faire des emplettes dans les différentes boutiques. Pas qu'il jugeait ce commerçant de thé suspect si la santé de ses clients avaient rencontré des complications en consommant les produits de chez lui, il ne serait plus là et pas aussi bien installé.
en bref
# Re: Un peu de chai et de menthe Dim 17 Mai - 18:04
Jin compta machinalement l’argent qu’il avait. Il espérait avoir assez pour tester ce fameux thé fermenté dont l’avais parlé ce chinois. Habitué au saveurs parfois étranges, il était dégouté de peu de choses. Bien qu’un peu parano face à ce qu’on pouvait lui offrir. Les seuls qui arrivaient à lui faire manger quelque chose dont il connaissait pas l’origine c’était sa famille et quelques vendeurs ou vendeuses qui distribuait timidement leur marchandise. Les jeunes pleins d’enthousiasme lui rappelant trop ces fichus soleil qu’il n’aimait pas. Le jene homme parla, il parla même trop. Le mafieux se massa le sommet du nez avec un léger agacement. Mais il avait dit qu’il aiderait. Il commençait à regretter ses mots.
« Bon choix, il est vrai que le thé vert est très bon, car en plus d’être un anti-oxydant naturel. Il détends. Il y a le thé blanc plus délicat mais bien préparé il pourrait être bon. Pour ce qui est du Longjin, c’est une belle idée. Enfin pour les mélange tout dépends de votre fournisseur. Celui-ci s’amuse à joue avec les termes anglais qui rappelle le monde de l’ombre. »
Dit Jin avec une pointe d’humour. Rare pour lui de sa part. Il avait beau avoir un coté réservé. Il avait quelques personnes qu’il acceptait dans son entourage et ce vendeur de thé en faisait partie sans aucun doute. Il mit dans ne de ses poches la petite boite que lui avait tendu l’homme. Il sorti l’argent qu’il posa au creux de la main ridée.
« Pour le thé fermenté, j’en ai, mais il serait mieux pur vous de tester avant d’en acheter un peu.
- Pourquoi pas, tant que ça ne me coûte pas trop cher.
- Oisillon inviterai poussin à prendre le thé.
- Poussin a besoin de thé vert, donne-lui ce qu’il veut. »
Le mafieux s’installa sur un mur et en s’y appuyant négligemment. Malgré ses longs cheveux, il se les coinçait presque jamais.
« Bon choix, il est vrai que le thé vert est très bon, car en plus d’être un anti-oxydant naturel. Il détends. Il y a le thé blanc plus délicat mais bien préparé il pourrait être bon. Pour ce qui est du Longjin, c’est une belle idée. Enfin pour les mélange tout dépends de votre fournisseur. Celui-ci s’amuse à joue avec les termes anglais qui rappelle le monde de l’ombre. »
Dit Jin avec une pointe d’humour. Rare pour lui de sa part. Il avait beau avoir un coté réservé. Il avait quelques personnes qu’il acceptait dans son entourage et ce vendeur de thé en faisait partie sans aucun doute. Il mit dans ne de ses poches la petite boite que lui avait tendu l’homme. Il sorti l’argent qu’il posa au creux de la main ridée.
« Pour le thé fermenté, j’en ai, mais il serait mieux pur vous de tester avant d’en acheter un peu.
- Pourquoi pas, tant que ça ne me coûte pas trop cher.
- Oisillon inviterai poussin à prendre le thé.
- Poussin a besoin de thé vert, donne-lui ce qu’il veut. »
Le mafieux s’installa sur un mur et en s’y appuyant négligemment. Malgré ses longs cheveux, il se les coinçait presque jamais.
en bref
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# Re: Un peu de chai et de menthe Lun 18 Mai - 17:50Du thé pour obaasan~ Hochant la tête afin d'indiquer qu'il écoutait attentivement les conseils de son camarade le lycéen décida qu'il se contenterait du Longjing ne se souvenant plus si sa grand-mère était friande du thé blanc bien qu'elle devait en consommer avec ses amies lors des cérémonies de thé qu'elles tenaient et où il l'accompagnait lorsqu'il se trouvait dans les parages.
"Les titres sont aguicheurs mais je passerai pour cette fois, de même pour le thé blanc."approuva le receleur alors que son guide réglait sa transaction et s'adossait au mûr après qu'il fut décider qu'il rejoindrait la dégustation du thé fermenté. Le plus jeune du trio cligna des yeux de surprise face au développement de se retrouver à assister à un chanoyu dans l'Underground et qu'il faisait une mauvaise interprétation en pensant qu'ils allaient effectuer une véritable cérémonie du thé. Le gérant ne pouvant s'absenter pour présider la cérémonie. Saluant les deux hommes, il décida de faire preuve de bonnes manières et de suivre le flot : "J'en serais honoré.
Payant la boîte de Longjin que le marchand lui prépara; il la saisit et la rangea avec précaution dans la poche de son manteau en le remerciant, il alla ensuite se placer aux côtés de l'autre garçon sans toutefois entrer en contact ni avec son corps ou ni avec ses cheveux. Il ne manquerait plus qu'il brise l'atmosphère relaxante en piégeant certains des ces fils de soie sous son corps et forçant le connaisseur en thé a devoir se dégager maladroitement.
Non, non, il ne ferait pas ça : c'était un moment propice à bâtir de bonnes premières impressions et pourquoi pas des relations. C'est pourquoi il s'assurera d'appliquer tout ce que sa obaasan et ses amies lui avaient dit sur les étapes d'une cérémonie de thé dans les traditions japonaises.
Cependant, il ne savait pas où il devait se rendre ensuite et allait devoir vraiment suivre l'oisillon comme un poussin pour savoir où ils devaient se rendre pour déguster ce fameux thé fermenté. Il devrait peut-être retiré ses lunettes et sa capuche pour témoigner plus de respect envers ses hôtes bien qu'il souhaiterait le faire dans une pièce moins exposé et où d'autres inconnus ne risquaient pas de le surprendre...
Mais il y renonça bien qu'il fit glisser ses verres légèrement afin de découvrir ses accompagnateurs dans leurs teintes naturelles pour mieux se souvenir des traits de ces deux personnes ayant fait preuve d’accueil à son encontre.
:copyright:️ 2981 12289 0
"Les titres sont aguicheurs mais je passerai pour cette fois, de même pour le thé blanc."approuva le receleur alors que son guide réglait sa transaction et s'adossait au mûr après qu'il fut décider qu'il rejoindrait la dégustation du thé fermenté. Le plus jeune du trio cligna des yeux de surprise face au développement de se retrouver à assister à un chanoyu dans l'Underground et qu'il faisait une mauvaise interprétation en pensant qu'ils allaient effectuer une véritable cérémonie du thé. Le gérant ne pouvant s'absenter pour présider la cérémonie. Saluant les deux hommes, il décida de faire preuve de bonnes manières et de suivre le flot : "J'en serais honoré.
Payant la boîte de Longjin que le marchand lui prépara; il la saisit et la rangea avec précaution dans la poche de son manteau en le remerciant, il alla ensuite se placer aux côtés de l'autre garçon sans toutefois entrer en contact ni avec son corps ou ni avec ses cheveux. Il ne manquerait plus qu'il brise l'atmosphère relaxante en piégeant certains des ces fils de soie sous son corps et forçant le connaisseur en thé a devoir se dégager maladroitement.
Non, non, il ne ferait pas ça : c'était un moment propice à bâtir de bonnes premières impressions et pourquoi pas des relations. C'est pourquoi il s'assurera d'appliquer tout ce que sa obaasan et ses amies lui avaient dit sur les étapes d'une cérémonie de thé dans les traditions japonaises.
Cependant, il ne savait pas où il devait se rendre ensuite et allait devoir vraiment suivre l'oisillon comme un poussin pour savoir où ils devaient se rendre pour déguster ce fameux thé fermenté. Il devrait peut-être retiré ses lunettes et sa capuche pour témoigner plus de respect envers ses hôtes bien qu'il souhaiterait le faire dans une pièce moins exposé et où d'autres inconnus ne risquaient pas de le surprendre...
Mais il y renonça bien qu'il fit glisser ses verres légèrement afin de découvrir ses accompagnateurs dans leurs teintes naturelles pour mieux se souvenir des traits de ces deux personnes ayant fait preuve d’accueil à son encontre.
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# Re: Un peu de chai et de menthe Lun 18 Mai - 20:25
Jin lâcha un léger soupir, il allait être bien obligé de supporter le poussin aux yeux carmin. Le mafieux se décolla du mur sur lequel il était appuyé. Le vendeur allait encore dire quelque chose dont il n’avait aucune envie d’entendre. Par politesse, il enleva sa casquette pour la cérémonie. Il sortit un élastique noir. El un samouraï le mercenaire remontait ses ses cheveux longs. Certains diront que sa chevelure était un handicap, mais il avait déjà prouver que ce n’était pas vraiment le cas. On le confondait parfois avec une demoiselle, mais ça ne le gênait pas outre mesure.
« Suivez-moi jeunes volatiles... »
Pour cet homme, ils étaient vraiment jeune, en même temps le vendeur malgré son âge pouvait être féroce. La pièce était digne d’un film de samouraï d’époque. Il retira ses chaussures avec soin avant de les mettre dans un coin ensemble sans un bruit. Il s’installa dans un coin en position traditionnelle sans un regard sur l poussin. Il salua le maître de la cérémonie en s’inclinant de façon polie.
« L’oisillon serait un peu impatient ?
- Non, pas vraiment... »
en vérité, il brûlait d’envie de goûter à ce breuvage depuis qu’il en avait entendu parler. Il remercia sa position pour le freiner dan son impatience. C’était peut-être pour ce genre de situation qu’elle avait été mise en place.
« Commençons... »
L’homme se mit en position, son regard brillant d’une certaine bonne humeur, il prit le matériel avec délicatesse avant de le placer de façon idéale. Aucun mouvement ne serait superflux. Le vielle homme sortit un sac de thé qui sentait fort. L’odeur particulière activa les sens de Jin. Il resta droit, bien que sa tête s’était légèrement avancée. L’endroit était plus ou moins sur, donc le barman était un pe plus naturel. Enfin, il avait pas bu d’alcool pour l’être totalement de toute façon. Le vieil homme termina ses gestes par une glissement d’une tasse en terre cuite noire où se dégageait un parfum entêtant. Il se pencha et fit glisser trois la tasse comme indiquée dans la tradition.
« Merci. »
Il huma le doux fumet avec plaisir.
« Suivez-moi jeunes volatiles... »
Pour cet homme, ils étaient vraiment jeune, en même temps le vendeur malgré son âge pouvait être féroce. La pièce était digne d’un film de samouraï d’époque. Il retira ses chaussures avec soin avant de les mettre dans un coin ensemble sans un bruit. Il s’installa dans un coin en position traditionnelle sans un regard sur l poussin. Il salua le maître de la cérémonie en s’inclinant de façon polie.
« L’oisillon serait un peu impatient ?
- Non, pas vraiment... »
en vérité, il brûlait d’envie de goûter à ce breuvage depuis qu’il en avait entendu parler. Il remercia sa position pour le freiner dan son impatience. C’était peut-être pour ce genre de situation qu’elle avait été mise en place.
« Commençons... »
L’homme se mit en position, son regard brillant d’une certaine bonne humeur, il prit le matériel avec délicatesse avant de le placer de façon idéale. Aucun mouvement ne serait superflux. Le vielle homme sortit un sac de thé qui sentait fort. L’odeur particulière activa les sens de Jin. Il resta droit, bien que sa tête s’était légèrement avancée. L’endroit était plus ou moins sur, donc le barman était un pe plus naturel. Enfin, il avait pas bu d’alcool pour l’être totalement de toute façon. Le vieil homme termina ses gestes par une glissement d’une tasse en terre cuite noire où se dégageait un parfum entêtant. Il se pencha et fit glisser trois la tasse comme indiquée dans la tradition.
« Merci. »
Il huma le doux fumet avec plaisir.
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# Re: Un peu de chai et de menthe Mar 19 Mai - 0:23Du thé pour obaasan~ Il ne regrettait absolument pas d’avoir suivi cet homme. Il se répétait peut-être mais il venait d’avoir une nouvelle fois confirmation que c’était un bon choix de sa part.
La preuve en est qu’il se retrouvait dans une pièce qui semblait provenir du passé et était emplis du savoir de son propriétaire sur le chadō. Et que ça n’était pas une reproduction sans vie exposer à un musée. Mais un lieu usité et marquait par les senteurs passées et par le passage des participants lors de ces rites. Oh il ne disait pas que la place était usée ou mal entretenue bien au contraire mais on constatait des traces d’utilisation : usures, rayures,etc.
Inspectant l’endroit et constatant qu’il y avait peu de chance que des personnes non invitées ne puissent les apercevoir, l’adolescent retira sa capuche et ses chaussures de manière décalée de son accompagnateur.
Pouvant donner l’impression qu’il l’imitait encore mais ça n’était pas intentionnel. Contrairement à l’habitué qui considérait cet endroit sûr, le lycéen avait perdu du temps à observer son environnement : les autres ouvertures et admirer les fournitures.
La capuche et les lunettes n’étant plus présent son faux regard carmin saisissait avec avidité et respect chaque recoin de l’intérieur. Appréciant l’Esprit du Thé qui se dégageait des lieux. Il ne lui restait qu’à ôter ses gants pour qu’il soit dans les meilleures conditions pour participer dignement à cet échange.
Mais il devait avouer qu’il éprouvait une certaine hésitation à l’idée de retirer cette protection qui lui permettait de ne pas avoir à exposer ses empreintes digitales et être utilisé contre lui. Très important lorsqu’on était un receleur et transportait manuellement des produits illicites ou volés. Il ne fallait pas laisser de traces d’adn ou non qui pouvaient remontaient à lui.
Surtout qu’il avait encore une identité civile qu’il utilisait et était sa réelle identité. Sauf qu’il allait consommer du thé et donc boire d’une coupe laissant ainsi de la salive. Il pouvait donc bien ôter ses gants : sans remords non ?
Les retirant, il les rangea dans la poche libre de thé pour s’installer lorsque ce fut son tour à l’endroit convenu et en position de seiza selon les traditions. Humant la senteur forte du thé fermentée qu’il n’avait encore jamais eu l’occasion de goûter : l’adolescent ferma ses yeux afin de focaliser son attention sur son odorat. S’imprégnant de l’odeur.
Bien qu’il les rouvrit assez rapidement afin d’observer la grâce et le savoir faire d’un maître à l’oeuvre. De la préparation des ustensiles à celle du thé. Fasciné par les manœuvres que par le thé qui teintait l’eau chaude de plus en plus : un spectacle ravissant les yeux, les oreilles et le nez.
Cet homme avait une maîtrise certaine bien que l’apprentissage de la voie de thé n’était jamais fini.
Étant l’invité d’honneur, l’oisillon fut le premier servi et réceptionna en suivant les rites d’usage. Prouvant ainsi qu’il s’y connaissait : humant la senteur. Il finit par prendre une gorgée de son thé et de faire parvenir son avis à l’hôte qui lui avait demandé ce qu’il en pensait. Avant d’en saisir deux nouvelles gorgées et d’essuyer le bord avant de retourner la tasse dans sa position d’origine.
Le saluant, il lui transmit sa tasse :
« Merci »saisissant avec délicatesse et fermeté la tasse chaude à son tour, Sorane effectua tel un miroir les mêmes gestes que son prédécesseur avait effectué. Traitant avec respect cette tasse d’une valeur certaine, il put goûter un thé à l’arôme rond et doux. Une merveille : il ne savait pas si c’était dû à son bonheur d’avoir cette chance, de la qualité des feuilles de thé ou des compétences du Maître de cérémonie qui les présidait ou une combinaison des trois.
"Délicieux." répondit sobrement à son tour bien qu’on sentait une certaine émotion dans sa voix.
Avant de prendre ses deux dernières gorgées du breuvage avant de le rendre selon les convenances à leur hôte.
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La preuve en est qu’il se retrouvait dans une pièce qui semblait provenir du passé et était emplis du savoir de son propriétaire sur le chadō. Et que ça n’était pas une reproduction sans vie exposer à un musée. Mais un lieu usité et marquait par les senteurs passées et par le passage des participants lors de ces rites. Oh il ne disait pas que la place était usée ou mal entretenue bien au contraire mais on constatait des traces d’utilisation : usures, rayures,etc.
Inspectant l’endroit et constatant qu’il y avait peu de chance que des personnes non invitées ne puissent les apercevoir, l’adolescent retira sa capuche et ses chaussures de manière décalée de son accompagnateur.
Pouvant donner l’impression qu’il l’imitait encore mais ça n’était pas intentionnel. Contrairement à l’habitué qui considérait cet endroit sûr, le lycéen avait perdu du temps à observer son environnement : les autres ouvertures et admirer les fournitures.
La capuche et les lunettes n’étant plus présent son faux regard carmin saisissait avec avidité et respect chaque recoin de l’intérieur. Appréciant l’Esprit du Thé qui se dégageait des lieux. Il ne lui restait qu’à ôter ses gants pour qu’il soit dans les meilleures conditions pour participer dignement à cet échange.
Mais il devait avouer qu’il éprouvait une certaine hésitation à l’idée de retirer cette protection qui lui permettait de ne pas avoir à exposer ses empreintes digitales et être utilisé contre lui. Très important lorsqu’on était un receleur et transportait manuellement des produits illicites ou volés. Il ne fallait pas laisser de traces d’adn ou non qui pouvaient remontaient à lui.
Surtout qu’il avait encore une identité civile qu’il utilisait et était sa réelle identité. Sauf qu’il allait consommer du thé et donc boire d’une coupe laissant ainsi de la salive. Il pouvait donc bien ôter ses gants : sans remords non ?
Les retirant, il les rangea dans la poche libre de thé pour s’installer lorsque ce fut son tour à l’endroit convenu et en position de seiza selon les traditions. Humant la senteur forte du thé fermentée qu’il n’avait encore jamais eu l’occasion de goûter : l’adolescent ferma ses yeux afin de focaliser son attention sur son odorat. S’imprégnant de l’odeur.
Bien qu’il les rouvrit assez rapidement afin d’observer la grâce et le savoir faire d’un maître à l’oeuvre. De la préparation des ustensiles à celle du thé. Fasciné par les manœuvres que par le thé qui teintait l’eau chaude de plus en plus : un spectacle ravissant les yeux, les oreilles et le nez.
Cet homme avait une maîtrise certaine bien que l’apprentissage de la voie de thé n’était jamais fini.
Étant l’invité d’honneur, l’oisillon fut le premier servi et réceptionna en suivant les rites d’usage. Prouvant ainsi qu’il s’y connaissait : humant la senteur. Il finit par prendre une gorgée de son thé et de faire parvenir son avis à l’hôte qui lui avait demandé ce qu’il en pensait. Avant d’en saisir deux nouvelles gorgées et d’essuyer le bord avant de retourner la tasse dans sa position d’origine.
Le saluant, il lui transmit sa tasse :
« Merci »saisissant avec délicatesse et fermeté la tasse chaude à son tour, Sorane effectua tel un miroir les mêmes gestes que son prédécesseur avait effectué. Traitant avec respect cette tasse d’une valeur certaine, il put goûter un thé à l’arôme rond et doux. Une merveille : il ne savait pas si c’était dû à son bonheur d’avoir cette chance, de la qualité des feuilles de thé ou des compétences du Maître de cérémonie qui les présidait ou une combinaison des trois.
"Délicieux." répondit sobrement à son tour bien qu’on sentait une certaine émotion dans sa voix.
Avant de prendre ses deux dernières gorgées du breuvage avant de le rendre selon les convenances à leur hôte.
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# Re: Un peu de chai et de menthe Mar 19 Mai - 10:14
Jin buvait et trouva la boisson presque effervescente, c’était étrange pour lui. Il buvait que rarement des boisson gazeuses, il trouvait le goût du dioxyde de carbone un peu dégouttant. Ce qui n’était pas le cas dans cette boisson. Il hocha un moment la tête. Il posa avec précaution la tasse avant de la tourner et la glissa doucement.
« Plutôt surprenant, ce thé, merci monsieur.
- Mais de rien mon oisillon. »
Le mafieux resta un moment dans la position. Il devait être possible d’en faire si on obtenait une belle part des champignons qui permettait la fermentation. Il devait en obtenir assez pour reproduire autant que possible la mixture. Mais le prix serait bien trop élevé pour son maigre salaire de barman. Il arrivait à peine à se nourrir parfois, mais il devait rester en position pour sa mission. Connaissant la suite des événements, il déplia es jambes avec lenteur avant de retourner vers ses chaussures.
« Parlons d’affaire, j’en veux un peu. Assez pour cette somme. »
Jin posa dans la main de l’homme une petit somme d’agent qu’il avait eu grâce à son travail de serveur. Les quelques rares pourboire qu’il avait eu aussi. Peu causant, il plaisait à un certain type de clientèle. Il ne comprenait pas vraiment ce qui leur plaisait, mais bon. Il n’en allait pas s’en plaindre.
« Tu n’aide pas poussin, oisillon ?
- Il a le thé pour la dame âgé. »
Jin n’avait rien à dire à des étrangers. Il ignorait encore que ce garçon serait une bonne source d’information pour a mission. Parlant jamais de cette dernière par principe, il avançait seul. Se servant de son apparence juvénile pour tromper les jeunes adolescents.
« Il a évité le premier arnaqueur, mais d’autres pourraient pas être aussi tendre.
- J’ai quoi en échange ?
- J’aurai du m’en douter… »
Le vieil homme donna le thé fermenté dans une bouteille et une minuscule boite en bois qui contenait du thé. Pa n’importe quel thé, un thé rare. L’odeur ne lui disait rien.
« Ce n’est pas ?
- Si, aide ce gamin. Les clients de son âge sont rares. »
Jin grogna un peu. Le voilà avec un boulet au pied.
« Plutôt surprenant, ce thé, merci monsieur.
- Mais de rien mon oisillon. »
Le mafieux resta un moment dans la position. Il devait être possible d’en faire si on obtenait une belle part des champignons qui permettait la fermentation. Il devait en obtenir assez pour reproduire autant que possible la mixture. Mais le prix serait bien trop élevé pour son maigre salaire de barman. Il arrivait à peine à se nourrir parfois, mais il devait rester en position pour sa mission. Connaissant la suite des événements, il déplia es jambes avec lenteur avant de retourner vers ses chaussures.
« Parlons d’affaire, j’en veux un peu. Assez pour cette somme. »
Jin posa dans la main de l’homme une petit somme d’agent qu’il avait eu grâce à son travail de serveur. Les quelques rares pourboire qu’il avait eu aussi. Peu causant, il plaisait à un certain type de clientèle. Il ne comprenait pas vraiment ce qui leur plaisait, mais bon. Il n’en allait pas s’en plaindre.
« Tu n’aide pas poussin, oisillon ?
- Il a le thé pour la dame âgé. »
Jin n’avait rien à dire à des étrangers. Il ignorait encore que ce garçon serait une bonne source d’information pour a mission. Parlant jamais de cette dernière par principe, il avançait seul. Se servant de son apparence juvénile pour tromper les jeunes adolescents.
« Il a évité le premier arnaqueur, mais d’autres pourraient pas être aussi tendre.
- J’ai quoi en échange ?
- J’aurai du m’en douter… »
Le vieil homme donna le thé fermenté dans une bouteille et une minuscule boite en bois qui contenait du thé. Pa n’importe quel thé, un thé rare. L’odeur ne lui disait rien.
« Ce n’est pas ?
- Si, aide ce gamin. Les clients de son âge sont rares. »
Jin grogna un peu. Le voilà avec un boulet au pied.
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# Re: Un peu de chai et de menthe Mar 19 Mai - 17:22Du thé pour obaasan~ Alors que la cérémonie se concluait et que leur hôte nettoyait et rangeait soigneusement ses ustensiles, l’invité d’honneur se leva permettant ainsi à Sorane de se lever à son tour bien que ce dernier n’alla pas immédiatement récupérer ses chaussures contrairement au premier.
Bien qu’il le fit après avoir admiré un dernier moment la pièce dans son ensemble, il ne savait pas si il l’aurait l’occasion de la revoir et donc que cet événement du jour n’allait pas se répéter sans la présence de son confrère volatile.
Voyant celui-ci sortir une quantité de billets assez petite par rapport aux précédentes transactions, l’adolescent décida d’y ajouter certaines des économies qu’il avait préparé pour sa sortie nocturne. Pas qu’il prévoyait réellement d’acheter quelque chose le premier soir mais l’expérience lui avait apprit que certaines bonnes affaires ne se présentaient qu’une fois et dans des recoins inattendus.
Adressant un sourire poli à son collègue de la nuit, il justifia son geste ainsi :
« En remerciement de vôtre temps et aide.»
S’il pouvait rendre la pareille à une personne l’ayant soutenu sans son accord préalable et l’ayant toléré jusque là : il pouvait bien lui payer en retour. Et puis, il ne risquait pas de demander d’où venait cet argent sale. C’était le meilleur endroit où l’utiliser et si ça pouvait rendre heureux quelqu’un : c’était une bonne action en somme et qui n'attendait rien en retour. Un prêt pour un rendu non ?
Sauf que le plus jeune de la pièce constata que le plus âgé et sage de la pièce semblait réellement vouloir que l’oisillon qui n’en semblait plus un dans l’esprit du momonga s’il interprétait comme il fallait ces échanges prenne sous son aile le poussin.
Clignant des yeux rapidement pour chasser les images saugrenues qui se jouèrent dans son esprit telles que lui se cachant dans les cheveux/plumes de l’adulte en désignant une silhouette en face qui l’aurait maltraité en disant à « Maman, il a été méchant avec moi » ou une autre scène où il se trouvait sur ses genoux et l’appelait « Daddy » alors qu’une expression stupeur envahissait ses traits impassibles...
Tournant la tête afin de faire mine d’examiner l’une des calligraphies présentes sur les mur, Sorane dû retenir un rire silencieux et reprendre le contrôle des traits de son visage qui trahissaient son amusement.
Il devrait peut-être les informer qu’il savait tout de même se défendre pas qu’il allait leur dire j’ai déjà tué quelqu’un : merci bien. Mais qu’il n’était pas si sans défenses que ça et pur ? Il avait l’impression d’être un coucou qu’on déposait pour parasiter un nid : pas qu’il avait des intentions mauvaises envers la mère du nid pardon le père.
Puis c’était toujours informatif d’échanger avec le premier arnaquer qui vous abordait et était généralement une petite friture qui bondissait sur la nouvelle proie avant que les menaces plus importantes ne soient informées et daignent faire un mouvement. Donc, il avait pu apprendre des choses de ce type : la configuration sommaire des lieux, les responsables du Marché Noir, des noms intéressants de chef de gang ou autre.
Et il n’a pas eu besoin de dépenser une piécette pour cela... Peut-être parce qu’il s’est accroché à la queue d’un rapace par coïncidence ? Donc, il ne devrait pas décliner sa protection surtout qu’il semblait avoir accepté bon gré mal gré sa présence. Cela serait malpoli et un faux pas suicide.
S’inclinant à nouveau auprès de ses aînés, il prit la parole :
"Merci de vôtre hospitalité mais je ne voudrais pas abuser de vôtre bienveillance sans rien offrir en retour. Je peux malheureusement juste vous offrir mes services de receleur free-lance..."
Bien qu’il n’avait pas de nouveaux contacts à proprement parler à offrir aux locaux qui savaient mieux que lui à qui s’adresser à Namimori, il pouvait bien toujours servir de livreur et messager sans conflits d’intérêts venant de l’extérieur.
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Bien qu’il le fit après avoir admiré un dernier moment la pièce dans son ensemble, il ne savait pas si il l’aurait l’occasion de la revoir et donc que cet événement du jour n’allait pas se répéter sans la présence de son confrère volatile.
Voyant celui-ci sortir une quantité de billets assez petite par rapport aux précédentes transactions, l’adolescent décida d’y ajouter certaines des économies qu’il avait préparé pour sa sortie nocturne. Pas qu’il prévoyait réellement d’acheter quelque chose le premier soir mais l’expérience lui avait apprit que certaines bonnes affaires ne se présentaient qu’une fois et dans des recoins inattendus.
Adressant un sourire poli à son collègue de la nuit, il justifia son geste ainsi :
« En remerciement de vôtre temps et aide.»
S’il pouvait rendre la pareille à une personne l’ayant soutenu sans son accord préalable et l’ayant toléré jusque là : il pouvait bien lui payer en retour. Et puis, il ne risquait pas de demander d’où venait cet argent sale. C’était le meilleur endroit où l’utiliser et si ça pouvait rendre heureux quelqu’un : c’était une bonne action en somme et qui n'attendait rien en retour. Un prêt pour un rendu non ?
Sauf que le plus jeune de la pièce constata que le plus âgé et sage de la pièce semblait réellement vouloir que l’oisillon qui n’en semblait plus un dans l’esprit du momonga s’il interprétait comme il fallait ces échanges prenne sous son aile le poussin.
Clignant des yeux rapidement pour chasser les images saugrenues qui se jouèrent dans son esprit telles que lui se cachant dans les cheveux/plumes de l’adulte en désignant une silhouette en face qui l’aurait maltraité en disant à « Maman, il a été méchant avec moi » ou une autre scène où il se trouvait sur ses genoux et l’appelait « Daddy » alors qu’une expression stupeur envahissait ses traits impassibles...
Tournant la tête afin de faire mine d’examiner l’une des calligraphies présentes sur les mur, Sorane dû retenir un rire silencieux et reprendre le contrôle des traits de son visage qui trahissaient son amusement.
Il devrait peut-être les informer qu’il savait tout de même se défendre pas qu’il allait leur dire j’ai déjà tué quelqu’un : merci bien. Mais qu’il n’était pas si sans défenses que ça et pur ? Il avait l’impression d’être un coucou qu’on déposait pour parasiter un nid : pas qu’il avait des intentions mauvaises envers la mère du nid pardon le père.
Puis c’était toujours informatif d’échanger avec le premier arnaquer qui vous abordait et était généralement une petite friture qui bondissait sur la nouvelle proie avant que les menaces plus importantes ne soient informées et daignent faire un mouvement. Donc, il avait pu apprendre des choses de ce type : la configuration sommaire des lieux, les responsables du Marché Noir, des noms intéressants de chef de gang ou autre.
Et il n’a pas eu besoin de dépenser une piécette pour cela... Peut-être parce qu’il s’est accroché à la queue d’un rapace par coïncidence ? Donc, il ne devrait pas décliner sa protection surtout qu’il semblait avoir accepté bon gré mal gré sa présence. Cela serait malpoli et un faux pas suicide.
S’inclinant à nouveau auprès de ses aînés, il prit la parole :
"Merci de vôtre hospitalité mais je ne voudrais pas abuser de vôtre bienveillance sans rien offrir en retour. Je peux malheureusement juste vous offrir mes services de receleur free-lance..."
Bien qu’il n’avait pas de nouveaux contacts à proprement parler à offrir aux locaux qui savaient mieux que lui à qui s’adresser à Namimori, il pouvait bien toujours servir de livreur et messager sans conflits d’intérêts venant de l’extérieur.
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# Re: Un peu de chai et de menthe Mar 19 Mai - 18:04
Jin souleva un sourcil, le poussin avait donné de l’argent. L’air de rien, ce garçon au regard rouge était généreux. Le mafieux marcha assez lentement pour permettre au jeune volatile de s’imprégner de l’ambiance du marché noir. Il savait que la première fois ici pouvait être impressionnante. Il devait faire en sorte de mettre en garde le garçon. Il ne savait pas. Il lâcha un discret soupir. Il remit sa casquette. Ce qui n’était pas facile avec sa queue digne d’un samouraï. Mais ce n’était pas ça qui allait l’empêcher de rester discret.
« Vraiment ? »
Il était un peu intéressé par la proposition du jeune poussin. Il se gratta le menton. Il avait lâge d’aller à l’école de Namimori. C’était presque trop beau pour être vrai. Il n’avait pas fait grand-chose. Mais qu’importe. Il grogna.
« Si tu es efficace, je le saurai vite. Une information contre une. Je dis par exemple que ton arnaqueur fait partie d’une fratrie de trois frères. Ils ont été défait une fois par une dame civile, depuis, ils préfèrent rester ici. Ils sont pas si malin que ça, mais ils peuvent se montrer très… particulier. Quel information peux-tu me donner en échange. »
La curiosité de Jin le faisait parler et donnait un défi au jeune poussin. S’il passait le test. Il ferait appel aux services du jeune garçon. Il n’aimait pas les gens, mais chaque contact favorable pour une réussite de mission n’était pas inutile. Il hocha la tête. Il avait une porte pour donner des information de premier ordre à son employeur. Plus il en savait sur cibles, mieux c’était. Mais il donnerait pas sa véritable identité. Seuls son employeur mafieux et ses collègues le savaient pour le moment. Et ses parents, mais ces derniers n’était qu’un vieux couple vivant à Namimori qui ne savait même plus si leur fils était vivant ou non. Et c'était mieux ainsi.
« Vraiment ? »
Il était un peu intéressé par la proposition du jeune poussin. Il se gratta le menton. Il avait lâge d’aller à l’école de Namimori. C’était presque trop beau pour être vrai. Il n’avait pas fait grand-chose. Mais qu’importe. Il grogna.
« Si tu es efficace, je le saurai vite. Une information contre une. Je dis par exemple que ton arnaqueur fait partie d’une fratrie de trois frères. Ils ont été défait une fois par une dame civile, depuis, ils préfèrent rester ici. Ils sont pas si malin que ça, mais ils peuvent se montrer très… particulier. Quel information peux-tu me donner en échange. »
La curiosité de Jin le faisait parler et donnait un défi au jeune poussin. S’il passait le test. Il ferait appel aux services du jeune garçon. Il n’aimait pas les gens, mais chaque contact favorable pour une réussite de mission n’était pas inutile. Il hocha la tête. Il avait une porte pour donner des information de premier ordre à son employeur. Plus il en savait sur cibles, mieux c’était. Mais il donnerait pas sa véritable identité. Seuls son employeur mafieux et ses collègues le savaient pour le moment. Et ses parents, mais ces derniers n’était qu’un vieux couple vivant à Namimori qui ne savait même plus si leur fils était vivant ou non. Et c'était mieux ainsi.
en bref
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# Re: Un peu de chai et de menthe Mar 19 Mai - 21:12Du thé pour obaasan~ N’oubliant ni de saluer le gérant de la boutique de thé avant leur départ et de remettre ses accessoires : lunettes et gants carmins ainsi que sa capuche grise, l’adolescent emprunta une fois préparé le sillage de l’homme après avoir lâché un taciturne : « vraiment ? »qui avait décidé de lui faire une visite guidée des lieux.
Suite au signe affirmatif du brunet qui observait aux côtés de son accompagnateur les alentours et quelques passants qui restaient à distance. Sans toutefois laisser son regard traîner et le rendre offensant par le temps passé sur eux.
Autant jouer le rôle du touriste jusqu’au bout et de revenir faire un tour plus libre après avoir repéré des retraites prometteurs. Là, il profiterait des informations que cet oiseau local voudra bien lui communiquer.
Il était toujours preneur de nouvelles sources.
« Cela me va comme marché...»
Sentant bien la volonté de l’adulte de tester ce qu’il avait pu glaner comme informations en tant que nouveau visage que d’obtenir des informations de qualité.
Bien qu’une petite voix narquoise au fond de son esprit susurra le mot Vongola en un avertissement pour lui rappeler qu’il devrait surveiller sa langue dans un lieu si ouvert et où on ne savait qui se trouvait prêt à surprendre des mots clés.
Sans compter que le noiraud pouvait en être un ou se trouver à leur service. Après tout c’était considéré comme leur territoire bien que de nombreuses personnes ne partageaient pas ce point vue.
Alors autant éviter toute mention d’eux qui sait si il ne l’offenserait pas en parlant de ses collègues ou en les insultant de sous-fifres ?
"Une fratrie de trois particulière et dont il me reste à rencontrer deux d’entre eux... Quelle joie » commenta d’un ton narquois l’adolescent alors qu’il passait en revue ce qu’il pouvait donner come informations à l’homme qui pourrait équivaloir à ce qu’il avait donné et qu’il pourrait vérifier de lui-même.
Sans compter qu’il y avait d’autres choses qu’il ne pouvait mentionner comme le traffic de venin ou le fait que l’un des clients se trouvait dans le personnel du lycée de Namimori. Il y avait une certaine clause de confidentialité en tant que livreur qu’il devait respecter et son patron pouvait facilement savoir et retrouver ceux qui étaient présent lors de cette transaction.
Sans compter qu’il n’avait aucune intention de dégrader sa relation avec son aîné et surtout sans raison. Après y avait l’agitation des gangs qui pouvait intéressé et était de notoriété public mais peut-être trop connu ?
Et y avait peu de chance que son interlocuteur souhaite savoir que le conseil étudiant du lycée public de Namimori semblait remettre à jour la tradition d’être composée de personnes peu fréquentables aka voyous ? Exceptée pour l’instant de la déléguée des délégués des délégués ? Quoique sa corruption semblait bien partie surtout au rythme qu’ils s’échangeaient les livres.
Non des histoires d’adolescents ne l’intéresseraient sûrement pas et il n’était pas suicidaire pour aborder le sujet du Eleven. Pas avec un serial killer de mafieux en liberté...
Il n’avait pas de soutien et non, il ne pouvait pas compter sur son guide dont il ne savait rien pour servir de rempart ou vouloir intervenir en sa faveur.
« J’avoue ne pas savoir quelle genre d’information vous intéresserez «et que vous n’avez pas déjà » ne vous connaissant pas assez et n’ayant aucune indication de vos sujets d’intérêts à part le thé mais je veux bien jouer le jeu furent ce qu’il ne prononça pas oralement mais avec son regard.
« Mais je peux dire qu’une agitation couve chez les gangs : une envie de lutter pour combler les trous étant apparus dernièrement dans le paysage où de se défendre de l’appétit éveillé des autres »
Profitant de la non différence de hauteur entre eux, Sorane observa du coin de l’oeil la réaction ou absence de réaction de ce dernier. Et voir si celui-ci aborderait le sujet des disparitions locales qui avaient lieu ou si cet homme l’ignorerait pour dévier la conversation vers ce qui l’intéressait vraiment.
Après tout, il ne semblait pas du genre à faire quelque chose sans recevoir un quelconque gain, non ? Le thé rare était pour le tour : les informations payeront les informations...
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Suite au signe affirmatif du brunet qui observait aux côtés de son accompagnateur les alentours et quelques passants qui restaient à distance. Sans toutefois laisser son regard traîner et le rendre offensant par le temps passé sur eux.
Autant jouer le rôle du touriste jusqu’au bout et de revenir faire un tour plus libre après avoir repéré des retraites prometteurs. Là, il profiterait des informations que cet oiseau local voudra bien lui communiquer.
Il était toujours preneur de nouvelles sources.
« Cela me va comme marché...»
Sentant bien la volonté de l’adulte de tester ce qu’il avait pu glaner comme informations en tant que nouveau visage que d’obtenir des informations de qualité.
Bien qu’une petite voix narquoise au fond de son esprit susurra le mot Vongola en un avertissement pour lui rappeler qu’il devrait surveiller sa langue dans un lieu si ouvert et où on ne savait qui se trouvait prêt à surprendre des mots clés.
Sans compter que le noiraud pouvait en être un ou se trouver à leur service. Après tout c’était considéré comme leur territoire bien que de nombreuses personnes ne partageaient pas ce point vue.
Alors autant éviter toute mention d’eux qui sait si il ne l’offenserait pas en parlant de ses collègues ou en les insultant de sous-fifres ?
"Une fratrie de trois particulière et dont il me reste à rencontrer deux d’entre eux... Quelle joie » commenta d’un ton narquois l’adolescent alors qu’il passait en revue ce qu’il pouvait donner come informations à l’homme qui pourrait équivaloir à ce qu’il avait donné et qu’il pourrait vérifier de lui-même.
Sans compter qu’il y avait d’autres choses qu’il ne pouvait mentionner comme le traffic de venin ou le fait que l’un des clients se trouvait dans le personnel du lycée de Namimori. Il y avait une certaine clause de confidentialité en tant que livreur qu’il devait respecter et son patron pouvait facilement savoir et retrouver ceux qui étaient présent lors de cette transaction.
Sans compter qu’il n’avait aucune intention de dégrader sa relation avec son aîné et surtout sans raison. Après y avait l’agitation des gangs qui pouvait intéressé et était de notoriété public mais peut-être trop connu ?
Et y avait peu de chance que son interlocuteur souhaite savoir que le conseil étudiant du lycée public de Namimori semblait remettre à jour la tradition d’être composée de personnes peu fréquentables aka voyous ? Exceptée pour l’instant de la déléguée des délégués des délégués ? Quoique sa corruption semblait bien partie surtout au rythme qu’ils s’échangeaient les livres.
Non des histoires d’adolescents ne l’intéresseraient sûrement pas et il n’était pas suicidaire pour aborder le sujet du Eleven. Pas avec un serial killer de mafieux en liberté...
Il n’avait pas de soutien et non, il ne pouvait pas compter sur son guide dont il ne savait rien pour servir de rempart ou vouloir intervenir en sa faveur.
« J’avoue ne pas savoir quelle genre d’information vous intéresserez «et que vous n’avez pas déjà » ne vous connaissant pas assez et n’ayant aucune indication de vos sujets d’intérêts à part le thé mais je veux bien jouer le jeu furent ce qu’il ne prononça pas oralement mais avec son regard.
« Mais je peux dire qu’une agitation couve chez les gangs : une envie de lutter pour combler les trous étant apparus dernièrement dans le paysage où de se défendre de l’appétit éveillé des autres »
Profitant de la non différence de hauteur entre eux, Sorane observa du coin de l’oeil la réaction ou absence de réaction de ce dernier. Et voir si celui-ci aborderait le sujet des disparitions locales qui avaient lieu ou si cet homme l’ignorerait pour dévier la conversation vers ce qui l’intéressait vraiment.
Après tout, il ne semblait pas du genre à faire quelque chose sans recevoir un quelconque gain, non ? Le thé rare était pour le tour : les informations payeront les informations...
en bref
# Re: Un peu de chai et de menthe Mer 20 Mai - 8:16
Jin hocha la tête. Il n’était qu’un habitué qui avait vécu l’épreuve, mais qui s’en était sortit parce que sa froideur a aidé à les éloigner. Le mafieux marchait toujours tranquillement. Les mains dans ses poches. Les regards sur lui et son protégé du soir l’énervait un peu. Attirer l’attention n’était ps son but. Il préférait rester discret. Mais certains savaient son boulot de mercenaire. Son efficacité avait été prouvé assez de fois pour être tranquille un moment. Il alla vers la sortie en évitant les pickpocket. Il aurait bien tranché quelques mains. Voler son thé précieux, quelle horreur. Quelle infamie.
Le mercenaire pouvait comprendre e langage codé. Il avait entendu des codes bien plus compliqués que ça. Il hocha la tête. C’était quelque chose qu’il savait un peu, mais en surface, il avait réussi à prouver qu’il serait bon de l’avoir dans ses contacts. qu’importe les méthodes, il serait à la hauteur de sa mission. Il n’avait plus crée de liens depuis des mois. Ça va pas être facile d’en créer de nouveaux.
« Bien, très bien. Je m’en doutais un peu... »
Jin tapota deux fois la tête du gamin. Il avait bien travailler tout en révélant peu pour les oreilles indiscrète.
« J’espère que t’avoir guidé vers la sortie va t’encourager à sortir de cet endroit rapidement. Tu as un précieux chargement. »
Oui, il parlait du thé. Le mafieux sortit du marché noir, toujours la casquette visée sur sa tête. Mais avant de quitter le jeune homme. Il griffonna rapidement une adresse.
« C’est mon chez moi actuel. Si cette information tourne, je saurai te retrouver… Tu pourrais faire connaissance avec quelques une de mes amies. »
Ses katanas en gros. Il donna le papier, inutile de dire à ce garçon q’il avait réussi le test.
« Et ne te fais pas suivre et personne d’autres. Déjà une personne, c’est trop. »
Jin est un pur solitaire. Un vrai nuage.
Le mercenaire pouvait comprendre e langage codé. Il avait entendu des codes bien plus compliqués que ça. Il hocha la tête. C’était quelque chose qu’il savait un peu, mais en surface, il avait réussi à prouver qu’il serait bon de l’avoir dans ses contacts. qu’importe les méthodes, il serait à la hauteur de sa mission. Il n’avait plus crée de liens depuis des mois. Ça va pas être facile d’en créer de nouveaux.
« Bien, très bien. Je m’en doutais un peu... »
Jin tapota deux fois la tête du gamin. Il avait bien travailler tout en révélant peu pour les oreilles indiscrète.
« J’espère que t’avoir guidé vers la sortie va t’encourager à sortir de cet endroit rapidement. Tu as un précieux chargement. »
Oui, il parlait du thé. Le mafieux sortit du marché noir, toujours la casquette visée sur sa tête. Mais avant de quitter le jeune homme. Il griffonna rapidement une adresse.
« C’est mon chez moi actuel. Si cette information tourne, je saurai te retrouver… Tu pourrais faire connaissance avec quelques une de mes amies. »
Ses katanas en gros. Il donna le papier, inutile de dire à ce garçon q’il avait réussi le test.
« Et ne te fais pas suivre et personne d’autres. Déjà une personne, c’est trop. »
Jin est un pur solitaire. Un vrai nuage.
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# Re: Un peu de chai et de menthe Jeu 21 Mai - 20:00Du thé pour obaasan~ La visite se déroulait en un rythme tranquille et sans perturbation malgré les quelques regards en biais qu'ils recevaient. A croire qu'il avait embarqué sur un navire de luxe qu'on n'osait pas aborder à la légère...
Ce n'était tout de même pas le cas non ? Il n'avait quand même pas accoster une personne aux connections profondes dans les Eaux Territoriales de Namimori ? Par exemple, une Palourde ? Même s'il était à plumes ?
*Ou alors c'est un Kamome (mouette) en chasse de bivalves ?*songea l'adolescent alors que l'homme lui tapotait la tête en signe de satisfaction et comme s'il voulait l'apprivoiser. C'était assez bizarre de recevoir ce geste d'une personne semblant avoir le même âge que vous et qui ne le dépassait pas vraiment en hauteur.
En tout cas, cela prouvait qu'il était véritablement plus âgé que lui et donc qu'il avait raison d'avoir fait preuve de politesse dans ses faits et gestes envers son bienfaiteur. C'est pourquoi il ne devait pas le surnommer Kotori bien que sa maladresse dans les interactions sociales lui donnait un côté adorable.
Mais il valait mieux qu'il garde cet adjectif pour lui pour ne pas se faire chasser du nid...pardon de ses contacts. Déjà qu'il l'avait guidé vers une nouvelle sortie du Marché Noir comme s'il était aussi délicat qu'un œuf qui allait se briser. Bon ça a permit de tenir les mains des pickpockets sagement dans leurs poches et à une certaine distance mais il aurait bien voulu passer plus de temps ici avec ou sans lui.
Ah, ça sera pour une autre fois alors.
"Merci pour ce moment...Tanchou-san" remercia l'adolescent en décidant de nommer l'homme de grue pour respecter le thème des surnoms aviaires mais pour référer non seulement à leur place dans la culture nippone en tant que symbole de longévité mais aussi de paix.
Ainsi, ce gracieux animal au plumage noir cendré et blanc pourrait représenter la dualité de leur début de relation bien qu'ils se soient rencontrés dans un lieu à la réputation douteuse, un semblant de paix s'installe entre eux bien qu'il y est des zones grises à prendre en compte. Sans compter que la tâche vermillon au sommet de cette espèce de grue particulière pourrait servir d'avertissement et donc cela serait une manière très discrète de la part de Sorane de dire qu'il a prit conscience que son Guide n'était pas qu'un simple amateur de thé dont la personnalité solitaire suffisait à tenir les autres à l'écart.
Bien qu'il ne comptait pas le confronter dessus et lui avait donc accorder un surnom comme couverture à utiliser. Par contre, cela ne voudrait pas dire qu'il ne prêterait pas attention de son côté aux moindres indices pouvant l'aider à mieux comprendre son aîné et savoir ce qu'il recherche autre que des délicieuses feuilles de thé.
Et malgré qu'il fut surpris d'obtenir une adresse et non un numéro d'un quelconque téléphone jetable, il saisit le papier pour mémoriser l'adresse en veillant de couvrir la feuille de sa main gantée malgré qu'il ne soit plus à proprement parler dans le Marché Noir.
Ayant mémorisé l'écriture fine et assez élégante de son aîné, il sorti un paquet de cigarette de la marque la plus utilisé neuf bien qu'il soit ouvert et manque quelques cigarettes pour en sortir un briquet et brûler sous le regard sérieux de l'homme son papier.
"Voilà je ne risque pas de la laisser fuiter ainsi..." annonçant ainsi son attention actuelle de ne pas diffuser cette marque de confiance. S'assurant que le papier brûlait entièrement et frottant ses doigts pour bien disperser les cendres dans les airs. Il venait de couvrir son cuir traité de taches cendreuses mais il pouvait les faire disparaître.
Rangeant son briquet et paquet dorénavant inutile puisqu'il n'avait personne à soudoyer et plus rien à brûler, il jeta un regard au noiraud avant de lui tendre une des petites cartes préparé qu'il avait sur lui lorsqu'il recherchait de nouveaux contacts bien qu'il avait dû en produire des nouvelles sans son Alias.
"Si vous souhaitez me joindre directement..." tendit l'adolescent qui n'avait pas vraiment la majorité pour posséder plusieurs planques où recevoir des gens mais pouvait facilement remplacer un portable professionnel obsolète.
Et au moins ces petites cartes noires aux liserés rouges pouvaient se faire passer pour des cartes de fidélité design avec leur logo au verso tandis que le recto portait le numéro qui surmontait une phrase en français dans une écriture cursive argentée et pouvant paraître féminine : " A vôtre service" pouvant donner une image tendancieuse des services fournies aux esprits mal placés.
Au moins, cela pouvait servir à troubler les pistes surtout qu'il n'y avait plus Hypnos inscrit en lettres argentés dessus.Et bien que ça pouvait paraître assez ridicule et vieux jeu, ça aidait à bâtir une certaine réputation. Au moins, il avait su résister à son impulsion de distribuer des origamis comme nouvelle carte de visite à Namimori : c'était fou comme c'était addictif.
Pour tout vous dire, il se sentait presque capable d'effectuer milles grues et de faire une décoration intérieure surprise à Tanchou-san mais il devait résister bien qu'il avait bien envie de rencontrer son amie évoquée tantôt.
Des origamis n'étaient pas des personnes à proprement parler donc il prendrait en compte ses consignes : non ? Non ? Peut-être qu'il devrait attendre avant de lui faire un Senzaburu : après tout c'était une décision hâtive non ?
"Mata ne Tanchou-san~ Je dois aller délivrer ce thé. "salua cordialement le "poussin" par défaut après s'être assuré qu'il avait bien prit sa carte et que l'adulte n'avait aucune demande à lui faire avant de filer à un rythme tranquille dans une direction opposée au Marché Noir et l'éloignant de sa véritable destination : qui était chez ses grand-parents.
Après tout, il avait plein de détours à faire sur le plan terrestre et sur un plan plus aérien pour s'assurer qu'il ne ramenait vraiment personne chez lui.
*Une séance de parkour intensive pour semer les plus collants devrait suffire à les faire déloger de ma queue* calcula le brunet plus tard alors qu'il atteignait une rue plus influente et se dirigeait vers un spot qui lui permettrait d'accéder aux toits de la ville et de se montrer plus difficile à pister en effectuant des acrobaties.
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Ce n'était tout de même pas le cas non ? Il n'avait quand même pas accoster une personne aux connections profondes dans les Eaux Territoriales de Namimori ? Par exemple, une Palourde ? Même s'il était à plumes ?
*Ou alors c'est un Kamome (mouette) en chasse de bivalves ?*songea l'adolescent alors que l'homme lui tapotait la tête en signe de satisfaction et comme s'il voulait l'apprivoiser. C'était assez bizarre de recevoir ce geste d'une personne semblant avoir le même âge que vous et qui ne le dépassait pas vraiment en hauteur.
En tout cas, cela prouvait qu'il était véritablement plus âgé que lui et donc qu'il avait raison d'avoir fait preuve de politesse dans ses faits et gestes envers son bienfaiteur. C'est pourquoi il ne devait pas le surnommer Kotori bien que sa maladresse dans les interactions sociales lui donnait un côté adorable.
Mais il valait mieux qu'il garde cet adjectif pour lui pour ne pas se faire chasser du nid...pardon de ses contacts. Déjà qu'il l'avait guidé vers une nouvelle sortie du Marché Noir comme s'il était aussi délicat qu'un œuf qui allait se briser. Bon ça a permit de tenir les mains des pickpockets sagement dans leurs poches et à une certaine distance mais il aurait bien voulu passer plus de temps ici avec ou sans lui.
Ah, ça sera pour une autre fois alors.
"Merci pour ce moment...Tanchou-san" remercia l'adolescent en décidant de nommer l'homme de grue pour respecter le thème des surnoms aviaires mais pour référer non seulement à leur place dans la culture nippone en tant que symbole de longévité mais aussi de paix.
Ainsi, ce gracieux animal au plumage noir cendré et blanc pourrait représenter la dualité de leur début de relation bien qu'ils se soient rencontrés dans un lieu à la réputation douteuse, un semblant de paix s'installe entre eux bien qu'il y est des zones grises à prendre en compte. Sans compter que la tâche vermillon au sommet de cette espèce de grue particulière pourrait servir d'avertissement et donc cela serait une manière très discrète de la part de Sorane de dire qu'il a prit conscience que son Guide n'était pas qu'un simple amateur de thé dont la personnalité solitaire suffisait à tenir les autres à l'écart.
Bien qu'il ne comptait pas le confronter dessus et lui avait donc accorder un surnom comme couverture à utiliser. Par contre, cela ne voudrait pas dire qu'il ne prêterait pas attention de son côté aux moindres indices pouvant l'aider à mieux comprendre son aîné et savoir ce qu'il recherche autre que des délicieuses feuilles de thé.
Et malgré qu'il fut surpris d'obtenir une adresse et non un numéro d'un quelconque téléphone jetable, il saisit le papier pour mémoriser l'adresse en veillant de couvrir la feuille de sa main gantée malgré qu'il ne soit plus à proprement parler dans le Marché Noir.
Ayant mémorisé l'écriture fine et assez élégante de son aîné, il sorti un paquet de cigarette de la marque la plus utilisé neuf bien qu'il soit ouvert et manque quelques cigarettes pour en sortir un briquet et brûler sous le regard sérieux de l'homme son papier.
"Voilà je ne risque pas de la laisser fuiter ainsi..." annonçant ainsi son attention actuelle de ne pas diffuser cette marque de confiance. S'assurant que le papier brûlait entièrement et frottant ses doigts pour bien disperser les cendres dans les airs. Il venait de couvrir son cuir traité de taches cendreuses mais il pouvait les faire disparaître.
Rangeant son briquet et paquet dorénavant inutile puisqu'il n'avait personne à soudoyer et plus rien à brûler, il jeta un regard au noiraud avant de lui tendre une des petites cartes préparé qu'il avait sur lui lorsqu'il recherchait de nouveaux contacts bien qu'il avait dû en produire des nouvelles sans son Alias.
"Si vous souhaitez me joindre directement..." tendit l'adolescent qui n'avait pas vraiment la majorité pour posséder plusieurs planques où recevoir des gens mais pouvait facilement remplacer un portable professionnel obsolète.
Et au moins ces petites cartes noires aux liserés rouges pouvaient se faire passer pour des cartes de fidélité design avec leur logo au verso tandis que le recto portait le numéro qui surmontait une phrase en français dans une écriture cursive argentée et pouvant paraître féminine : " A vôtre service" pouvant donner une image tendancieuse des services fournies aux esprits mal placés.
Au moins, cela pouvait servir à troubler les pistes surtout qu'il n'y avait plus Hypnos inscrit en lettres argentés dessus.Et bien que ça pouvait paraître assez ridicule et vieux jeu, ça aidait à bâtir une certaine réputation. Au moins, il avait su résister à son impulsion de distribuer des origamis comme nouvelle carte de visite à Namimori : c'était fou comme c'était addictif.
Pour tout vous dire, il se sentait presque capable d'effectuer milles grues et de faire une décoration intérieure surprise à Tanchou-san mais il devait résister bien qu'il avait bien envie de rencontrer son amie évoquée tantôt.
Des origamis n'étaient pas des personnes à proprement parler donc il prendrait en compte ses consignes : non ? Non ? Peut-être qu'il devrait attendre avant de lui faire un Senzaburu : après tout c'était une décision hâtive non ?
"Mata ne Tanchou-san~ Je dois aller délivrer ce thé. "salua cordialement le "poussin" par défaut après s'être assuré qu'il avait bien prit sa carte et que l'adulte n'avait aucune demande à lui faire avant de filer à un rythme tranquille dans une direction opposée au Marché Noir et l'éloignant de sa véritable destination : qui était chez ses grand-parents.
Après tout, il avait plein de détours à faire sur le plan terrestre et sur un plan plus aérien pour s'assurer qu'il ne ramenait vraiment personne chez lui.
*Une séance de parkour intensive pour semer les plus collants devrait suffire à les faire déloger de ma queue* calcula le brunet plus tard alors qu'il atteignait une rue plus influente et se dirigeait vers un spot qui lui permettrait d'accéder aux toits de la ville et de se montrer plus difficile à pister en effectuant des acrobaties.
- Spoiler:
- Merci pour ce rp et ils se sont plutôt bien entendu pour un nuage et une brume~ Espérons que ça dure et que Jin/Tanchou n'en veuille pas trop au poussin de se révéler être un écureuil volant
en bref
# Re: Un peu de chai et de menthe Jeu 21 Mai - 20:54
Jin souleva un sourcil, une grue ? Il ressemblait à une grue. Oui, il a côté très traditionnel, mais il ne l’avait pas tant montré que ça. À croire que son amour pour le thé donnait cette impression. Il haussa les épaules. Tant que le surnom n’était pas trop proches de ses alias, tout allait bien. Il penserait à la grue une autre fois. Mais sa mission était loin d’être finie. Donc il se contentait de son alias actuel. Il passa un moment à se demander pourquoi brûler, mais il comprit. Au moins son adresse ne fuiterai pas. Il n’avait pas déménager pour rien. Il hocha la tête. Ce gamin avait quelques bons réflexes pour le métier. Mais ce n’était pas ça qui le ferait prendre sous son aile. Les seules personnes qui prendrait sous son aile, c’était ceux que son patron actuel lui dirait. Bien entendu, il connaissait ses intentions, il fallait être un peu becte pour pas comprendre. Il prit la carte et la fourra dans sa poche. Il avait un téléphone bien entendu, même deux, un qu’il changeait régulièrement et un deuxième rien que pour les appels des gens qui avaient besoin de ses services.
« Han, bien... »
Il trouvait le logo trop tape à l’oeil, le genre de chose typique d’une brume. Il n’aimait pas trop les brumes. C’était fourbes ces choses-là. Il réservait son jugement pour le moment. Mais ce garçon était une source à ne pas négliger pour son travail. Il aimait que peu les contacts. Il devait en avoir, car son boulot de mercenaire l’exigeait. Mais moins il en avait, mieux c’était. Il fit un geste.
« Va, ta dame âgée attends. »
Jin se mit à marcher, ses mains dans les poches. Il partait sans aucune pression. Il savait que si quelqu’un le suivait. Il avait de fortes chances de finir en petit morceau. Il brouilla tout de même les pistes en prenant des détours. Namimori, il y avait vécu la plupart de sa vie. Il connaissait cette ville par cœur. n’en déplaise au chevalier blanc en armure qui l’avait aidé. Il finirait toujours pas s’éloigner des gens. Car il préférait être seul, c’était mieux.
« Han, bien... »
Il trouvait le logo trop tape à l’oeil, le genre de chose typique d’une brume. Il n’aimait pas trop les brumes. C’était fourbes ces choses-là. Il réservait son jugement pour le moment. Mais ce garçon était une source à ne pas négliger pour son travail. Il aimait que peu les contacts. Il devait en avoir, car son boulot de mercenaire l’exigeait. Mais moins il en avait, mieux c’était. Il fit un geste.
« Va, ta dame âgée attends. »
Jin se mit à marcher, ses mains dans les poches. Il partait sans aucune pression. Il savait que si quelqu’un le suivait. Il avait de fortes chances de finir en petit morceau. Il brouilla tout de même les pistes en prenant des détours. Namimori, il y avait vécu la plupart de sa vie. Il connaissait cette ville par cœur. n’en déplaise au chevalier blanc en armure qui l’avait aidé. Il finirait toujours pas s’éloigner des gens. Car il préférait être seul, c’était mieux.
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