Caractère

Victoria a beau avoir l'apparence d'une petite princesse fragile, elle est du genre à avoir le sang-chaud. Elle peut rapidement se mettre en colère.
Cependant, elle autant encline à s'enrager qu'à pardonner. Et il n'est pas rare qu'après quelque temps, elle vienne demander pardon à celui, ou à celle, qui fut la victime (ou l’instigateur) de ses colères.  

Bien qu'elle n'en vienne que rarement aux mains, elle n'a que peu de regret d'utiliser la violence. Elle pense que la violence peut-être la solution à certains problèmes, notamment aux plus extrêmes.

Pour tous ses proches, et elle est vu comme quelqu'un de très loyale et maternelle. Elle est toujours là pour ses amis, pour les encourager et les soutenir dans toutes situations. Toutefois, elle essaie toujours de servir de conseillère plutôt qu'intervenir d'elle-même. Elle pense qu'il vaut mieux pour une personne de se sortir seule de ses problèmes pour pas qu'elle soit dépendante des autres.

Néanmoins, il ne faut pas croire la jeune femme hermétique aux problèmes de ceux qui ne sont pas ses pairs. Effectivement, elle est bien incapable de laisser une personne dans le besoin.

Depuis qu'elle est capable d'en avoir une, Victoria a une passion débordante pour l'Histoire. Les origines des civilisations l'on toujours fascinée. L'histoire, qu'elle soit japonaise, asiatique ou autre... elle aime de tout, et se montre particulièrement curieuse.
Elle observe avec rigueur toutes les découvertes qu'on peut faire dans ce domaine au point que cela frôle presque le fanatisme.

C'est aussi une grande consommatrice de thé, au point que ça en deviendrait presque une obsession. Elle apprécie particulièrement goûter de nouvelle saveur.
 

Histoire

L'histoire de Victoria commence à Kyoto. Fille d'un immigré français, Edouard Defeuillage et d'une japonaise, Anaya Ukita. Elle a vécu toute son enfance au Japon, plus exactement dans l’ancienne capitale impériale de Kyoto.

Son père était professeur de français dans un lycée de la ville tandis que sa mère faisait partie des forces de police. La jeune fille eut une enfance normale, aimer par ses parents, envoyée dans une école publique quand elle eut l'âge...
Elle fut bien victime de quelques plaisanteries de ses camarades à cause de ses origines françaises (des plaisanteries d'enfants qui marquèrent cependant la jeune fille). Cependant, Victoria n'était pas du genre à se laisser faire, et il lui arrivait de se battre avec ceux qui se moquaient d'elle.

Hors de ces... légers accidents, Victoria était un enfant sérieux, travailleur, appliqué et respectueux. Ainsi, elle était plutôt pardonnée par ses professeurs, la majorité du temps.

Elle vécut une vie normale : métro, boulot, dodo... En bref, elle avait une routine assez normale pour un enfant, puis pour une adolescente. Elle était douée à l'école sans pour autant devenir une "première de la classe", elle avait quelques amis, mais pas plus que ça... Elle grandit de manière plutôt classique, enfin, elle eut tout de même la particularité d'être formé par sa mère, lorsqu'elle fut en âge, aux techniques d'auto-défense de la police : « On n’est jamais trop prudent, et ce monde peut être dangereux Vicky." disait cette dernière comme pour se justifier.

Avec ses bons résultats scolaires, elle réussit sans aucun problème à se lancer dans des études supérieures en histoire.
Elle aurait pu avoir une vie simple, un avenir simple... si elle n'était pas tombée sur ces papiers.

Un jour, alors qu'elle aidait ses parents à faire un nettoyage de printemps, elle trouva de nombreux documents étranges. Plusieurs d'entre eux semblaient indiquer qu'Ayana avait, à plusieurs reprises, collaboré d’une façon ou d'une autre avec la mafia.

Victoria rentra dans une rage noire. Comment elle, sa propre mère, avait pu offrir son intégrité à la mafia ? et pourquoi ?
La jeune fille confronta cette dernière, la dispute vira rapidement à la confrontation. Finalement, dégoutté, Victoria quitta le domicile familial et alla s'installer chez une de ses amies.

Après plusieurs semaines, la jeune fille finit enfin par se calmer. Elle réfléchit aux raisons qui avait poussé sa mère à travailler avec la mafia... Elle ne pouvait pas retourner voir sa mère. Elle se refusait à lui parler, car si les pires scénarios qu'elle s'était imaginés s’avéraient réels... elle ne voulait pas les entendre de la bouche de celle qui l'avait élevé.

La vérité sur les documents: