Caractère

Orianna est une fille qui sourie à la vie, ce n’est pas une fille qui tirera une tronche dépité quand vous la verrez, un sourire léger et rassurant. C’est une demoiselle qui a décidée d’être ainsi, la volonté et la force de devenir une lumière qui guiderai la personne perdue sur le bon chemin. On ne peut pas dire qu’elle est méchante, Orianna est une fille qui est du genre à tendre la main, mais elle n’est néanmoins pas du genre à se laisser mordre par qui que ce soit. Gentille oui, idiote… Non, ce n’est pas la fille qui acceptera au premier coup de sortir avec une personne. On ne peut pas la qualifier de fille facile.

Dangereuse ? Hmmm on peut pas dire qu’elle est le caractère d’une personne dangereuse. Elle n’est pas manipulatrice, préférant faire les choses par soi même pour ne pas impliquer d’autres personnes.  Elle ne veut pas mettre les autres en danger, en vérité, elle est prête à se sacrifier pour d’autres. Mais seulement si cela peut réellement en valoir la peine. Ne croyez pas qu’elle se mettrait en danger pour un inconnu directement comme ça ! Quoi que cela dépend réellement de la situation. Mais n’étant pas une fille qui laisserait les choses se dérouler sous ses yeux sans rien faire… Sachez que si elle peut agir, elle le fera ! C’est Orianna, elle est comme ça.

La patience elle en a, mais il y a tout de même certaines limites à cela ! Quand elle est prise par la peur, la demoiselle perd toute patience et se tétanise et plonge dans une forme de silence. Cela peut ne pas durer et virer à la demoiselle qui crie et hurle ! En vérité, elle ne sait pas si elle serait capable de frapper quelqu’un, pour se défendre oui. Mais pour qu’elle en vienne à se battre, c’est qu’elle a presque perdue la raison. Dans ce cas, elle sera sûrement en larme et chercherait après de l’aide au plus vite. Orianna est comme ça… Elle n’aime pas que l’on l’attrape par derrière, cela lui fait peur, enfin… Son réflexe là serait de faire passer la personne par dessus, ou s’écarter d’un bond en se tournant pour voir de qui il s’agit !

Ne croyez pas qu’elle manque de confiance en elle, de la confiance elle en a, même dans la peur. Sinon ce serait une demoiselle qui ce laisserait faire. Mais comme dit avant, elle ne se laissera pas avoir. En dehors de cela, elle est du genre à aimer porter des cosplay, chanter, danser et lire des mangas. Chose qu’elle ne désire pas, être un poids mort pour les autres, cette sensation qu’elle pourrait avoir n’est pas ce qu’elle aimerait montrer, non. Orianna fait en sorte d’être forte et va de l’avant.

Histoire

« Tu te nommeras Orianna. »

Orianna naquit en France, à la capitale. Une mère originaire de ce pays et un père japonais. L’une était encore étudiante à l’époque et n’avait que dix huit ans et l’autre vingt cinq ans fils d’un homme d’affaire. Orianna et sa mère furent invité à vivre au japon, mais cela ne fut pas acceptée, La mère de Orianna voulait finir ses études et aussi que sa fille connaisse un minimum le pays où elle était née. Pour ne pas être séparé de sa famille, le père de Orianna avait réussis à convaincre son père d’agrandir l’entreprise et d’y mettre une boutique en France. Chose qui fut fait et sans le moindre problème. Cela put permettre aussi de créer de l’emploi. Orianna était promise à une belle vie.

« Orianna, pourquoi tu ne pleures pas ? »

La petite était là à regarder sa petite plaie sans pleurer, tandis qu’à coté, le garçon avec qui elle eut une collision de vélo pleurait à ne plus s’arrêter. Les deux avaient eut mal, mais Orianna elle, ne versa pas une larme. Se relevant, elle fit un bisou sur la joue du petit garçon. Un bisou magique pour guérir les bobos ! L’innocence de l’enfance. Elle devait à peine avoir cinq ans. Orianna se démarquait des enfants de son âge car elle apprenait aussi le japonais en parallèle. Son père y tenait, c’était important pour lui. Et ça plaisait énormément à la petite. Ayant une mère et un père parlant couramment le japonais, c’était pour elle naturel de l’apprendre. Enfin, là n’était pas la chose la plus importante. En grandissant, elle allait être une super personne ! C’est ce qu’elle se disait. Elle voulait entrer en école de police.

« La justice n’est pas comme on le pense... »

Durant plusieurs années, les choses qui se développèrent chez elle ? Elle courrait souvent pour pouvoir suivre son père et sa mère au jogging. Son père qui aimait les jeux de cartes du style, Yu Gi Oh, Magic et d’autres encore… Lui apprit, Sa mère qui maintenant travaillait auprès de son homme, apprenait à sa fille certaines choses comme écrire des lettres, des poèmes et lui montra l’histoire qu’elle voulait publier. Bien entourée par ses parents, elle pouvait passée pour une enfant couvée par ses parents, mais derrière, il y avait beaucoup d’efforts pour avoir des notes correctes. La chose suivante fut un drame pour elle, c’était avec son père, il était venu la récupérer après les cours, une agression eut lieu et son père avait du se défendre, au début ce n’était que des mots qu’ils avaient ignorés, tel que des : « Retourne à ton pays le jaune ! » Dans ce genre. Et quand ils virent que cela ne fonctionna pas, l’un d’eux avait sortit un couteau pour charger vers lui, Orianna ne saisissait pas sur le coup la gravité de la situation, quand elle vit son père désarmer le type, et le repousser d’une droite dans le visage. La police intervint quelques temps après, mais ce fut son père qui fut arrêté pour agression physique. Le procès eut lieu et son père dû payer une amande. Le cas de légitime défense n’avait pas été pris en compte… Et Orianna compris que la justice n’avait pas toujours raison et se détourna de cette voie. Ce qui fit qu’elle se perdit intérieurement.

« Je ne peux pas devenir la justice. Alors je deviendrais l’héroïne d’une histoire ! »

Quatorze ans, Orianna avait de bonnes notes sans se démarquer, les personnes qu’elle fréquentait était de tout horizon. Elle en avait déjà vu certains se droguer en soirée, d’autres faire leurs groupes de musique, certains jouer aux jeux vidéos et mangas, elle ? Elle lisait des mangas et se cosplayait de temps en temps ! Bien qu’au fond c’était une passion. Lors des conventions, l’on pouvait la voir cosplayait, sinon, c’était sans elle. La jeune fille c’était fait un petit ami, se dernier n’était peut être pas premier de classe, ni même recommandable, mais avec elle, il était gentil et attentionné. Mais… Ce fut à la saint valentin qu’une chose changea. Avec son petit ami ils se promenaient, se rendant chez lui, ses parents n’étaient pas là, par contre… Trois de ses potes furent là, la demoiselle venait de comprendre… Bien que cela faisait deux mois qu’ils étaient ensemble, elle venait de se faire manipuler, elle n’eut pas le temps de fuir qu’elle fut attrapée par l’un d’eux au poignet. Heureusement qu’elle hurlait, mais même en hurlant, personne à l’extérieur n’était intervenu rapidement, ce fut dix minutes d’hurlement après qu’un voisin énervé débarqua sans frapper. Quand il vit la demoiselle avec ses vêtements déchirés et en larme, il comprit la chose. Les garçons prirent la fuite, tandis que le voisin appela la police. Mais aussi les parents du gaillard. L’histoire fut sans suite, ne voulant pas témoigner de ce qui avait faillit lui arriver, cela la marqua. N’allant plus à l’école pendant un bon mois. Quand elle y retourna, ses amis furent bienveillant vis à vis d’elle. Pour eux c’était un choc, personne ne pouvait vraiment se mettre à sa place. Mais le pire n’avait pas été commis.

« Un nouveau départ. »

Dix sept ans, elle venait juste de les avoir et son père et sa mère lui expliquèrent qu’ils devaient déménager au Japon. Au début, Orianna fut contre, elle ne pouvait pas ! Abandonner ses amis ? Non ! Mais ce fut ses amis qui la poussèrent à y aller, pour eux, il fallait qu’elle découvrir le Japon, c’était un rêve pour certains, ce fut un peu forcée par ses amis qu’elle accepta. Mais elle leur offrit un magnifique sourire en échange, les larmes coulèrent, pour elle ce n’était pas évident de devoir quitter le pays où elle avait grandit pour aller au pays natal de son père. Pays qu’elle ne connaissait que très peu ! Elle arriva en début Mars au Japon. Le temps de faire ses marques avant la rentrée pour elle qui allait être en seconde année.