Good Days ♫ Yoshimatsu & Zuran & Shilia [TERMINÉ]Reborn NEW Futur :: Mairie :: Bibliothèque :: Finis
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# Re: Good Days ♫ Yoshimatsu & Zuran & Shilia [TERMINÉ]Mer 20 Mai - 4:46Good Days ♫ SPiCYSOL Le musicien ne le dira pas mais il adora la réponse d'Hara à Katsu. Il ne put empêcher un petit sourire d'arriver sur son visage. Il avait été clair, doux mais assuré. C'était incroyable la différence de réaction entre Zuran et Hara. Est-ce que tout le monde réagissait à ce point de façon différente. Comment allait-il réagir lui ? Est-ce qu'il allait hurler et être extrêmement motivé comme son ami ou plutôt calme et apaisé comme son voisin ? Au vu de ce qu'il se passa ensuite, il se confirma mentalement qu'il le saurait bien assez tôt. Il allait voir Sakamoto demain.
« Cool, ça me rassure. »
Quand Shilia indiqua son départ, Arun en était au moment où il commençait à vraiment apprécier sa bière. Il cligna des yeux devant ce départ mais le prit correctement. En fait, il fut assez content de voir comment le jeune homme avait géré la situation. Il ne savait pas vraiment comment ni pourquoi mais il n'arrivait pas à voir le sifflet comme une personne seulement dangereuse. Est-ce qu'on envoie chier les couteaux par ce qu'ils en sont ? C'est ridicule. Le jeune homme avait sa façon de faire et elle convenait très bien au jeune homme. Il garda dans son esprit l'envie de le revoir un jour, mais correctement, pas dans un état de stress intense par ce qu'il invitait son ami chez lui.
« A une prochaine, Nakamura. »
Le bébé avait choisi de disparaître rapidement ensuite. Ses nerfs se détendirent quasiment automatiquement. Il sentit de nouveau le petit vent dans sa maison, les sons des différents instruments présents dans la pièce. Sa respiration devient plus apaisé et il n'était plus sur la défensive, bien au contraire. Il se mit naturellement à sourire, ouvrant son esprit aux deux personnes restantes. Il n'avait plus à se soucier. Il mit une main dans ses cheveux, rabattant les mèches en arrière alors que son sourire devenait un avec son visage. Il monta sur son lit et se mit contre le mur, juste derrière Yoshimatsu et face à Zuran.
Quand le jeune adolescent mit la musique, son corps colla son rythme dessus. Il eut un moment, assez habituel pour lui dans ce genre de situation, où il vit la scène. La musique était comme un livre pour lui, elle racontait une histoire, une façon de penser, une personne. Il vit le prêcheur, il vit sa vie, il la vécut en une fraction de seconde. Chaque instrument narra la beauté défaitiste de cette histoire. Il sentit son sourire finir apaisé. Il connaissait ce genre de nouvelle, les adorait. Il rouvrit les yeux – qu'il ne se souvenait pas avoir fermé – et regarda Zuran :
« Tu me demandes vraiment si tu peux mettre de la musique ? J'adore la musique, peu importe laquelle, comment, quoi, et où. Même si ça se voit pas, il y a une quarantaine d'instruments dans cette maison, et je pense que mon pauvre voisin ici présent a dût entendre déjà plus de la moitié depuis mon arrivée. Si je ne joue pas, j'en mets. Donc non, sache le, c'est limite vital, je te remercie même d'en avoir mis, ça va rendre ma vie actuelle que meilleure. Puis le choix est bon. » Il sourit très largement, quasiment un enfant.
Il se tourna ensuite vers Zuran, toujours prêt pour lui répondre. En même temps, il était en train de réaliser qu'il avait son ami chez lui ; et un mec qui au final, il trouvait assez cool. Sa flamme allait pas tarder à partir au moins ?
« J'ai pas grand chose à proposer. J'ai un jeu de cartes si vous voulez, mon ordi et sinon... Bha je peux vous faire essayer un instrument ? »
Il se redressa pour aller jeter sa bière et se servir un thé. Il en avait des boissons devant lui le Hara d'ailleurs. Il avait du mal à dire non ?
« Si tu veux pas tout Ba- Hara, dit le. » :copyright:️ 2981 12289 0
« Cool, ça me rassure. »
Quand Shilia indiqua son départ, Arun en était au moment où il commençait à vraiment apprécier sa bière. Il cligna des yeux devant ce départ mais le prit correctement. En fait, il fut assez content de voir comment le jeune homme avait géré la situation. Il ne savait pas vraiment comment ni pourquoi mais il n'arrivait pas à voir le sifflet comme une personne seulement dangereuse. Est-ce qu'on envoie chier les couteaux par ce qu'ils en sont ? C'est ridicule. Le jeune homme avait sa façon de faire et elle convenait très bien au jeune homme. Il garda dans son esprit l'envie de le revoir un jour, mais correctement, pas dans un état de stress intense par ce qu'il invitait son ami chez lui.
« A une prochaine, Nakamura. »
Le bébé avait choisi de disparaître rapidement ensuite. Ses nerfs se détendirent quasiment automatiquement. Il sentit de nouveau le petit vent dans sa maison, les sons des différents instruments présents dans la pièce. Sa respiration devient plus apaisé et il n'était plus sur la défensive, bien au contraire. Il se mit naturellement à sourire, ouvrant son esprit aux deux personnes restantes. Il n'avait plus à se soucier. Il mit une main dans ses cheveux, rabattant les mèches en arrière alors que son sourire devenait un avec son visage. Il monta sur son lit et se mit contre le mur, juste derrière Yoshimatsu et face à Zuran.
Quand le jeune adolescent mit la musique, son corps colla son rythme dessus. Il eut un moment, assez habituel pour lui dans ce genre de situation, où il vit la scène. La musique était comme un livre pour lui, elle racontait une histoire, une façon de penser, une personne. Il vit le prêcheur, il vit sa vie, il la vécut en une fraction de seconde. Chaque instrument narra la beauté défaitiste de cette histoire. Il sentit son sourire finir apaisé. Il connaissait ce genre de nouvelle, les adorait. Il rouvrit les yeux – qu'il ne se souvenait pas avoir fermé – et regarda Zuran :
« Tu me demandes vraiment si tu peux mettre de la musique ? J'adore la musique, peu importe laquelle, comment, quoi, et où. Même si ça se voit pas, il y a une quarantaine d'instruments dans cette maison, et je pense que mon pauvre voisin ici présent a dût entendre déjà plus de la moitié depuis mon arrivée. Si je ne joue pas, j'en mets. Donc non, sache le, c'est limite vital, je te remercie même d'en avoir mis, ça va rendre ma vie actuelle que meilleure. Puis le choix est bon. » Il sourit très largement, quasiment un enfant.
Il se tourna ensuite vers Zuran, toujours prêt pour lui répondre. En même temps, il était en train de réaliser qu'il avait son ami chez lui ; et un mec qui au final, il trouvait assez cool. Sa flamme allait pas tarder à partir au moins ?
« J'ai pas grand chose à proposer. J'ai un jeu de cartes si vous voulez, mon ordi et sinon... Bha je peux vous faire essayer un instrument ? »
Il se redressa pour aller jeter sa bière et se servir un thé. Il en avait des boissons devant lui le Hara d'ailleurs. Il avait du mal à dire non ?
« Si tu veux pas tout Ba- Hara, dit le. »
en bref
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- Arme contondante moyenne : L'instrument qu'il portera sur le moment.
- flûte traversière
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# Re: Good Days ♫ Yoshimatsu & Zuran & Shilia [TERMINÉ]Mer 20 Mai - 18:23
Yoshimatsu sourit tendrement. Il calma sa respiration pour al rendre presque imperceptible. Il testait ses capacités. Le mioche avait dit qu'il existait 7 types de flammes. Elles devaient se différencier par quelque chose. En d'autre thermes le jeune homme "jouait" avec ce que lui apporter la flamme. Son attention redescendit sur le serpent. Il n'avait été présent que brièvement. Le jeune homme s'inclina respectueusement face à Nakamaru-san. Il espérait le revoir un jour en des circonstances plus amicales. Il ne savait pas pourquoi il se sentait moins en dangers. Il regarda le mioche qui sortit alors une phrase déconcertante comme si de rien n'était. Le serpent avait reprit ses affaire et était déjà partit. Yoshimatsu suivit les déplacements des autres du petit appartement du regard. Il se leva alors s'asseyant avec Zuran et lui mit une main sur l'épaule comme pour le soutenir. Il attendit que Nayaka-san finissent de répondre et il laissa un petite sourire apparaitre. Il sentit un vide subitement. La flamme s'était arrêtée? Yoshimatsu pris une grande inspiration
-La musique ne me dérange pas. Je peux me caller sur le rythme lors de mes entrainement lorsque le son arrive jusque chez moi.
Il regardait actuellement le nouveau jus de fruit devant lui, sa bierre et son thé. Il prit doucement le thé en mains pour le boire calmement. Il avait l'impression d'avoir fais une journée de sport intensif. Lui qui aurait du continuer son entrainement en rentrer chez lui! Il ne pourrait probablement pas de suite. Il prit une grande inspiration respirant un peu les vapeurs du thé. Il rouvrit les yeux sur la petite table basse.
-Je n'ai jamais joué d'un instrument de musique... Le jeu de cartes est peut-être plus sécurisé pour vos oreilles...
Il sourit doucement. Il ne se sentait pas vraiment de jouer de la musique. Il craignait surtout d'être ridicule. Il restait un sportif. Nayaka-san lui rappela l'utilité d'un simple non. Il hocha doucement de la tête.
-Je pense que je reprendrais une boisson... Une fois ces trois la fini...Mais pas avant.
KoalaVolant
Good days
feat Moi & Zuran, Shilia, Arun
"Une fois ces trois là fini."
Yoshimatsu sourit tendrement. Il calma sa respiration pour al rendre presque imperceptible. Il testait ses capacités. Le mioche avait dit qu'il existait 7 types de flammes. Elles devaient se différencier par quelque chose. En d'autre thermes le jeune homme "jouait" avec ce que lui apporter la flamme. Son attention redescendit sur le serpent. Il n'avait été présent que brièvement. Le jeune homme s'inclina respectueusement face à Nakamaru-san. Il espérait le revoir un jour en des circonstances plus amicales. Il ne savait pas pourquoi il se sentait moins en dangers. Il regarda le mioche qui sortit alors une phrase déconcertante comme si de rien n'était. Le serpent avait reprit ses affaire et était déjà partit. Yoshimatsu suivit les déplacements des autres du petit appartement du regard. Il se leva alors s'asseyant avec Zuran et lui mit une main sur l'épaule comme pour le soutenir. Il attendit que Nayaka-san finissent de répondre et il laissa un petite sourire apparaitre. Il sentit un vide subitement. La flamme s'était arrêtée? Yoshimatsu pris une grande inspiration
-La musique ne me dérange pas. Je peux me caller sur le rythme lors de mes entrainement lorsque le son arrive jusque chez moi.
Il regardait actuellement le nouveau jus de fruit devant lui, sa bierre et son thé. Il prit doucement le thé en mains pour le boire calmement. Il avait l'impression d'avoir fais une journée de sport intensif. Lui qui aurait du continuer son entrainement en rentrer chez lui! Il ne pourrait probablement pas de suite. Il prit une grande inspiration respirant un peu les vapeurs du thé. Il rouvrit les yeux sur la petite table basse.
-Je n'ai jamais joué d'un instrument de musique... Le jeu de cartes est peut-être plus sécurisé pour vos oreilles...
Il sourit doucement. Il ne se sentait pas vraiment de jouer de la musique. Il craignait surtout d'être ridicule. Il restait un sportif. Nayaka-san lui rappela l'utilité d'un simple non. Il hocha doucement de la tête.
-Je pense que je reprendrais une boisson... Une fois ces trois la fini...Mais pas avant.
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# Re: Good Days ♫ Yoshimatsu & Zuran & Shilia [TERMINÉ]Dim 31 Mai - 19:07 Connaissance en musiqueFt. Yoshimatsu, Arun
Zuran - Reborn no Future
Zuran profitait du calme plat et le fait que Arun et Yoshimatsu parlaient du fait qu'ils laissaient la musique se jouer et cherchaient une activité à faire afin de réfléchir. Il n'était pas naïf au point de croire les yeux fermés les dires d'un simple inconnu et le fait qu'il avait laissé l'article de journal impliquant sa naissance et le décès de sa famille était très étrange. Il avait su conservé cet article durant tant d'années et dès qu'il avait eu les réponses à ses questions il l'avait soudainement oublié pour la première fois ? Non, quelque chose ne tournait pas rond.
Le jeune malentendant n'était pas au point de croire qu'il ne souffrait pas, il reconnaissait même que d'une façon ou d'une autre ça l'avait affecté. Mais il pensait que le jeune serpent avait pu utiliser cette souffrance pour comprendre ses origines mais aussi savoir comment obtenir le pouvoir de la flamme. Il n'aimait pas ça, mais il était forcé de constater que Katsu avait sûrement raison sur le fait qu'il allait obtenir sa flamme dans peu de temps. Maintenant, reste à savoir si ça allait mener quelque chose de positif ou pas du tout. C'était cette réponse qu'il redoutait.
Lors de sa réflexion, il buvait ses boissons tranquillement avant de se diriger au frigo de son ami et prendre une bière. C'était un choix très étonnant de sa part, mais il était temps d'au moins goûter. Il ne pensait pas en boire très régulièrement mais il était juste curieux. Une fois la bouteille prise, il refermait le réfrigérateur et retournait s’asseoir auprès de ses amis. Il buvait une gorgée et grimaçait légèrement. C'était bien moins bon qu'il le pensait. Il ne comprenait pas comment les amateurs d'alcool pouvaient apprécier ce genre de choses. Mais maintenant qu'il l'avait commencé il allait la terminer par politesse. Du côté de la discussion, ils n'avaient pas l'air de réussir à choisir ce qu'ils allaient faire. Alors Zuran prenait les devants.
Le jeune malentendant n'était pas au point de croire qu'il ne souffrait pas, il reconnaissait même que d'une façon ou d'une autre ça l'avait affecté. Mais il pensait que le jeune serpent avait pu utiliser cette souffrance pour comprendre ses origines mais aussi savoir comment obtenir le pouvoir de la flamme. Il n'aimait pas ça, mais il était forcé de constater que Katsu avait sûrement raison sur le fait qu'il allait obtenir sa flamme dans peu de temps. Maintenant, reste à savoir si ça allait mener quelque chose de positif ou pas du tout. C'était cette réponse qu'il redoutait.
Lors de sa réflexion, il buvait ses boissons tranquillement avant de se diriger au frigo de son ami et prendre une bière. C'était un choix très étonnant de sa part, mais il était temps d'au moins goûter. Il ne pensait pas en boire très régulièrement mais il était juste curieux. Une fois la bouteille prise, il refermait le réfrigérateur et retournait s’asseoir auprès de ses amis. Il buvait une gorgée et grimaçait légèrement. C'était bien moins bon qu'il le pensait. Il ne comprenait pas comment les amateurs d'alcool pouvaient apprécier ce genre de choses. Mais maintenant qu'il l'avait commencé il allait la terminer par politesse. Du côté de la discussion, ils n'avaient pas l'air de réussir à choisir ce qu'ils allaient faire. Alors Zuran prenait les devants.
- D'où te vient cette passion pour la musique Nayaka-kun ?
Il était peut-être temps de se poser et apprendre à mieux se connaître bien qu'il avait l'impression que les trois venaient d'un monde tout à fait différent. Zuran aussi savait apprécier la musique, il aimait un peu de tout mais ces derniers temps son stress et son inquiétude se laissait entendre à travers ses écoutes. Il n'y avait qu'à entendre celle qui était en train de passer après la chanson d'avant. Il avait oublié de retirer la lecture aléatoire de son téléphone. Parmi toutes celles qui étaient positives et enjouées il avait fallu que le portable choisisse de jouer celle-là... Mais ce n'était pas pour autant qu'il allait la changer. Il aimait cette musique et s'il voulait faire connaissance avec ses amis alors il ne devait pas cacher quoi que ce soit. Puis elle était belle, elle montrait l'inquiétude et la tristesse mais elle restait magnifique dans ces émotions qu'elle dégageait. La musique était douce et avait un rythme soutenu. Ce n'était pas une mélodie fataliste, elle permettait au jeune parrain de savoir où il devait regarder et sur quoi il devait se focaliser. C'était pour cela qu'il regardait ses amis avec un sourire toujours aussi chaleureux et bienveillant. Car aujourd'hui, c'était sur eux qu'il voulait apporter toute son attention.
- Personnellement la musique est un outil et un cadeau qui m'a toujours permit de me recentrer sur mes pensées et mes objectifs.
Il reprenait une gorgée de sa bière pas très bonne avant de déposer la bouteille sur la table basse.
Zuran - Reborn no Future
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# Re: Good Days ♫ Yoshimatsu & Zuran & Shilia [TERMINÉ]Mar 2 Juin - 11:47Indian Summer ♫ SPiCYSOL En entendant son voisin, Arun secoua la tête. C'était quoi ça ? Si on ne tentait rien, on ne réussissait jamais rien. Échouer, c'est une forme de réussite ! Il ne pouvait pas dire ça comme ça. Il bougea la tête puis sourit grandement. Il allait le faire jouer. Par contre, il tapota son épaule pour les boissons, il allait pisser sévère ce soir. Le pauvre. Il n'aimerait pas être sa vessie, la vache.
« J'te ferai essayé un truc, peut-être pas aujourd'hui mais un autre jour sinon. Je pense que.. ; tu devrais avoir un lien pas mal avec le baryton. Pas tout de suite mais sur le long terme, ça devrait bien marcher. »
Vu qu'il sonnait déjà comme un baryton. Sans déconner, ça ne s'arrêtait jamais la flamme ? Cela faisait plus de cinq minutes là... ça ne devrait pas tarder. Ou il avait loupé un truc ? Peut-être, peu importe. Le musicien sourit doucement à la question de son parrain. C'est bon, il commençait pas être vraiment capable de discuter et de se découvrir comme de vrai adolescent. Vu qu'ils étaient dans le mood, il sauta au dessus de son lit pour attraper la pochette la plus vieille et la plus couverte de sticker de concert. L'étui était tout noir, mais on voyait qu'il avait du vécu autant dans le temps qu'au niveau de l'affection qui en sortait. C'était ça, aimer un objet.
« Ça me vient de mon oncle. » Il tira l'étui à lui et commença l'ouvrir. « Bon, c'est un yakuza, mais c'est aussi un très chic type. Je crois. En tout cas, il m'a offert mon premier instrument. »
Quand il sortit la basse, elle était comme neuve. Il en avait toujours pris le plus grand soin. On voyait la qualité et l'entretien passionné que le garçon lui apportait. C'était son trésor, la chose la plus importante pour lui dans ce monde. En fait, il ne se voyait pas réussir dans la vie sans cette basse. Elle avait déterminée qui il était. Il sourit en entendant les mots pour la musique qu’annonça Zuran.
« Je suis content de t'entendre dire ça. » Il ferma les yeux. « Pour moi, elle est littéralement ma vie. Depuis tout petit j'ai une hypersensibilité au niveau de l'ouïe. Je peux entendre extrêmement loin et avec une précision intense. J'ai eu pas mal de problème avec ça... Mais quand j'ai pu jouer et découvrir les sonorités que pouvaient faire les instruments, j'ai aussi découvert comment comprendre le monde. Tout le monde produit des bruits différents et chaque bruits différents ressemblent à un instrument. Je comprends les gens comme ça. »
Ses yeux se rouvrirent et il était plus passionné que jamais. En fait, avec cette petite bouille, ses yeux pleins d'étoiles, ses joues rosies et la basse contre lui... Il ressemblait vraiment à un collégien plus qu'un lycéen. Sa passion était la musique, il vivait pour elle.
« En fait, j'ai même réussi à comprendre mes sentiments avec la musique... C'était carrément flou avant. » Il sourit doucement. « … Je pourrai en parler longtemps, donc si vous voulez parler allez-y. »
Il se gratta le dos, gêné. :copyright:️ 2981 12289 0
« J'te ferai essayé un truc, peut-être pas aujourd'hui mais un autre jour sinon. Je pense que.. ; tu devrais avoir un lien pas mal avec le baryton. Pas tout de suite mais sur le long terme, ça devrait bien marcher. »
Vu qu'il sonnait déjà comme un baryton. Sans déconner, ça ne s'arrêtait jamais la flamme ? Cela faisait plus de cinq minutes là... ça ne devrait pas tarder. Ou il avait loupé un truc ? Peut-être, peu importe. Le musicien sourit doucement à la question de son parrain. C'est bon, il commençait pas être vraiment capable de discuter et de se découvrir comme de vrai adolescent. Vu qu'ils étaient dans le mood, il sauta au dessus de son lit pour attraper la pochette la plus vieille et la plus couverte de sticker de concert. L'étui était tout noir, mais on voyait qu'il avait du vécu autant dans le temps qu'au niveau de l'affection qui en sortait. C'était ça, aimer un objet.
« Ça me vient de mon oncle. » Il tira l'étui à lui et commença l'ouvrir. « Bon, c'est un yakuza, mais c'est aussi un très chic type. Je crois. En tout cas, il m'a offert mon premier instrument. »
Quand il sortit la basse, elle était comme neuve. Il en avait toujours pris le plus grand soin. On voyait la qualité et l'entretien passionné que le garçon lui apportait. C'était son trésor, la chose la plus importante pour lui dans ce monde. En fait, il ne se voyait pas réussir dans la vie sans cette basse. Elle avait déterminée qui il était. Il sourit en entendant les mots pour la musique qu’annonça Zuran.
« Je suis content de t'entendre dire ça. » Il ferma les yeux. « Pour moi, elle est littéralement ma vie. Depuis tout petit j'ai une hypersensibilité au niveau de l'ouïe. Je peux entendre extrêmement loin et avec une précision intense. J'ai eu pas mal de problème avec ça... Mais quand j'ai pu jouer et découvrir les sonorités que pouvaient faire les instruments, j'ai aussi découvert comment comprendre le monde. Tout le monde produit des bruits différents et chaque bruits différents ressemblent à un instrument. Je comprends les gens comme ça. »
Ses yeux se rouvrirent et il était plus passionné que jamais. En fait, avec cette petite bouille, ses yeux pleins d'étoiles, ses joues rosies et la basse contre lui... Il ressemblait vraiment à un collégien plus qu'un lycéen. Sa passion était la musique, il vivait pour elle.
« En fait, j'ai même réussi à comprendre mes sentiments avec la musique... C'était carrément flou avant. » Il sourit doucement. « … Je pourrai en parler longtemps, donc si vous voulez parler allez-y. »
Il se gratta le dos, gêné.
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# Re: Good Days ♫ Yoshimatsu & Zuran & Shilia [TERMINÉ]Mer 24 Juin - 21:04 Rappel à l'ordreFt. Arun
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Ils avaient donc parlé musique pendant des heures après que Arun ait annoncé sa sensibilité aux ondes sonores. Il était tout l'inverse du jeune parrain, ça forçait le respect et Zuran respectait beaucoup son ami. Au bout d'un certains temps, Yoshimatsu avait décidé de rentrer chez lui car il se faisait tard. Il est vrai que le jeune garçon devrait rentrer également rentrer chez lui. Mais honnêtement, il n'en avait aucune envie. Il avait fait connaissance avec Yoshimatsu et avait apprit à connaître un peu plus celui qui avait décidé de l'épauler dans sa vie mafieuse, il avait écouté et parlé musique pendant de longues minutes, pour une fois, il était tranquille et avait l'impression de vivre une journée normale d'une vie normale et il ne voulait pas que ce moment s'arrête. Mais son téléphone s'était mit à sonner, sa mère cherchait à le joindre. Las, il décrochait sans dire un mot. Évidemment, elle savait qu'il était en sécurité chez un ami. Alors au lieu de simplement prendre des nouvelles, elle le sermonnait parce qu'il abusait de la générosité de son ami et de sa mère qui accepte de lui laisser tant de liberté. Elle lui disait qu'il restait un lycéen, un enfant et qu'un enfant devrait être chez lui à cette heure-là. Plus elle parlait, plus il serrait le poing. Plus il en prenait pour son grade, plus il se mordait la lèvre inférieure.
- … Je refuse de t'entendre me parler comme si tout était normal alors que depuis ma naissance tu savais dans quoi je pouvais être embarqué et tu ne m'as jamais préparé à tout ça.
Le son du téléphone était assez fort, il l'était suffisamment pour être entendu par Arun qui avait une sensibilité auditive. Zuran aurait aimer pouvoir baisser le son, mais il n'entendrait rien. Il ne pouvait pas cacher que sa mère répondait en hurlant, disant qu'il ne pouvait pas comprendre le choix qu'elle avait fait. Disant qu'il n'avait pas le droit de dire ça car sa destinée de mafieux était incertaine étant donné qu'il n'était qu'un remplaçant. Elle disait qu'il ne pouvait pas reprocher à sa mère qu'elle lui ai fait connaître la vie civile au lieu d'être éduqué depuis le début à ce milieu. Le malentendant lui coupait la parole.
- C'est justement parce que j'ai connu la vie civile que je t'en veux. Je t'en veux parce que tu m'as tenu éloigné de Tsuna avec qui j'ai un lien du sang parce que tu voulais me préserver de la mafia et par conséquent tu as décidé de me préserver de lui. Je t'en veux parce qu'à cause de ça, je n'ai que la sensation d'aller devoir secourir de parfaits inconnus. Je t'en veux parce que je dois mettre ma vie en jeu et celle de mes amis pour accomplir un devoir dont je ne veux pas. Je t'en veux parce que tu ne m'as jamais préparé à devoir me lier à des personnes qui mourront. Je t'en veux parce que je peux m'habituer à beaucoup de choses, mais jamais à celle de perdre des proches... Je t'en veux parce que tu m'as fait croire que papa avait disparu alors que je le pense enterré depuis des années parce qu'il a dû couvrir nos arrières afin qu'on soit en sécurité. Je t'en veux parce que tu m'as éduqué dans une vie civile. Si tu m'avais éduqué dans le monde de la mafia, je t'en aurais voulu aussi... Mais je t'en veux parce que tu n'as jamais enclenché les démarches pour que je grandisse dans deux milieux différents au lieu d'un seul... Je t'en veux parce qu'à cause de ça, j'ai l'impression de devoir sacrifier ma vie entière pour un milieu qui n'est pas le mien...
Des larmes commençait à couler. Il n'avait pas les sourcils froncés, aucune colère n'était palpable. Ce qui pouvait être ressenti était plutôt de la tristesse, une profonde tristesse car même s'il pouvait continuer de vivre une vie civile tout en s'éduquant à être un mafieux, personne ne pouvait le regarder droit dans les yeux et lui promettre qu'il arrivera à récupérer un quotidien qui aura la même saveur et la même douceur qu'auparavant. Et sa mère comprenait enfin ce qu'il était en train de lui dire. Elle ne disait plus rien, il y avait juste un grand silence. De plus, il n'avait pas parlé des conséquences de son handicap une seule fois dans tout ça. Cela montrait juste à sa mère qu'il se sentait à la hauteur pour répondre à son devoir, mais cela montrait aussi que humainement parlant, il était prêt à subir les conséquences, mais il ne l'était pas pour les accepter et il disait qu'il ne le serait jamais.
- Tu es une mère formidable. J'aime la personne que je suis. Je ne le réalise que maintenant, mais je me rends compte d'à quel point je peux m'investir de façon désintéressé pour porter mon aide aux autres. Je ne veux en aucun cas être un parrain de mafia, pourtant j'ai accepté ce rôle pour secourir Tsuna et sa famille. J'ai accepté ce rôle pour pouvoir protéger mes proches en toutes circonstances. Mais quand je n'aurais plus de raisons de détenir ce pouvoir entre mes mains, alors je procéderai à sa dissolution ou je passerai le flambeau à un héritier qui sera en accord avec ce rôle et qui aura le cœur assez juste pour que je puisse dormir sur mes deux oreilles en sachant qu'il y a quelqu'un avec tout ce champ des possibles. Mais pour le moment, je veux pouvoir rester encore un moment avec mon ami et profiter de cette soirée où je ne suis pas obligé de subir des sévices physiques ou morales. Je veux pouvoir finir cette soirée en étant Zuran Kitamura et non le Onzième parrain de la famille Vongola. Et là, actuellement, ton enfant a décidé de faire sa crise d'adolescence et d'ignorer tes ordres. On se revoit tout à l'heure.
Il raccrochait le téléphone, l'éteignait et le balançait dans son sac. Il avait desserré le poing et son visage mélancolique redevenait tout à fait normal. Les paroles qu'il avait dit se répétaient dans sa tête. Son honnêteté sans langue de bois, la vérité telle qu'elle était. Cette impression qu'on t'a volé quelque chose, qu'on t'a volé une partie de toi et que tu pourras espérer retrouvé ton bien seulement pendant quelques instants après de longs combats douloureux et éprouvants. Il n'avait pas peur de souffrir car il souffrait déjà avant d'être un mafieux. En revanche, il avait peur de souffrir davantage. Il avait peur de ne pas pouvoir tenir parole. Il avait peur d'embarquer des personnes qui ne devraient pas l'être. Les seuls envers qui il avait la certitude qu'ils pouvaient s'en sortir et réussir à vivre malgré tout, c'est Azami et Arun. Azami ne voulait pas d'une vie normale et Arun a déjà un pied dans cet univers. Mais les prochaines personnes comme Yoshimatsu qui apparemment, comme Zuran, ne voulait pas s'impliquer d'eux-mêmes dans tout ça... Comment allait-il réussir à supporter le fait de mettre des personnes lambdas dans un danger constant ?.. Il n'en savait rien et pour ce soir, il ne voulait pas y penser.
- Désolé pour le dérangement Nayaka-kun. Il commence à se faire tard, si tu le souhaites, je peux te laisser tranquille pour la soirée. Si ma présence t'importune, n'hésite pas à me le dire.
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# Re: Good Days ♫ Yoshimatsu & Zuran & Shilia [TERMINÉ]Lun 6 Juil - 9:38Under The Same ♫ Miyavi Arun n'avait pas cette attachement qui réunissait son ami à sa mère. Il ne savait ce que c'était que d'avoir un père, un vrai père. Ce n'est pas les brèves souvenirs d'enfant qu'il avait ou les discours de son oncle et sa tante qui allaient remplacer ça. En fait, il savait qu'il n'aurait pas les mots pour parler de quelque chose qu'il n'avait pas. Bien-sûr, il aimait son père. Il aimait et il aurait aimé l'aimer encore plus, comme tout enfant. Il aurait aimé connaître sa mère aussi, cette femme dont personne ne parlait vraiment autrement que pour dire qu'elle avait épousé un abruti. Une fois sa tante avait même dit qu'elle n'avait de policière que le diplôme mais qu'en vérité elle n'avait été que l'exclue de la famille. Venant d'une pièce rapportée, et sous le regard mauvais de son oncle, il avait juste explosé de rire à l'époque. Sa tante lui en avait fait bavé dès que son oncle fut absent de la maison, évidemment.
Est-ce qu'il pouvait vraiment parler, rassurer son ami vis-à-vis de ce qu'il entendait ? Aurait-il fait mieux qu'elle en tant que parents de toutes façons ? Franchement, il n'en savait rien. Il n'avait pas encore réfléchi à tout ça. Son regard se voilà un peu, mais à peine, car de l'autre côté, il devait rester droit et franc. Il devait accompagner ce garçon qui venait d'apprendre que sa mère avait fait un choix pour lui, sans lui laisser la liberté de tout sa voir, sans lui laisser le choix d'être quelqu'un de plus que celui qu'il était. Mais Zuran était quelqu'un de bien, il le savait. Arun serra les poings, comment lui faire passer ce message ?
Lui, depuis le départ, depuis cette basse offerte par son oncle, son modèle musical – et de vie, il n'avait plus eu droit qu'à ça : des préventions sur la mafia. En boucle, sans interruption, dès qu'il faisait un pas sur le côté, dès qu'il était lui-même, on lui répétait qu'il finirait comme le pire de tous, le plus infâme criminel de la famille, il finirait comme Chandrajaj Nayaka, second d'un grand clan yakuza. Pourtant, le peu de fois où il l'avait vu, l'homme n'avait pas eu l'air d'un yakuza. Enfin, si, il en avait clairement tout l'attirail. Les tatouages, le cache-oeil, les broderies de luxes, mais pour le caractère, il n'avait jamais vu un homme aussi lumineux que lui. Ce fut le premier qui lui dit que ses parents avaient été des gens biens. Il lui parla de son père comme d'une personne toujours délirante, mais qui savait faire la part des choses et avec une vivacité folle. Il lui parla de sa mère comme d'une personne toujours à fond dans ce qu'elle faisait, droite et juste, une flic hors paire et reconnue. Ces parents n'étaient donc pas les connards qu'on lui avait défini. Il avait pleuré de joie ce jour-là, et cet oncle qui devait représenter le diable l'avait juste pris dans ses bras en souriant de façon solaire, et en lui disant qu'il serait toujours là si un jour il en avait besoin.
Quand la conversation fut finie, il se dit qu'il devait être cet oncle pour Zuran. Il ne pouvait clairement pas le laisser partir comme ça. Il le laissa finir de parler tout en le regardant calmement. Une vague d'énervement passa en lui, comment ça il le gênait ? Mais il voulait un coup de boule ou bien ? Il soupira puis lui offrit un grand sourire confiant et attentionné :
« Allez, repose ton cul, j'vais commander pizza. »
Il le poussa avec douceur sur son lit puis ouvrit son ordinateur pour le ramener directement à côté de Zuran. Il se mit aussi sur le lit et fixa le garçon en haussant un sourcil :
« Me dit pas que t'es du genre à juger les gens qui aiment l'ananas sur les pizzas, j'le vivrai mal. »
Ses mots étaient banals mais sa main passa au dessus de l'épaule du jeune homme et le ramena contre lui. Par ce simple geste, il passait son message. Arun n'était pas doué avec les mots sincères. Il préférait de vrais actions, des faits et du limpides. Il était là pour lui, il était là pour l'aider à traverser tout ça, il était là pour parler s'il voulait. Il était là pour le loger si besoin. Il était son ami, il était là. D'ailleurs, on pouvait voir dans son regard sa détermination et la protection qu'il mettait sur l'adolescent. Il n'était qu'un musicien, mais il pouvait devenir bien plus. Il le ferait pour Zuran, pour que jamais il n'ait à avoir de perte inutile de leurs mains. Pour que Zuran puisse redevenir civil après tout ça... Pour que leur histoire se finisse bien.
« J'ai de quoi à faire un cocktail planqué quelque part si tu veux... De la crème de framboise me semble ! » Il lui sourit.
Il n'était pas seul. :copyright:️ 2981 12289 0
Est-ce qu'il pouvait vraiment parler, rassurer son ami vis-à-vis de ce qu'il entendait ? Aurait-il fait mieux qu'elle en tant que parents de toutes façons ? Franchement, il n'en savait rien. Il n'avait pas encore réfléchi à tout ça. Son regard se voilà un peu, mais à peine, car de l'autre côté, il devait rester droit et franc. Il devait accompagner ce garçon qui venait d'apprendre que sa mère avait fait un choix pour lui, sans lui laisser la liberté de tout sa voir, sans lui laisser le choix d'être quelqu'un de plus que celui qu'il était. Mais Zuran était quelqu'un de bien, il le savait. Arun serra les poings, comment lui faire passer ce message ?
Lui, depuis le départ, depuis cette basse offerte par son oncle, son modèle musical – et de vie, il n'avait plus eu droit qu'à ça : des préventions sur la mafia. En boucle, sans interruption, dès qu'il faisait un pas sur le côté, dès qu'il était lui-même, on lui répétait qu'il finirait comme le pire de tous, le plus infâme criminel de la famille, il finirait comme Chandrajaj Nayaka, second d'un grand clan yakuza. Pourtant, le peu de fois où il l'avait vu, l'homme n'avait pas eu l'air d'un yakuza. Enfin, si, il en avait clairement tout l'attirail. Les tatouages, le cache-oeil, les broderies de luxes, mais pour le caractère, il n'avait jamais vu un homme aussi lumineux que lui. Ce fut le premier qui lui dit que ses parents avaient été des gens biens. Il lui parla de son père comme d'une personne toujours délirante, mais qui savait faire la part des choses et avec une vivacité folle. Il lui parla de sa mère comme d'une personne toujours à fond dans ce qu'elle faisait, droite et juste, une flic hors paire et reconnue. Ces parents n'étaient donc pas les connards qu'on lui avait défini. Il avait pleuré de joie ce jour-là, et cet oncle qui devait représenter le diable l'avait juste pris dans ses bras en souriant de façon solaire, et en lui disant qu'il serait toujours là si un jour il en avait besoin.
Quand la conversation fut finie, il se dit qu'il devait être cet oncle pour Zuran. Il ne pouvait clairement pas le laisser partir comme ça. Il le laissa finir de parler tout en le regardant calmement. Une vague d'énervement passa en lui, comment ça il le gênait ? Mais il voulait un coup de boule ou bien ? Il soupira puis lui offrit un grand sourire confiant et attentionné :
« Allez, repose ton cul, j'vais commander pizza. »
Il le poussa avec douceur sur son lit puis ouvrit son ordinateur pour le ramener directement à côté de Zuran. Il se mit aussi sur le lit et fixa le garçon en haussant un sourcil :
« Me dit pas que t'es du genre à juger les gens qui aiment l'ananas sur les pizzas, j'le vivrai mal. »
Ses mots étaient banals mais sa main passa au dessus de l'épaule du jeune homme et le ramena contre lui. Par ce simple geste, il passait son message. Arun n'était pas doué avec les mots sincères. Il préférait de vrais actions, des faits et du limpides. Il était là pour lui, il était là pour l'aider à traverser tout ça, il était là pour parler s'il voulait. Il était là pour le loger si besoin. Il était son ami, il était là. D'ailleurs, on pouvait voir dans son regard sa détermination et la protection qu'il mettait sur l'adolescent. Il n'était qu'un musicien, mais il pouvait devenir bien plus. Il le ferait pour Zuran, pour que jamais il n'ait à avoir de perte inutile de leurs mains. Pour que Zuran puisse redevenir civil après tout ça... Pour que leur histoire se finisse bien.
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# Re: Good Days ♫ Yoshimatsu & Zuran & Shilia [TERMINÉ]Mer 15 Juil - 3:46
Le silence de circonstance, lourd et omniprésent. C'était la seule chose qui voguait actuellement dans l'appartement de Arun après qu'il ait poussé le malentendant sur le lit en lui disant de rester ici. Pour la première fois, Zuran n'était pas que malentendant, il était également momentanément atteint d'un mutisme assez impressionnant. Il était également victime de tremblement, sûrement dû au stress qu'il avait sur les épaules mais aussi à cause de la façon dont il venait de parler à sa mère. Cette rencontre avec le serpent, c'était ça, il était l'allumette qui avait déclenché le feu à la poudre de canon. Le parrain avait déjà dit qu'il allait sûrement subir des pertes, il espérait que ce ne serait pas avant longtemps. Mais ce Shilia avait déclenché une vague de terreur en lui, remontant la possibilité d'être un homme endeuillé à vie de manière très significative. Il n'avait pas confiance en cette victime de la mafia et il avait l'impression qu'il ferait bien plus de mal qu'autre chose.
« De l'ananas ? Sur une pizza ? Tu as dû perdre un pari pour accepter d'y goûter. » Disait-il sur le ton de la plaisanterie tout en se tenant la main pour contenir son angoisse.
L'adolescent attrapait l'ordinateur de son ami et sélectionnait une trois fromages. Cela sortait de ses habitudes mais il fallait bien faire de nouvelles découvertes dans la vie. Après cela, il se relevait et allait fouiller dans la cuisine pour trouver cette fameuse crème framboise pour servir Arun et lui-même. À nouveau assit sur le lit, il empoignait son verre et trinquait avec son hôte avant de boire une gorgée.
« Aux Vongolas ! À cette famille maudite qui ont donné le pouvoir à un incapable pour les sauver ! Et à Nakamaru-kun, ce nouvel antagoniste qui va certainement vouloir nous pousser dans nos derniers retranchements ! » Disait-il avant de boire son verre cul sec.
Il n'y avait plus aucune once de colère, ni dans sa voix ni dans ses yeux. C'était encore un coup de son adaptation légendaire qui avait prit le dessus et menait le jeune malentendant à tout simplement se préparer au pire. Il savait que le danger allait arriver, mais si tôt et en connaissant le visage de celui qui pourrait être responsable de tout ça, c'est comme si tu voulais faire une partie de jambe en l'air sans préliminaire. En tout cas, c'est ce que dirait le père du jeune parrain et cette simple pensée l'avait fait rire doucement alors qu'il regardait le sol. Était-il déjà ivre ? Sûrement. C'était une petite nature et il était le premier à le dire ! D'un léger mouvement de tête, il regardait son acolyte avec des paupières très légèrement plissées et dit un sur ton anesthésié :
« Comment tu fais Nayaka-kun ? Genre, regarde moi. Il suffit qu'on me bouscule avec un coup d'épaule pour que je tombe et me mette à paniquer. J'suis un château de cartes ! » Disait-il en servant une nouvelle tournée. « Comment tu arrives à rester si calme et à rester confiant alors que tu sais comme moi que le danger peut être bien plus important qu'on l'imagine ? T'es déjà allé sauver des gens disparus depuis dix ans ? » Demandait-il très sérieusement en manquant de ce manger la table basse pour attraper son verre sans quitter Arun du regard.
« De l'ananas ? Sur une pizza ? Tu as dû perdre un pari pour accepter d'y goûter. » Disait-il sur le ton de la plaisanterie tout en se tenant la main pour contenir son angoisse.
L'adolescent attrapait l'ordinateur de son ami et sélectionnait une trois fromages. Cela sortait de ses habitudes mais il fallait bien faire de nouvelles découvertes dans la vie. Après cela, il se relevait et allait fouiller dans la cuisine pour trouver cette fameuse crème framboise pour servir Arun et lui-même. À nouveau assit sur le lit, il empoignait son verre et trinquait avec son hôte avant de boire une gorgée.
« Aux Vongolas ! À cette famille maudite qui ont donné le pouvoir à un incapable pour les sauver ! Et à Nakamaru-kun, ce nouvel antagoniste qui va certainement vouloir nous pousser dans nos derniers retranchements ! » Disait-il avant de boire son verre cul sec.
Il n'y avait plus aucune once de colère, ni dans sa voix ni dans ses yeux. C'était encore un coup de son adaptation légendaire qui avait prit le dessus et menait le jeune malentendant à tout simplement se préparer au pire. Il savait que le danger allait arriver, mais si tôt et en connaissant le visage de celui qui pourrait être responsable de tout ça, c'est comme si tu voulais faire une partie de jambe en l'air sans préliminaire. En tout cas, c'est ce que dirait le père du jeune parrain et cette simple pensée l'avait fait rire doucement alors qu'il regardait le sol. Était-il déjà ivre ? Sûrement. C'était une petite nature et il était le premier à le dire ! D'un léger mouvement de tête, il regardait son acolyte avec des paupières très légèrement plissées et dit un sur ton anesthésié :
« Comment tu fais Nayaka-kun ? Genre, regarde moi. Il suffit qu'on me bouscule avec un coup d'épaule pour que je tombe et me mette à paniquer. J'suis un château de cartes ! » Disait-il en servant une nouvelle tournée. « Comment tu arrives à rester si calme et à rester confiant alors que tu sais comme moi que le danger peut être bien plus important qu'on l'imagine ? T'es déjà allé sauver des gens disparus depuis dix ans ? » Demandait-il très sérieusement en manquant de ce manger la table basse pour attraper son verre sans quitter Arun du regard.
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# Re: Good Days ♫ Yoshimatsu & Zuran & Shilia [TERMINÉ]Sam 18 Juil - 14:52Afraid to be cool ♫ Miyavi A la réplique de son ami, il eut un large rire non censuré par son habituel introvertissement. Non, au contraire, il était complètement libre avec le jeune homme au point qu'il se permettait de juste rire sans faille, sans chercher à lui mentir ou à poster de résistance à ce qu'il était vraiment. Il lâcha un autre petit bout de lui-même sans s'en apercevoir avec les paroles qui suivirent. Comme quoi, quand il se détendait, il pouvait être autre chose qu'un gros con.
« Non, aucun pari n'a été perdu ! J'aime juste tester ce que tout le monde déteste. J'suis le genre à me dire qu'on doit surtout pas dénigrer ce qu'on connaît pas avant d'avoir tester ! » Il mit une main sur son épaule : « Donc go tester la pizza à l'ananas un soir où toute ma famille adoptive était réunie et avait la flemme de cuisiner. Mon cousin a fini par kiffer aussi malgré le fait qu'il râlait à la base, mais ma tante m'a foutu un poing dans le crâne dès que mon oncle avait eu le dos tourné ! Je m'étais trop marré. »
C'était l'un des meilleurs souvenirs de sa vie. Comme quoi, il lui en fallait peu pour que sa journée devienne un vrai bonheur. Il suffisait qu'il arrive à faire chier des gens qu'il ne supportait vraiment pas. Il y en avait peu et d'ailleurs, il comptait naturellement ses personnes sur ses doigts. Son sourire se fit crispé quand il entendit Zuran se définir comme un incapable. Il pencha la tête alors que sa colère commença à monter. Il restait toutefois assez calme à ce moment-là. Mais il ne trinqua pas avec effort et sans un mot. Il essaya de contrôler cette basse qui commençait à faire des hurlements grinçants derrière la flûte. Et merde.
Il prit une inspiration. La clochette de Zuran n'était pas en train de s'affoler mais elle sonnait avec une légère once de faux qui commençait à lui faire mal au crâne. Il s'assit sur le sol et inspira encore plus fort. Hors de question qu'il ne se contrôle pas là. Il regarda le garçon dans les yeux quand il lui parla... sans le lâcher du regard, y comprit quand il se mangea la table. Finalement, il se redressa pour se remettre sur le bord de la fenêtre et se mettre une clope au bec.
« Haaa... » Il lâcha une râle mit sa tête en arrière puis choppa la basse de nouveau sur lui. « T'sais quoi... J'suis très loin d'être calme ou prêt... Bien au contraire, je réfléchis plus que depuis le début de ma vie à chaque minute où on parle. J'suis clairement parti pour devenir ce que toute ma putain de famille disait que j'allais devenir : un mafieux prêt à tout pour son boss. Et t'sais quoi ? Mon boss c'est toi, et je sais que c'est justement par ce que t'es mon boss que je deviendrai pas un connard capable de tuer n'importe qui, de faire du mal aux autres ou de manipuler son prochain. C'est par ce que tu es qui tu es que je peux être quelqu'un de bien. C'est par ce que tu te dis incapable alors que t'es déjà en train de me guider et de faire ton putain de job sur moi que t'es bien capable de le faire ? Sauver des gens d'il y a 10 ans, mais mec, c'est pas ça ton vrai boulot. Ton vrai boulot c'est d'être toi et de changer les choses comme tu le veux toi. T'as pas besoin d'être superman, tu serais juste bénévole à sauver des chatons ou à déposer de l'argent à une banque alimentaire que d'ja je te suivrai pour le faire. Tu comprends ça ? T'es mon ami, t'es une personne bien et c'est tellement putain de rare que je compte pas te lâcher.. »
Il avait beaucoup parler mais sa basse débuta à ce moment-là.
« Et ça, c'est de la seule personne vivante que je peux considérer m'avoir instruit que quand je trouverai ma personne à suivre, je le ferai. » Il secoua la tête et sa voix commença avec la musique : « Banging down on my door ! Can't get out the side door ! What you gonna fight for ? »
Il ne chanta ni ne joua trop fort pour ne pas faire chier les problèmes auditifs de Zuran, mais pour le reste. P'tain il passa dans cette version accoustic tout ce qu'il pensait.
« I can bring your beast back ; Break that cage and free that ! I know you want to be that ! » Sa tête suivit le rythme alors qu'il lança en le fixant droit dans les yeux : « Don't even try to say no cause you're coming with me yeah !!! »
Il envoya sa tête en avant, ses cheveux suivant, puis le retour, la même. Son sourire s'afficha en grand et il dût se retenir pour ne pas laisser la puissance de sa voix partir trop loin :
« Why baby why you so afraid to be cool ?! Why baby why when you got nothing to lose ?! »
Un dernier coup dans les cordes de sa basse, il s'arrêta là. Sa passion passait toujours mieux en musique que dans un discours... Mais même en ayant fait un quart de la chanson... il songea que ça devrait suffire. Par ce que merde, il était pas prêt à tout ça, il faisait juste son maximum... tout le temps et il y allait. Alors oui, tant qu'il était là, Zuran pouvait avancer. Lui, il ferait ce qu'il faut ensuite. :copyright:️ 2981 12289 0
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C'était l'un des meilleurs souvenirs de sa vie. Comme quoi, il lui en fallait peu pour que sa journée devienne un vrai bonheur. Il suffisait qu'il arrive à faire chier des gens qu'il ne supportait vraiment pas. Il y en avait peu et d'ailleurs, il comptait naturellement ses personnes sur ses doigts. Son sourire se fit crispé quand il entendit Zuran se définir comme un incapable. Il pencha la tête alors que sa colère commença à monter. Il restait toutefois assez calme à ce moment-là. Mais il ne trinqua pas avec effort et sans un mot. Il essaya de contrôler cette basse qui commençait à faire des hurlements grinçants derrière la flûte. Et merde.
Il prit une inspiration. La clochette de Zuran n'était pas en train de s'affoler mais elle sonnait avec une légère once de faux qui commençait à lui faire mal au crâne. Il s'assit sur le sol et inspira encore plus fort. Hors de question qu'il ne se contrôle pas là. Il regarda le garçon dans les yeux quand il lui parla... sans le lâcher du regard, y comprit quand il se mangea la table. Finalement, il se redressa pour se remettre sur le bord de la fenêtre et se mettre une clope au bec.
« Haaa... » Il lâcha une râle mit sa tête en arrière puis choppa la basse de nouveau sur lui. « T'sais quoi... J'suis très loin d'être calme ou prêt... Bien au contraire, je réfléchis plus que depuis le début de ma vie à chaque minute où on parle. J'suis clairement parti pour devenir ce que toute ma putain de famille disait que j'allais devenir : un mafieux prêt à tout pour son boss. Et t'sais quoi ? Mon boss c'est toi, et je sais que c'est justement par ce que t'es mon boss que je deviendrai pas un connard capable de tuer n'importe qui, de faire du mal aux autres ou de manipuler son prochain. C'est par ce que tu es qui tu es que je peux être quelqu'un de bien. C'est par ce que tu te dis incapable alors que t'es déjà en train de me guider et de faire ton putain de job sur moi que t'es bien capable de le faire ? Sauver des gens d'il y a 10 ans, mais mec, c'est pas ça ton vrai boulot. Ton vrai boulot c'est d'être toi et de changer les choses comme tu le veux toi. T'as pas besoin d'être superman, tu serais juste bénévole à sauver des chatons ou à déposer de l'argent à une banque alimentaire que d'ja je te suivrai pour le faire. Tu comprends ça ? T'es mon ami, t'es une personne bien et c'est tellement putain de rare que je compte pas te lâcher.. »
Il avait beaucoup parler mais sa basse débuta à ce moment-là.
« Et ça, c'est de la seule personne vivante que je peux considérer m'avoir instruit que quand je trouverai ma personne à suivre, je le ferai. » Il secoua la tête et sa voix commença avec la musique : « Banging down on my door ! Can't get out the side door ! What you gonna fight for ? »
Il ne chanta ni ne joua trop fort pour ne pas faire chier les problèmes auditifs de Zuran, mais pour le reste. P'tain il passa dans cette version accoustic tout ce qu'il pensait.
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Un dernier coup dans les cordes de sa basse, il s'arrêta là. Sa passion passait toujours mieux en musique que dans un discours... Mais même en ayant fait un quart de la chanson... il songea que ça devrait suffire. Par ce que merde, il était pas prêt à tout ça, il faisait juste son maximum... tout le temps et il y allait. Alors oui, tant qu'il était là, Zuran pouvait avancer. Lui, il ferait ce qu'il faut ensuite.
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# Re: Good Days ♫ Yoshimatsu & Zuran & Shilia [TERMINÉ]Dim 27 Sep - 11:34
Ses mots lui faisaient chaud au cœur. C'est vrai quand tout ces changements il avait au moins la chance d'avoir croisé la route de quelqu'un comme Arun. Maintenant qu'il y réfléchissait bien, il se disait qu'il était effectivement capable de soulever des montagnes et de partir en un contre tous s'il savait son ami en danger. C'est peut-être ça aussi que les autres voyaient chez lui. En tout cas, son sourire s'était adouci et était devenu plus sincère que tout à l'heure. Il regardait l'ordinateur de son ami qui commandait des pizzas en ligne.
« Ça te dit qu'on prenne deux pizzas et qu'on partage les deux ? Tu m'as donné envie d'essayer l'ananas. »
Pour le reste, il ne savait pas quoi répondre à Arun. Peut-être parce qu'il n'y a rien à dire ? Il venait d'ouvrir son cœur et le petit malentendant avait tout écouté et montrer que ça l'avait touché et qu'il lui en était reconnaissant. Alors que dire de plus alors qu'on pouvait lire dans son regard à quel point il comptait faire en sorte qu'il ne le décevrait pas ? Alors à la place de dire quoi que ce soit, il l'écoutait chanter et se laissait bercer par la musique. Une fois que ce dernier avait terminé sa chanson, le malentendant le regardait, souriait et lui disait.
« Je ne laisserai plus rien me faire douter et me paralyser par l'incertitude. » Disait-il en se relevant tranquillement. « Si je peux éviter des combats je le ferai sans hésiter mais si je dois me battre alors je donnerai tout ! » Rajoutait-il avant de se diriger vers la cuisine pour attraper les fameux ingrédients pour faire des cocktails.
Le petit regardait les recettes sur son portable et essayait cette fois de faire les choses de lui-même afin de faire plaisir à son ami et de passer une soirée agréable avec lui. En tout cas, Zuran avait décidé de grandir et d'avancer. On l'a voulu comme boss des Vongolas ? Alors il le deviendrait mais comme l'a dit son ami, c'est à lui d'utiliser ce privilège pour obtenir ce qu'il souhaite pour le monde. Mais Arun comme lui savait que ça allait mener des ennemis à vouloir frapper fort. À partir du lendemain il allait donc s'entraîner d'autant plus pour être en mesure de frapper encore plus fort pour protéger les siens mais aussi ses convictions.
« Ça te dit qu'on prenne deux pizzas et qu'on partage les deux ? Tu m'as donné envie d'essayer l'ananas. »
Pour le reste, il ne savait pas quoi répondre à Arun. Peut-être parce qu'il n'y a rien à dire ? Il venait d'ouvrir son cœur et le petit malentendant avait tout écouté et montrer que ça l'avait touché et qu'il lui en était reconnaissant. Alors que dire de plus alors qu'on pouvait lire dans son regard à quel point il comptait faire en sorte qu'il ne le décevrait pas ? Alors à la place de dire quoi que ce soit, il l'écoutait chanter et se laissait bercer par la musique. Une fois que ce dernier avait terminé sa chanson, le malentendant le regardait, souriait et lui disait.
« Je ne laisserai plus rien me faire douter et me paralyser par l'incertitude. » Disait-il en se relevant tranquillement. « Si je peux éviter des combats je le ferai sans hésiter mais si je dois me battre alors je donnerai tout ! » Rajoutait-il avant de se diriger vers la cuisine pour attraper les fameux ingrédients pour faire des cocktails.
Le petit regardait les recettes sur son portable et essayait cette fois de faire les choses de lui-même afin de faire plaisir à son ami et de passer une soirée agréable avec lui. En tout cas, Zuran avait décidé de grandir et d'avancer. On l'a voulu comme boss des Vongolas ? Alors il le deviendrait mais comme l'a dit son ami, c'est à lui d'utiliser ce privilège pour obtenir ce qu'il souhaite pour le monde. Mais Arun comme lui savait que ça allait mener des ennemis à vouloir frapper fort. À partir du lendemain il allait donc s'entraîner d'autant plus pour être en mesure de frapper encore plus fort pour protéger les siens mais aussi ses convictions.
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