[Sous-Event] Un réveil particulier ft. Manami, Arun [Terminé]Reborn NEW Futur :: Mairie :: Bibliothèque :: Event
# [Sous-Event] Un réveil particulier ft. Manami, Arun [Terminé]Ven 17 Avr - 19:04
Le jeune malentendant ne reconnaissait pas ce plafond. Était-il à l'infirmerie de son école ? En jetant un rapide coup d'oeil à sa droite il n'y avait l'air de n'avoir aucun matériel médical. Il ne savait pas où il se trouvait, mais si c'était quelqu'un de mal intentionné il n'aurait pas eu de fine couverture sur lui et un oreiller sous la tête... Puis il n'aurait pas eu de lit non plus tout compte fait. Peut-être qu'il aurait eu des menottes aux poignets en y réfléchissant bien. Et oh mon Dieu... Il aurait sûrement été bâillonné pour ne pas pouvoir crier. C'était une pensée terrorisante, si terrorisante qu'il s'en était redressé violemment. Puis quand il s'était rendu compte qu'il avait juste trop vu de films de gangsters alors il s'était rallongé tranquillement.
Quand il commençait à se tranquilliser et limite à se rendormir, il avait eu un flash mental qui l'avait rappelé ce qu'il s'était passé : Une douleur vive, une impression de mourir, une soudaine vague d'énergie qui l'avait dénaturaliser et des acrobaties qui auraient pu le tuer... Son premier réflexe était de toucher sa nuque où il ne sentait aucune coupure ou quelconque blessure. Était-ce un rêve ? Ce serait logique vu comment cette cérémonie d'entrée s'était déroulée. Et heureusement en fait, il aurait trop peur de revenir à l'école après s'être affiché en caleçon...
C'est en glissant ses bras sous la fine couette qu'il sentait la peau de ses mains frotter délicatement contre la peau de son buste. Était-il nu ? Il prenait délicatement la couverture pour la surélever et avait pu apercevoir qu'il était en sous-vêtements... Les mêmes que dans son rêve. La pâleur s'était vite jointe à la surprise, il était dans la même tenue que dans son rêve et commençait un peu à paniquer. Il regardait soudainement tout autour de lui en espérant trouver quelqu'un avec qui parler ou poser des questions. Il avait besoin de quelqu'un, rapidement.
Un réveil particulier
Zuran Kitamura ft. Arun et Manami
Un plafond blanc...
Le jeune malentendant ne reconnaissait pas ce plafond. Était-il à l'infirmerie de son école ? En jetant un rapide coup d'oeil à sa droite il n'y avait l'air de n'avoir aucun matériel médical. Il ne savait pas où il se trouvait, mais si c'était quelqu'un de mal intentionné il n'aurait pas eu de fine couverture sur lui et un oreiller sous la tête... Puis il n'aurait pas eu de lit non plus tout compte fait. Peut-être qu'il aurait eu des menottes aux poignets en y réfléchissant bien. Et oh mon Dieu... Il aurait sûrement été bâillonné pour ne pas pouvoir crier. C'était une pensée terrorisante, si terrorisante qu'il s'en était redressé violemment. Puis quand il s'était rendu compte qu'il avait juste trop vu de films de gangsters alors il s'était rallongé tranquillement.
Quand il commençait à se tranquilliser et limite à se rendormir, il avait eu un flash mental qui l'avait rappelé ce qu'il s'était passé : Une douleur vive, une impression de mourir, une soudaine vague d'énergie qui l'avait dénaturaliser et des acrobaties qui auraient pu le tuer... Son premier réflexe était de toucher sa nuque où il ne sentait aucune coupure ou quelconque blessure. Était-ce un rêve ? Ce serait logique vu comment cette cérémonie d'entrée s'était déroulée. Et heureusement en fait, il aurait trop peur de revenir à l'école après s'être affiché en caleçon...
C'est en glissant ses bras sous la fine couette qu'il sentait la peau de ses mains frotter délicatement contre la peau de son buste. Était-il nu ? Il prenait délicatement la couverture pour la surélever et avait pu apercevoir qu'il était en sous-vêtements... Les mêmes que dans son rêve. La pâleur s'était vite jointe à la surprise, il était dans la même tenue que dans son rêve et commençait un peu à paniquer. Il regardait soudainement tout autour de lui en espérant trouver quelqu'un avec qui parler ou poser des questions. Il avait besoin de quelqu'un, rapidement.
I-il y a quelqu'un ?..
en bref
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# Re: [Sous-Event] Un réveil particulier ft. Manami, Arun [Terminé]Sam 18 Avr - 0:05Hey! Wake up ღ Un peu plus, et j'fais ma drama! Il avait accompagné Zuran dans l'ambulance. Pas une seconde, il n'avait vraiment senti qu'il était dans une vraie ambulance. Ils manquaient bien trop de chose dans la voiture, l'adulte ne faisait pas ce qu'il fallait pour le patient. En fait, il semblait exactement savoir ce qui lui arrivait. Tout le long, il garda les bras croisés à côté du garçon, son regard ne quittait pas l'homme. Il ne laisserait rien arriver au garçon. Il ne savait pas ce qu'il se passait mais il était hors de question que ça se passe mal. Il restait fidèle à son sentiment et malgré le son cristal qu'il entendait de ce bol, il se refusait à lui faire totalement confiance.
Il réfléchissait depuis tout ce temps. Comment une clochette passait en guitare éléctrique ? Dès qu'il fut seul dans ce qui ressemblait une chambre derrière un café, il commença à regarder la vidéo qu'il avait filmé. Bien-sûr, il avait fait le tour de l'endroit, vérifié l'état de Zuran et confirmait qu'il n'était pas allé à l'hôpital. Pour lui, il se trouvait dans un lieu de secte capable d'utiliser la flamme intérieur des gens. Il n'y avait pas vraiment d'autre solution. L'homme était parti pour le moment et il se demandait s'il ne devrait pas laisser le garçon seul. Seulement, après une seconde, il se confirma que non.
L'adolescent aurait dût être mort, ou au moins paralysé. Le couteau avait bien atteint son cou, il en était sûr après visionnage des images. Pourtant, il n'en était rien, bien au contraire. Arun voyait clairement que ça avait réveillé la clochette. Il avait d'ailleurs fermé les yeux pour mieux écouter les sons enregistrés. Ils étaient déformés par le téléphone mais il se rendit compte que Zuran continuait de sonner comme une clochette, elle était juste bien plus agitée que la normale. Il ne s'était pas transformé en guitare électrique, il avait juste su en avoir la résonance. Il n'aurait jamais cru ça. Est-ce que sa force c'était développé au point de créer cette aura ? Il avait l'impression que la couleur de sa flamme allait avec la mélodie qu'il entendait.
Il entendit la demande du jeune homme ensuite et se redressa avec brusque de son coin sombre. Il se cogna contre un coin de meuble au même moment et grogna. Putain, il fallait toujours qu'il se retrouve avec un truc dans le visage. Il sourit pourtant et lâcha même un rire nerveux. Il s'avança rapidement vers lui tout en parlant :
« Oui, oui désolé, je me suis mis dans un coin en attendant que tu te réveilles ! »
Il se mit juste à côté du lit. Par automatisme, il prit les points de vie du garçon, il vérifia son souffle et tout le reste. Tout semblait normal. Il ne le dirait pas à haute voix mais il en était infiniment soulagé. Il le fit doucement redresser la tête mais ne vit quasiment pas la blessure fait plus tôt. C'était cryptique tout ça... La mélodie de l'incompréhension le prenait.
« Tu te sens bien ? Tu nous as fait un truc carrément ouf tout à l'heure. » Il rajouta avec un sourire taquin : « Pire, t'es même pas à l'hôpital après ça, t'as un type qui est venu à la place pour te ''sauver''. Bref, j'pouvais pas trop te laisser y aller seul. Du coup, si on est dans un slasher, on va crever tout les deux ! »
Il explosa de rire et lui fit un clin d'oeil une fois calmé :
« T'inquiète, j'te protège. » :copyright:️ 2981 12289 0
Il réfléchissait depuis tout ce temps. Comment une clochette passait en guitare éléctrique ? Dès qu'il fut seul dans ce qui ressemblait une chambre derrière un café, il commença à regarder la vidéo qu'il avait filmé. Bien-sûr, il avait fait le tour de l'endroit, vérifié l'état de Zuran et confirmait qu'il n'était pas allé à l'hôpital. Pour lui, il se trouvait dans un lieu de secte capable d'utiliser la flamme intérieur des gens. Il n'y avait pas vraiment d'autre solution. L'homme était parti pour le moment et il se demandait s'il ne devrait pas laisser le garçon seul. Seulement, après une seconde, il se confirma que non.
L'adolescent aurait dût être mort, ou au moins paralysé. Le couteau avait bien atteint son cou, il en était sûr après visionnage des images. Pourtant, il n'en était rien, bien au contraire. Arun voyait clairement que ça avait réveillé la clochette. Il avait d'ailleurs fermé les yeux pour mieux écouter les sons enregistrés. Ils étaient déformés par le téléphone mais il se rendit compte que Zuran continuait de sonner comme une clochette, elle était juste bien plus agitée que la normale. Il ne s'était pas transformé en guitare électrique, il avait juste su en avoir la résonance. Il n'aurait jamais cru ça. Est-ce que sa force c'était développé au point de créer cette aura ? Il avait l'impression que la couleur de sa flamme allait avec la mélodie qu'il entendait.
Il entendit la demande du jeune homme ensuite et se redressa avec brusque de son coin sombre. Il se cogna contre un coin de meuble au même moment et grogna. Putain, il fallait toujours qu'il se retrouve avec un truc dans le visage. Il sourit pourtant et lâcha même un rire nerveux. Il s'avança rapidement vers lui tout en parlant :
« Oui, oui désolé, je me suis mis dans un coin en attendant que tu te réveilles ! »
Il se mit juste à côté du lit. Par automatisme, il prit les points de vie du garçon, il vérifia son souffle et tout le reste. Tout semblait normal. Il ne le dirait pas à haute voix mais il en était infiniment soulagé. Il le fit doucement redresser la tête mais ne vit quasiment pas la blessure fait plus tôt. C'était cryptique tout ça... La mélodie de l'incompréhension le prenait.
« Tu te sens bien ? Tu nous as fait un truc carrément ouf tout à l'heure. » Il rajouta avec un sourire taquin : « Pire, t'es même pas à l'hôpital après ça, t'as un type qui est venu à la place pour te ''sauver''. Bref, j'pouvais pas trop te laisser y aller seul. Du coup, si on est dans un slasher, on va crever tout les deux ! »
Il explosa de rire et lui fit un clin d'oeil une fois calmé :
« T'inquiète, j'te protège. »
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# Re: [Sous-Event] Un réveil particulier ft. Manami, Arun [Terminé]Mar 21 Avr - 15:55around a good ol' cup of hot chocolate ! Le trajet avait été calme, il avait bien vérifié que Zuran se reposait confortablement, sous l'œil plus qu'attentif de leur accompagnateur. Il lui avait souri calmement, sans recevoir de réponse.
Il remercia ses hommes une fois arrivé au café, et les laissa repartir avec l’ambulance tandis qu’il ramenait le jeune évanoui dans la petite chambre de repos à l’arrière-boutique, où il l’installa sur le lit et le recouvrit avec attention. L’air était encore frais, il pouvait bien lui épargner un rhume. Il laissa son ami avec lui dans la pièce en allant au café, leur laissant un moment de calme. Il en profita pour se changer à nouveau et préparer un petit quelque chose.
Il n’y avait pas à dire, ça commençait fort pour le jeune malentendant. Il avait eu le temps de capter des bribes de discussion avant de sortir du gymnase. Il n’avait pas tout compris des évènements mais il était clair que sa dernière volonté n’avait pas été de crier trois mots à l’élu/e de son cœur. C’avait dû être impressionnant, Manami n’était pas étonné, la volonté de Zuran à faire le bien transpirait déjà de son être, il ne pouvait qu’imaginer à quel point cela pouvait être exacerbé autant en aura qu’en force physique, de quoi en laisser perplexe plus d’un.
Et le plus perplexe d’entre eux était sûrement celui au chevet de Zuran en ce moment même. Il avait vu dans son regard qu’il n’avait pas cru à la mise en scène, et le blond avait rapidement compris qu’il ne lâcherait pas l’affaire tant qu’il n’aurait pas de réponse. Raison pour laquelle il ne s’était pas opposé à ce qu’il les accompagne. Après tout, quitte à ce qu’il ait des informations, autant qu’elles viennent directement de lui !
Deux grandes tasses fumantes de chocolat chauds en main, il revint dans la chambre lorsqu’il entendit les voix juvéniles y discuter ; —un slasher ? Il allait un peu trop loin, pensa le blond, amusé—, toquant doucement avant d’entrer. Il leur sourit à tous deux et leur tendit leur boisson. « Re-bonjour, Zuran ! » Il se tourna vers son ami, « Et enchanté : Manami Sakamoto. Ne vous en faîtes pas, vous êtes en sécurité ici ! »
Il espérait vraiment pouvoir calmement discuter avec eux sans qu’ils n’aient peur ou ne s’emportent, même s’ils n’en avaient pas l’air ; ce qu’il allait leur expliquer n’était pas non plus aussi facile à intégrer que le fait que le ciel soit bleu... !
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Il remercia ses hommes une fois arrivé au café, et les laissa repartir avec l’ambulance tandis qu’il ramenait le jeune évanoui dans la petite chambre de repos à l’arrière-boutique, où il l’installa sur le lit et le recouvrit avec attention. L’air était encore frais, il pouvait bien lui épargner un rhume. Il laissa son ami avec lui dans la pièce en allant au café, leur laissant un moment de calme. Il en profita pour se changer à nouveau et préparer un petit quelque chose.
Il n’y avait pas à dire, ça commençait fort pour le jeune malentendant. Il avait eu le temps de capter des bribes de discussion avant de sortir du gymnase. Il n’avait pas tout compris des évènements mais il était clair que sa dernière volonté n’avait pas été de crier trois mots à l’élu/e de son cœur. C’avait dû être impressionnant, Manami n’était pas étonné, la volonté de Zuran à faire le bien transpirait déjà de son être, il ne pouvait qu’imaginer à quel point cela pouvait être exacerbé autant en aura qu’en force physique, de quoi en laisser perplexe plus d’un.
Et le plus perplexe d’entre eux était sûrement celui au chevet de Zuran en ce moment même. Il avait vu dans son regard qu’il n’avait pas cru à la mise en scène, et le blond avait rapidement compris qu’il ne lâcherait pas l’affaire tant qu’il n’aurait pas de réponse. Raison pour laquelle il ne s’était pas opposé à ce qu’il les accompagne. Après tout, quitte à ce qu’il ait des informations, autant qu’elles viennent directement de lui !
Deux grandes tasses fumantes de chocolat chauds en main, il revint dans la chambre lorsqu’il entendit les voix juvéniles y discuter ; —un slasher ? Il allait un peu trop loin, pensa le blond, amusé—, toquant doucement avant d’entrer. Il leur sourit à tous deux et leur tendit leur boisson. « Re-bonjour, Zuran ! » Il se tourna vers son ami, « Et enchanté : Manami Sakamoto. Ne vous en faîtes pas, vous êtes en sécurité ici ! »
Il espérait vraiment pouvoir calmement discuter avec eux sans qu’ils n’aient peur ou ne s’emportent, même s’ils n’en avaient pas l’air ; ce qu’il allait leur expliquer n’était pas non plus aussi facile à intégrer que le fait que le ciel soit bleu... !
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# Re: [Sous-Event] Un réveil particulier ft. Manami, Arun [Terminé]Mer 22 Avr - 21:03
U-un... Slasher ?...
Zuran Kitamura ft. Arun et Manami
Cela faisait plusieurs secondes que Zuran avait demandé s'il y avait quelqu'un. En tout cas, c'était ce dont il avait l'impression. Il était dans un lieu qu'il ne connaissait pas après avoir perdu connaissance pour une obscure raison suite à un rêve où il s'était retrouvé en slip avec du feu sur la tête tout en hurlant des choses abracadabrantesques tout en faisant des pirouettes... Alors oui, le temps était long pour lui, très long. Ces cinq secondes paraissaient être des minutes, ce lieu qu'il ne connaissait pas le mettait mal à l'aise car logiquement il aurait dû se réveiller à l'hôpital mais ce n'était pas le cas. Il venait de se réveiller dans un lieu totalement méconnu de sa personne donc c'était logique qu'il puisse avoir peur. Chez qui il était ? Qui l'avait recueilli à la place de l'infirmerie ou l'hôpital ? Bien qu'il y avait peu de chance que ce soit quelqu'un de malhonnête qui l'ait alpagué, il y avait cette infime chance qu'il ait peur d'avoir une réponse. Quand soudain, il avait entendu un bruit sourd suivit d'un léger rire qui avait arraché un petit cri de surprise.
C'était Arun, qui se rapprochait doucement au pied du lit dans lequel le jeune malentendant se trouvait. Soulagé, il se laissait à nouveau retomber de tout son poids dans le lit. Ils étaient chez Arun, ça avait instantanément calmer Zuran qui retrouvait très vite le sourire.
Il était si rassuré ! Bon, il connaissait à peine Arun donc c'était bizarre qu'il avait été ramené jusqu'ici mais si ça se trouve c'était la fin des cours et la direction avait perdu le dossier scolaire de Zuran qui fait que personne ne savait où il habitait et qui appeler. Par gentillesse, Arun l'avait peut-être ramené chez lui pour qu'il puisse se reposer jusqu'à ce qu'il ait la force nécessaire pour rentrer chez lui. En tout cas, c'était très gentil de sa part.
Il avait l'air de s'être inquiété pour le jeune malentendant, ça le touchait beaucoup. En fait, ça manifestait une certaine... Attendez, il venait d'insinuer que le rêve de Zuran était réellement arrivé ? Une légère pâleur commençait à s'installer quand Arun affirmait qu'il n'était pas à l'hôpital et qu'il révélait qu'un type suspect était venu le chercher... La pâleur devenait plus imposante, surtout quand il avait compris qu'ils n'étaient pas chez Arun. Pardon ? Un Slasher ?.. Ok, à ce stade, Zuran n'était plus pâle, il avait le visage transparent ! Où est-ce qu'ils étaient ? C'était quoi tout ce cirque ? Qu'est-ce qui allait leur arriver ? Le jeune malentendant commençait à paniquer.
Ok, s'il n'était pas aussi tendu qu'un bâton il aurait fait un câlin à son camarade mais là... C'était trop pour son petit coeur, où est-ce qu'ils étaient bon sang ?! Ils allaient pas tarder à le savoir. Zuran entendait une porte qui s'ouvrait avec une silhouette qui tenait quelque chose dans ses mains... Oh mon Dieu ça y est, ils allaient mourir ! À l'ombre de la porte on voyait bien que ça pourrait être des outils chirurgicaux. Ils allaient subir des expérimentations scientifiques, ils allaient être des cobayes. Ils allaient mourir ici. Zuran allait réellement tomber dans les pommes quand finalement, la silhouette se dévoilait et s'avérait être Manami tenant deux tasses fumantes... Hé ?
Hein ? Manami ? C'était Manami qui était venu le chercher ? Mais... C'était le gérant du café d'à côté, pourquoi c'était lui qui avait été appeler ? Zuran ne comprenait plus rien. Mais quand il avait déposé les deux tasses et qu'il voyait que c'était un chocolat chaud préparé avec soin, sa pâleur redescendait et il recommençait à avoir des joues toutes roses suivi d'un sourire qui revenait pour de bon.
Il s'était présenté à Arun, il était toujours aussi poli et souriant.
Zuran attrapait délicatement une tasse de chocolat chaud apporté avec grand soin par le jeune gérant et la tendait à son camarade de classe afin de lui indiquer qu'ils étaient effectivement dans un lieu amical. Le jeune malentendant ne comprenait pas pourquoi ils étaient ici alors qu'il avait déjà rencontré Manami. Alors forcément, il comprenait que Arun puisse se méfier si Zuran ne montrait pas un signe de détente.
Il avait lancé les présentations, il espérait que tout se passe bien après ça. Ils pouvaient désormais lancer le sujet une bonne fois pour toutes.
Oui, oui désolé, je me suis mis dans un coin en attendant que tu te réveilles !
C'était Arun, qui se rapprochait doucement au pied du lit dans lequel le jeune malentendant se trouvait. Soulagé, il se laissait à nouveau retomber de tout son poids dans le lit. Ils étaient chez Arun, ça avait instantanément calmer Zuran qui retrouvait très vite le sourire.
Coucou Arun-kun ! J'ai eu peur, je croyais que j'étais chez un inconnu.
Il était si rassuré ! Bon, il connaissait à peine Arun donc c'était bizarre qu'il avait été ramené jusqu'ici mais si ça se trouve c'était la fin des cours et la direction avait perdu le dossier scolaire de Zuran qui fait que personne ne savait où il habitait et qui appeler. Par gentillesse, Arun l'avait peut-être ramené chez lui pour qu'il puisse se reposer jusqu'à ce qu'il ait la force nécessaire pour rentrer chez lui. En tout cas, c'était très gentil de sa part.
Tu te sens bien ? Tu nous as fait un truc carrément ouf tout à l'heure. Pire, t'es même pas à l'hôpital après ça, t'as un type qui est venu à la place pour te ''sauver''. Bref, j'pouvais pas trop te laisser y aller seul. Du coup, si on est dans un slasher, on va crever tout les deux !
Il avait l'air de s'être inquiété pour le jeune malentendant, ça le touchait beaucoup. En fait, ça manifestait une certaine... Attendez, il venait d'insinuer que le rêve de Zuran était réellement arrivé ? Une légère pâleur commençait à s'installer quand Arun affirmait qu'il n'était pas à l'hôpital et qu'il révélait qu'un type suspect était venu le chercher... La pâleur devenait plus imposante, surtout quand il avait compris qu'ils n'étaient pas chez Arun. Pardon ? Un Slasher ?.. Ok, à ce stade, Zuran n'était plus pâle, il avait le visage transparent ! Où est-ce qu'ils étaient ? C'était quoi tout ce cirque ? Qu'est-ce qui allait leur arriver ? Le jeune malentendant commençait à paniquer.
T'inquiète, j'te protège.
Ok, s'il n'était pas aussi tendu qu'un bâton il aurait fait un câlin à son camarade mais là... C'était trop pour son petit coeur, où est-ce qu'ils étaient bon sang ?! Ils allaient pas tarder à le savoir. Zuran entendait une porte qui s'ouvrait avec une silhouette qui tenait quelque chose dans ses mains... Oh mon Dieu ça y est, ils allaient mourir ! À l'ombre de la porte on voyait bien que ça pourrait être des outils chirurgicaux. Ils allaient subir des expérimentations scientifiques, ils allaient être des cobayes. Ils allaient mourir ici. Zuran allait réellement tomber dans les pommes quand finalement, la silhouette se dévoilait et s'avérait être Manami tenant deux tasses fumantes... Hé ?
Re-bonjour, Zuran !
Hein ? Manami ? C'était Manami qui était venu le chercher ? Mais... C'était le gérant du café d'à côté, pourquoi c'était lui qui avait été appeler ? Zuran ne comprenait plus rien. Mais quand il avait déposé les deux tasses et qu'il voyait que c'était un chocolat chaud préparé avec soin, sa pâleur redescendait et il recommençait à avoir des joues toutes roses suivi d'un sourire qui revenait pour de bon.
Et enchanté : Manami Sakamoto. Ne vous en faîtes pas, vous êtes en sécurité ici !
Il s'était présenté à Arun, il était toujours aussi poli et souriant.
Manami-sama ? Je ne comprends plus, nous sommes chez vous ?
Zuran attrapait délicatement une tasse de chocolat chaud apporté avec grand soin par le jeune gérant et la tendait à son camarade de classe afin de lui indiquer qu'ils étaient effectivement dans un lieu amical. Le jeune malentendant ne comprenait pas pourquoi ils étaient ici alors qu'il avait déjà rencontré Manami. Alors forcément, il comprenait que Arun puisse se méfier si Zuran ne montrait pas un signe de détente.
Arun-kun, je te présente Manami-sama, c'est le gérant du café qui vient d'ouvrir juste à côté du lycée. Manami-sama, je vous présente Arun-kun, c'est un camarade de classe qui a eu la gentillesse de m'accompagner jusqu'ici.
Il avait lancé les présentations, il espérait que tout se passe bien après ça. Ils pouvaient désormais lancer le sujet une bonne fois pour toutes.
Je ne comprends pas vraiment ce qu'il se passe... Que m'est-il arrivé et pourquoi nous sommes ici au lieu d'avoir été placé à l'hôpital ?..
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# Re: [Sous-Event] Un réveil particulier ft. Manami, Arun [Terminé]Jeu 23 Avr - 19:44Hey! Wake up ღ Un peu plus, et j'fais ma drama! Le regard du jeune adolescent se tourna naturellement sur la personne qui venait d'entrer dans la pièce. Il perdit automatiquement son sourire. Son regard devient tranchant, ses yeux s'affinèrent pour observer le cas. Il était venu avec deux chocolats chauds. Nul doute que c'était une action bienveillante pour les mettre en confiance. Dans le cas d'Arun c'était plutôt loupé. Il détestait qu'on agisse d'une manière aussi gentille, ça le rendait mauvais, suspicieux. Personne n'était bon naturellement, et dans ce cas, bien au contraire, ça résonnait comme une nouvelle tentative d'approche. Ils étaient chez lui ça lui suffisait pas ? Inconsciemment ou non, il se rapprocha de Zuran. Il regarda les chocolats avec une légère envie mais il devait rester sur ses gardes. Il pouvait être un psychopathe qui avait mis un cachet dans leur verre. Bon, il y avait peu de chance et il résonnait d'une façon différente de ce genre de personne... Il ferma les yeux pour l'écouter. Il sonnait toujours comme un cristal.
Il entendit plus qu'il ne vit Zuran prendre le verre. Si sa tête aurait pu être plus blasée elle l'aurait été. Est-ce qu'il se rendait compte qu'il venait peut-être de prendre un aller direct vers la mort ? Il t'avait parlé de slasher juste avant, allô ! Il lâcha un soupir en ouvrant de nouveau les yeux. De toutes façons, c'était trop tard, et ses oreilles ne le trompaient jamais. L'homme devant eux était clairement quelqu'un de bien. Il le regarda quelques instants tout en prenant en compte les paroles de son camarade de promo.
« Arun Nayaka... » Il avait enfin ouvert la bouche devant le blond. Toutefois, il ne l'avait pas fait de bonté de cœur et encore moins pour vraiment étendre leur connaissance respective.
C'est pas par ce que tu sonnes comme le saint de ton village que t'as pas couché avec ta belle-mère ! Il croisa les bras et finit par sourire de nouveau quand il entendit Zuran parler. En voilà une bonne question, enfin jeune homme ! Il leva un doigt :
« C'est en rapport avec la flamme qui t'est apparue sur la tête. Je pense qu'on a affaire avec une organisation. Ils étaient assez bien préparés pour être là avant, pendant et après ta prestation. Ils doivent d'ailleurs savoir ce qui t'est arrivé et pourquoi. D'ailleurs j'ai d'autre question Monsieur Sakamoto, nouvel acquisiteur du café à côté de notre lycée. »
Il prit son chocolat et le porta à ses lèvres. Si quelqu'un devait être empoisonné ici, ça devait être lui. Souriant nonchalamment, il en but une gorgée. Il venait assurément de se brûler mais ne laissa rien paraître. Son chibi intérieur hurlait la douleur, mais le second, un peu plus badass lui disait de tenir. Il ne devait pas perdre la face.
« Pourquoi Miharu vous a appelé vous et non pas l'hôpital ? » Il avait retenu son nom. « Pourquoi cette flamme est apparue sur le crâne de Kitamura-kun ? Comment ça se fait qu'elle lui ait provoqué autant de puissance ? Finalement, est-ce que le départ de sa flamme va avec le couteau dans son coup de la part du nain aux cheveux bleus ? » Il devait être un nain et non un bébé, après réflexion.
Il déposa le chocolat et fixa droit dans les yeux Sakamoto. Sa main se mit sur l'épaule de Zuran, protecteur. :copyright:️ 2981 12289 0
Il entendit plus qu'il ne vit Zuran prendre le verre. Si sa tête aurait pu être plus blasée elle l'aurait été. Est-ce qu'il se rendait compte qu'il venait peut-être de prendre un aller direct vers la mort ? Il t'avait parlé de slasher juste avant, allô ! Il lâcha un soupir en ouvrant de nouveau les yeux. De toutes façons, c'était trop tard, et ses oreilles ne le trompaient jamais. L'homme devant eux était clairement quelqu'un de bien. Il le regarda quelques instants tout en prenant en compte les paroles de son camarade de promo.
« Arun Nayaka... » Il avait enfin ouvert la bouche devant le blond. Toutefois, il ne l'avait pas fait de bonté de cœur et encore moins pour vraiment étendre leur connaissance respective.
C'est pas par ce que tu sonnes comme le saint de ton village que t'as pas couché avec ta belle-mère ! Il croisa les bras et finit par sourire de nouveau quand il entendit Zuran parler. En voilà une bonne question, enfin jeune homme ! Il leva un doigt :
« C'est en rapport avec la flamme qui t'est apparue sur la tête. Je pense qu'on a affaire avec une organisation. Ils étaient assez bien préparés pour être là avant, pendant et après ta prestation. Ils doivent d'ailleurs savoir ce qui t'est arrivé et pourquoi. D'ailleurs j'ai d'autre question Monsieur Sakamoto, nouvel acquisiteur du café à côté de notre lycée. »
Il prit son chocolat et le porta à ses lèvres. Si quelqu'un devait être empoisonné ici, ça devait être lui. Souriant nonchalamment, il en but une gorgée. Il venait assurément de se brûler mais ne laissa rien paraître. Son chibi intérieur hurlait la douleur, mais le second, un peu plus badass lui disait de tenir. Il ne devait pas perdre la face.
« Pourquoi Miharu vous a appelé vous et non pas l'hôpital ? » Il avait retenu son nom. « Pourquoi cette flamme est apparue sur le crâne de Kitamura-kun ? Comment ça se fait qu'elle lui ait provoqué autant de puissance ? Finalement, est-ce que le départ de sa flamme va avec le couteau dans son coup de la part du nain aux cheveux bleus ? » Il devait être un nain et non un bébé, après réflexion.
Il déposa le chocolat et fixa droit dans les yeux Sakamoto. Sa main se mit sur l'épaule de Zuran, protecteur.
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# Re: [Sous-Event] Un réveil particulier ft. Manami, Arun [Terminé]Sam 25 Avr - 18:36around a good ol' cup of hot chocolate ! Manami hocha calmement la tête, s’installant face à eux une fois Arun rapproché de Zuran. Ce garçon était déjà si protecteur envers le jeune ciel ! Zuran savait vraiment bien s’entourer. Manami en était intérieurement ému.
Il prit une longue et lente inspiration pendant qu’ils parlaient. Le bouquet de parfums naturels de Zuran semblait s’être réchauffé, probablement à cause de sa flamme, mais pas seulement. En à peine deux heures il commençait déjà à évoluer, c’était impressionnant. Au mélange s’était ajouté un parfum d’épices fortes mais goûteuses, de bois vernis et d’orage d’été ; une odeur bien marquée mais qui ne parvenait cependant pas à masquer celle du jeune Ciel. Le blond sourit intérieurement, une flamme de la Tempête donc ; sa méfiance extrême équilibrerait la confiance instinctive de Zuran, si ce dernier parvenait à le gérer, mais il ne se faisait pas grand souci.
Revenant à la conversation, il hocha à nouveau la tête aux paroles d’Arun. Il avait tout juste, confirmant la perspicacité qu’il avait senti dans son regard plus tôt. Il sourit. « En effet, tu as tout compris. » répondit-il à Arun, avant de se tourner vers les deux ensemble. « Je vais commencer par le début ; » Il prit une nouvelle inspiration, « Chaque personne a une énergie, une aura propre. Cette énergie est en chacun de nous, mais certaines rares personnes sont capables de la condenser et de l’utiliser à son plein potentiel. Lorsque cela arrive, ça se manifeste sous la forme de la flamme apparue sur le front de Zuran. » il pointa le front du garçon du doigt, avant de pointer le sien. « Bien sûr, ce n’est pas une information divulguée publiquement, à la fois pour éviter une panique générale et surtout pour éviter des activations de flamme non contrôlées et donc potentiellement destructrices. C’est pour cette raison que je vous ai amené ici au lieu de l’hôpital, où Zuran aura dû passer une batterie de tests qui n’auraient au mieux servi à rien, au pire fait de lui une bête de foire et/ou un cobaye scientifique. »
« Pour ce qui est de l’Organisation dont je fais partie, » Il sourit à nouveau, « Elle n’a rien de dangereuse ; du moins pour vous. Je suis le chef d’un groupe nommé Dihya, nous officions plus ou moins dans l’ombre pour venir en aide aux peuples oppressés et pour faire cesser les conflits armés, entre autres activités. Sinon nous sommes basiquement une multinationale d’import-export. » Il attendit un instant de voir leurs réactions avant de continuer, toujours d’un ton calme tout en glissant un discret regard au sac à dos de Zuran posé près du lit. « Et enfin, pour le couteau, c’est effectivement un moyen, parmi d’autres, d’activer de force la flamme de quelqu’un, sur la base de sa dernière volonté. La personne touchée débloque tout son pouvoir pour accomplir cette volonté. Cela dit je ne suis pas sûr d’être la bonne personne pour expliquer cette partie… »
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Il prit une longue et lente inspiration pendant qu’ils parlaient. Le bouquet de parfums naturels de Zuran semblait s’être réchauffé, probablement à cause de sa flamme, mais pas seulement. En à peine deux heures il commençait déjà à évoluer, c’était impressionnant. Au mélange s’était ajouté un parfum d’épices fortes mais goûteuses, de bois vernis et d’orage d’été ; une odeur bien marquée mais qui ne parvenait cependant pas à masquer celle du jeune Ciel. Le blond sourit intérieurement, une flamme de la Tempête donc ; sa méfiance extrême équilibrerait la confiance instinctive de Zuran, si ce dernier parvenait à le gérer, mais il ne se faisait pas grand souci.
Revenant à la conversation, il hocha à nouveau la tête aux paroles d’Arun. Il avait tout juste, confirmant la perspicacité qu’il avait senti dans son regard plus tôt. Il sourit. « En effet, tu as tout compris. » répondit-il à Arun, avant de se tourner vers les deux ensemble. « Je vais commencer par le début ; » Il prit une nouvelle inspiration, « Chaque personne a une énergie, une aura propre. Cette énergie est en chacun de nous, mais certaines rares personnes sont capables de la condenser et de l’utiliser à son plein potentiel. Lorsque cela arrive, ça se manifeste sous la forme de la flamme apparue sur le front de Zuran. » il pointa le front du garçon du doigt, avant de pointer le sien. « Bien sûr, ce n’est pas une information divulguée publiquement, à la fois pour éviter une panique générale et surtout pour éviter des activations de flamme non contrôlées et donc potentiellement destructrices. C’est pour cette raison que je vous ai amené ici au lieu de l’hôpital, où Zuran aura dû passer une batterie de tests qui n’auraient au mieux servi à rien, au pire fait de lui une bête de foire et/ou un cobaye scientifique. »
« Pour ce qui est de l’Organisation dont je fais partie, » Il sourit à nouveau, « Elle n’a rien de dangereuse ; du moins pour vous. Je suis le chef d’un groupe nommé Dihya, nous officions plus ou moins dans l’ombre pour venir en aide aux peuples oppressés et pour faire cesser les conflits armés, entre autres activités. Sinon nous sommes basiquement une multinationale d’import-export. » Il attendit un instant de voir leurs réactions avant de continuer, toujours d’un ton calme tout en glissant un discret regard au sac à dos de Zuran posé près du lit. « Et enfin, pour le couteau, c’est effectivement un moyen, parmi d’autres, d’activer de force la flamme de quelqu’un, sur la base de sa dernière volonté. La personne touchée débloque tout son pouvoir pour accomplir cette volonté. Cela dit je ne suis pas sûr d’être la bonne personne pour expliquer cette partie… »
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# Re: [Sous-Event] Un réveil particulier ft. Manami, Arun [Terminé]Lun 27 Avr - 3:52 Une organisation ?Ft. Manami & Arun
Zuran - Reborn no Future
Arun s'était décidé à boire du chocolat chaud. Tant mieux, ça rassurait un minimum le petit Zuran qui avait peur qu'il y ait un mouvement de conflit. Il était vrai que d'avoir atterri ici au lieu d'un hôpital était suspect, d'ailleurs il ne savait toujours pas ce qu'il faisait ici... Mais c'était Manami, il ne voyait pas l'intérêt qu'il lui fasse du mal à lui ou à son camarade.
D'ailleurs, Arun avait prit une grande inspiration. Apparemment, il s'apprêtait à dire quelque chose ou poser une série de questions. Heureusement qu'il était là, le jeune malentendant avait l'impression qu'il n'oublierait pas grand chose à demander. De plus, il ne possède pas d'handicap auditif, à première vue en tout cas, il n'avait pas d'appareils auditifs. Par conséquent, il entendrait tout clairement et pourrait le lui répéter au besoin. C'était plutôt sympa.
D'ailleurs, Arun avait prit une grande inspiration. Apparemment, il s'apprêtait à dire quelque chose ou poser une série de questions. Heureusement qu'il était là, le jeune malentendant avait l'impression qu'il n'oublierait pas grand chose à demander. De plus, il ne possède pas d'handicap auditif, à première vue en tout cas, il n'avait pas d'appareils auditifs. Par conséquent, il entendrait tout clairement et pourrait le lui répéter au besoin. C'était plutôt sympa.
- C'est en rapport avec la flamme qui t'est apparue sur la tête. Je pense qu'on a affaire avec une organisation. Ils étaient assez bien préparés pour être là avant, pendant et après ta prestation. Ils doivent d'ailleurs savoir ce qui t'est arrivé et pourquoi. D'ailleurs j'ai d'autre question Monsieur Sakamoto, nouvel acquisiteur du café à côté de notre lycée.
Aïe... C'était mal parti, il avait l'air d'être très sérieux vis à vis de cette situation... Puis oui c'était bizarre, mais une flamme ne pouvait pas arriver comme ça... Et même si c'était le cas, comment un groupe aurait pu prévoir le départ d'une combustion spontanée ? C'était quelque chose de beaucoup trop hasardeux pour réussir à l'anticiper. Ou alors Manami était une sorte de super pompier et dans ce cas-là c'est vrai que ce serait grave cool. M'enfin, il pensait divaguer et être dans le tort, il avait bien fait de laisser son camarade poser les questions.
- Pourquoi Miharu vous a appelé vous et non pas l'hôpital ? Pourquoi cette flamme est apparue sur le crâne de Kitamura-kun ? Comment ça se fait qu'elle lui ait provoqué autant de puissance ? Finalement, est-ce que le départ de sa flamme va avec le couteau dans son cou de la part du nain aux cheveux bleus ?
- ... Nain...
Malheureusement, le petit malentendant n'avait pas perçu le mot sorti de nulle part. Il y avait apparemment une quatrième personne dans cette pièce, mais pour ceux qui ont entendu cela avait eu un léger écho dans toute la pièce pour faire en sorte qu'on ne puisse pas déterminer d'où venait ce son. Mais étant donné que Zuran n'avait rien entendu, il attendait tout simplement la réponse de Manami. Ce à quoi ce dernier avait répondu :
- En effet, tu as tout compris. Je vais commencer par le début. Chaque personne a une énergie, une aura propre. Cette énergie est en chacun de nous, mais certaines rares personnes sont capables de la condenser et de l’utiliser à son plein potentiel. Lorsque cela arrive, ça se manifeste sous la forme de la flamme apparue sur le front de Zuran. Bien sûr, ce n’est pas une information divulguée publiquement, à la fois pour éviter une panique générale et surtout pour éviter des activations de flamme non contrôlées et donc potentiellement destructrices. C’est pour cette raison que je vous ai amené ici au lieu de l’hôpital, où Zuran aura dû passer une batterie de tests qui n’auraient au mieux servi à rien, au pire fait de lui une bête de foire et/ou un cobaye scientifique.
En soit, son explication était digne d'une scène de manga ou d'anime ou même d'un blockbuster ! C'était génial !.. Si tout cela ne le concernait pas. En fait, la chose la plus compliquée à accepter était le fait que tout à l'heure il avait eu cette force mentale nécessaire à faire appel à son plein potentiel. Sauf qu'un potentiel de ce genre n'était pas censé dénaturer son propriétaire, parce que le côté nudiste, le fait de crier partout, c'était quelque chose qui n'allait pas avec son caractère.
Il ne comprenait pas comment tout avait pu le rendre si différent. En soit il accepte que cette douleur vive dans la nuque soit à l'origine d'un couteau planté dans le cou car c'était quelque chose qui avait été vécu comme étant la plus grande douleur qu'il avait jamais ressenti auparavant. Mais quand on réfléchit à tout ça dans sa globalité, toute la situation était ridicule. Dans un sens, on parlait de quelque chose qui pourrait lui changer la vie. Comme l'avait dit Manami, si tout cela était vrai et que l'hôpital l'avait récupéré, il aurait pu finir comme un rat de laboratoire et cette unique pensée l'avait tétanisé, bien plus que d'accepter le fait d'avoir été poignardé dans la nuque et d'en être ressorti sans aucune séquelle.
Il ne comprenait pas comment tout avait pu le rendre si différent. En soit il accepte que cette douleur vive dans la nuque soit à l'origine d'un couteau planté dans le cou car c'était quelque chose qui avait été vécu comme étant la plus grande douleur qu'il avait jamais ressenti auparavant. Mais quand on réfléchit à tout ça dans sa globalité, toute la situation était ridicule. Dans un sens, on parlait de quelque chose qui pourrait lui changer la vie. Comme l'avait dit Manami, si tout cela était vrai et que l'hôpital l'avait récupéré, il aurait pu finir comme un rat de laboratoire et cette unique pensée l'avait tétanisé, bien plus que d'accepter le fait d'avoir été poignardé dans la nuque et d'en être ressorti sans aucune séquelle.
- Pour ce qui est de l’Organisation dont je fais partie. Elle n’a rien de dangereuse ; du moins pour vous. Je suis le chef d’un groupe nommé Dihya, nous officions plus ou moins dans l’ombre pour venir en aide aux peuples oppressés et pour faire cesser les conflits armés, entre autres activités. Sinon nous sommes basiquement une multinationale d’import-export. Et enfin, pour le couteau, c’est effectivement un moyen, parmi d’autres, d’activer de force la flamme de quelqu’un, sur la base de sa dernière volonté. La personne touchée débloque tout son pouvoir pour accomplir cette volonté. Cela dit je ne suis pas sûr d’être la bonne personne pour expliquer cette partie…
Arun n'avait pas jugé hâtivement... Il faisait réellement parti d'une organisation. Zuran avait la gorge serrée. Surtout au moment où Manami a dit qu'ils ne craignaient rien de ce groupe à la différence des autres. Le gérant expliquait que son groupe tendait la main à une majorité de personne mais il n'avait pas cherché à nier que certaines personnes devraient redouter ce qu'il est. Bien qu'il se montrait amical, ça terrorisait le jeune malentendant.
Pourquoi il s'était retrouvé dans cette situation ? Comment ils avaient su que quelqu'un allait provoquer l'arrivée de cette "flamme" ? Est-ce que son agresseur était en collaboration avec Manami ? Est-ce que le gérant était ami avec la personne qui lui avait planté un couteau dans la nuque ? Est-ce que l'arrivée de cette flamme était voulue ? Manami savait en avance qu'il allait subir ça et il n'avait pourtant rien fait pour l'empêcher d'être poignardé ? Au final, pour la première fois Zuran se rendait compte qu'il ne connaissait absolument pas qui il avait en face de lui. De crainte, il attrapait la main de son camarade de classe.
Pourquoi il s'était retrouvé dans cette situation ? Comment ils avaient su que quelqu'un allait provoquer l'arrivée de cette "flamme" ? Est-ce que son agresseur était en collaboration avec Manami ? Est-ce que le gérant était ami avec la personne qui lui avait planté un couteau dans la nuque ? Est-ce que l'arrivée de cette flamme était voulue ? Manami savait en avance qu'il allait subir ça et il n'avait pourtant rien fait pour l'empêcher d'être poignardé ? Au final, pour la première fois Zuran se rendait compte qu'il ne connaissait absolument pas qui il avait en face de lui. De crainte, il attrapait la main de son camarade de classe.
- ... Pourquoi est-ce que j'ai été impliqué là-dedans ? Manami-san... J'ai peur de vous poser la question mais vous avez l'air de tenir à être en totale transparence avec nous alors... Puis-je savoir dans quoi je me retrouve impliqué ? Quelle est votre organisation exactement ?..
La personne mystérieuse avait l'air de vouloir attendre un tour de plus le temps que Manami puisse calmer les craintes du jeune Vongola. Il valait mieux patienter un peu plus pour calmer la peur qui s'installe. En revanche, il avait réussi à envoyer très discrètement un arbre généalogique aux pieds de Manami pour qu'il puisse se lancer sur le sujet d'une famille soudée plutôt que d'une mafia aux capacités brutales.
Zuran - Reborn no Future
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# Re: [Sous-Event] Un réveil particulier ft. Manami, Arun [Terminé]Lun 27 Avr - 18:49Hey! Wake up ღ Un peu plus, et j'fais ma drama! Ça avait parlé. Il était putain de sûr qu'il y avait une voix qui venait de sortir de quelques parts dans la pièce. Automatiquement, il ferma les yeux pour essayer de localiser une respiration. Rien, rien du tout de concret. Le nain était là. Le nain était clairement ici. Il fronça les sourcils tout en cherchant frénétiquement chaque micro son provenant de n'importe quoi. Rien ne ressemblait à ce qu'il cherchait. Ou trop. Merde. Il le faisait flipper ce gosse...
Tout se tenait trop bien dans les propos du blond. Il ne semblait y avoir que des paillettes autours d'une organisation qui pouvait faire du mal. Mais eux, ils étaient protégés hein ? Bha voyons. S'il devait sortir le nombres de série où tout commence comme ça et où ça se finit très mal pour les personnages, il y en aurait un paquet. Il remit au fond de son cerveau le bout de pensées qui lui disaient qu'il n'avait rien à craindre d'un bol de cristal quand il disait ça.
Il tiqua à la fin de la tirade de Sakamoto-san. Il avait bien visé pour l'énergie qui sortait du corps ect. Il déposa le chocolat brûlant. Effectivement, si tout ce qu'il disait été vrai, alors Zuran était mieux ici qu'à l'hôpital. Les Dihya donc, c'était le chef de cette organisation dont le nom ne lui disait rien : une mafia. Il avait devant lui le parrain d'une famille mafieuse. Il en était persuadé. Il fronça les sourcils. Ses yeux se rouvrirent encore une fois. Il laissa parler Zuran avec calme, lui serrant la main. Il ne le laisserait pas seul là dedans quoi qu'on lui dise. Il sentait que ça puait plus qu'on ne l'aurait cru.
« Sûrement la mafia. » Il rajouta : « Tout n'est pas noir ou blanc avec eux, c'est un joli gris pas vrai parrain ? » Il dit ça en redressant son menton vers Sakamoto.
Il s'avança un peu plus et fixa dans le vide devant lui. Il avait entendu un frottement sur sa droite et vit l'arbre généalogique. Avant que le blond l'attrape, il le prit. Il n'y comprit pas grand chose, mais vit le nom de Zuran tout en bas, et celui de Giotto tout en haut, avec l'indication de sa place dans une certaine famille. Il commençait à comprendre. Il tendit le papier à leur hôte.
« C'est une histoire de sang ? » Il fixait droit dans les yeux Sakamoto, son regard était sombre. « Vous cherchez quoi en fait ? T'es clairement pas seul dans tout ça, et c'est sûr qu'il y a le nain dans cette putain de pièce. »
Il se tourna vers la pièce sans arriver à localiser clairement.
« Allez présente toi et dit nous qui tu es. Si je dois tâter tout les murs et objets de cette pièce pour te trouver, je le ferai ! » :copyright:️ 2981 12289 0
Tout se tenait trop bien dans les propos du blond. Il ne semblait y avoir que des paillettes autours d'une organisation qui pouvait faire du mal. Mais eux, ils étaient protégés hein ? Bha voyons. S'il devait sortir le nombres de série où tout commence comme ça et où ça se finit très mal pour les personnages, il y en aurait un paquet. Il remit au fond de son cerveau le bout de pensées qui lui disaient qu'il n'avait rien à craindre d'un bol de cristal quand il disait ça.
Il tiqua à la fin de la tirade de Sakamoto-san. Il avait bien visé pour l'énergie qui sortait du corps ect. Il déposa le chocolat brûlant. Effectivement, si tout ce qu'il disait été vrai, alors Zuran était mieux ici qu'à l'hôpital. Les Dihya donc, c'était le chef de cette organisation dont le nom ne lui disait rien : une mafia. Il avait devant lui le parrain d'une famille mafieuse. Il en était persuadé. Il fronça les sourcils. Ses yeux se rouvrirent encore une fois. Il laissa parler Zuran avec calme, lui serrant la main. Il ne le laisserait pas seul là dedans quoi qu'on lui dise. Il sentait que ça puait plus qu'on ne l'aurait cru.
« Sûrement la mafia. » Il rajouta : « Tout n'est pas noir ou blanc avec eux, c'est un joli gris pas vrai parrain ? » Il dit ça en redressant son menton vers Sakamoto.
Il s'avança un peu plus et fixa dans le vide devant lui. Il avait entendu un frottement sur sa droite et vit l'arbre généalogique. Avant que le blond l'attrape, il le prit. Il n'y comprit pas grand chose, mais vit le nom de Zuran tout en bas, et celui de Giotto tout en haut, avec l'indication de sa place dans une certaine famille. Il commençait à comprendre. Il tendit le papier à leur hôte.
« C'est une histoire de sang ? » Il fixait droit dans les yeux Sakamoto, son regard était sombre. « Vous cherchez quoi en fait ? T'es clairement pas seul dans tout ça, et c'est sûr qu'il y a le nain dans cette putain de pièce. »
Il se tourna vers la pièce sans arriver à localiser clairement.
« Allez présente toi et dit nous qui tu es. Si je dois tâter tout les murs et objets de cette pièce pour te trouver, je le ferai ! »
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# Re: [Sous-Event] Un réveil particulier ft. Manami, Arun [Terminé]Mer 29 Avr - 5:41around a good ol' cup of hot chocolate ! Manami soupira lentement, remettant ses idées en place. Malgré toutes les pincettes qu’il avait tenté de prendre, Zuran était inquiet, et Arun était plus méfiant que jamais. Un pincement au cœur le prit, il continuait de penser que quelqu’un de plus proche des deux jeunes aurait dû leur parler de tout ça… Hélas ils n’avaient pas le choix. Et malgré le fait qu’il n’aimait pas les brusquer, il se refusait à leur mentir.
Dire qu’il avait cinq ans de moins qu’eux quand on lui expliqua tout… Les circonstances étaient bien différentes, et sa famille n’avait pas mystérieusement disparu du jour au lendemain.
Il capta une petite voix, qu’il n’eut aucun mal à reconnaitre. Katsu-san n’avait pas pu s’empêcher de rajouter son grain de sel, faisant paniquer Arun qui scrutait chaque recoin de la pièce. L’Arcobaleno n’allait pas pouvoir se cacher indéfiniment, il le sentait.
Le jeune indien était réellement très perspicace, et Manami ne pût retenir un doux sourire en voyant Zuran se rapprocher de lui pour le rassurer. Ils pouvaient d’ores et déjà compter l’un sur l’autre, c’était un excellent point. Avec tout ça il mettrait probablement du temps avant de gagner leur confiance, mais au moins ils n’étaient pas seuls face à une telle révélation. Il hocha à nouveau la tête aux paroles du jeune mélomane, sérieux. « Un gris qu’on essaie de garder le plus clair possible… Mais un gris tout de même, oui. » Lorsqu’il s’agissait de sa famille, il ne plaisantait pas. Leurs intentions étaient bonnes, et ils mettaient un point d’honneur à ne pas faire verser le sang. La conviction de leurs valeurs transparaissait dans ses yeux ambre lorsqu’il les regarda, avant de le baisser sur le bout de papier.
Il en vérifia le contenu d’un coup d’œil avant de le poser devant Zuran. Il parla d’une voix professionnelle, bien qu’il veilla à ce qu’elle ne soit pas trop froide. « Zuran-kun, tu te retrouves dans cette position car tu es le descendant de Giotto, le fondateur de la famille Vongola, la plus puissante famille mafieuse de l’Histoire. » Il marqua un temps de pause, laissant Zuran consulter l’arbre généalogique. Il ignora Arun qui était parti à la recherche de Katsu-san, restant pleinement concentré sur Zuran. « La précédente génération des Vongola a mystérieusement disparu il y a maintenant dix ans, et le Monde de la Mafia a décidé qu’il était temps pour toi, comme il l’a été pour tes prédécesseurs, de découvrir ce qu’être l’héritier d’une telle famille signifie. » Il souffla discrètement et chercha le regard du jeune homme avec le sien ; il reprit une voix douce et baissa d’un ton. « Zuran-kun, je sais que ça fait beaucoup à apprendre aussi soudainement, je comprends parfaitement que tu ais peur et sois paniqué, mais j’aimerai sincèrement que tu me croie lorsque je te dis que l’on fait de notre mieux pour faire en sorte que tout se passe au mieux pour toi. » Il sourit doucement. « Tu sais, j’ai appris à 10 ans que j’allais devenir Parrain et remplacer mon grand-père. J’ai suivi un entrainement inimaginable et j’ai à d’innombrables reprises pensé que je n’y arriverai pas, mais aujourd’hui je ne m’imagine pas être heureux à faire autre chose. »
« La Mafia a une certaine image assez clichée de gens dangereux et infréquentables. Mais la réalité n’est que ce que tu souhaiteras qu’elle soit. Si tu veux que ta famille fasse le bien, elle le fera. Comme elle l’a fait jusqu’à maintenant. » Il s’arrêta, décrétant que c’était largement assez pour l’instant. Il répondrait à n’importe laquelle de ses questions, n’abandonnant pas son désir d’être transparent. Il espérait que Katsu-san ne l’effraie pas en plus en apparaissant trop soudainement, mais qu’il apparaisse tout de même pour éviter qu’Arun ne pète réellement un câble.
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Dire qu’il avait cinq ans de moins qu’eux quand on lui expliqua tout… Les circonstances étaient bien différentes, et sa famille n’avait pas mystérieusement disparu du jour au lendemain.
Il capta une petite voix, qu’il n’eut aucun mal à reconnaitre. Katsu-san n’avait pas pu s’empêcher de rajouter son grain de sel, faisant paniquer Arun qui scrutait chaque recoin de la pièce. L’Arcobaleno n’allait pas pouvoir se cacher indéfiniment, il le sentait.
Le jeune indien était réellement très perspicace, et Manami ne pût retenir un doux sourire en voyant Zuran se rapprocher de lui pour le rassurer. Ils pouvaient d’ores et déjà compter l’un sur l’autre, c’était un excellent point. Avec tout ça il mettrait probablement du temps avant de gagner leur confiance, mais au moins ils n’étaient pas seuls face à une telle révélation. Il hocha à nouveau la tête aux paroles du jeune mélomane, sérieux. « Un gris qu’on essaie de garder le plus clair possible… Mais un gris tout de même, oui. » Lorsqu’il s’agissait de sa famille, il ne plaisantait pas. Leurs intentions étaient bonnes, et ils mettaient un point d’honneur à ne pas faire verser le sang. La conviction de leurs valeurs transparaissait dans ses yeux ambre lorsqu’il les regarda, avant de le baisser sur le bout de papier.
Il en vérifia le contenu d’un coup d’œil avant de le poser devant Zuran. Il parla d’une voix professionnelle, bien qu’il veilla à ce qu’elle ne soit pas trop froide. « Zuran-kun, tu te retrouves dans cette position car tu es le descendant de Giotto, le fondateur de la famille Vongola, la plus puissante famille mafieuse de l’Histoire. » Il marqua un temps de pause, laissant Zuran consulter l’arbre généalogique. Il ignora Arun qui était parti à la recherche de Katsu-san, restant pleinement concentré sur Zuran. « La précédente génération des Vongola a mystérieusement disparu il y a maintenant dix ans, et le Monde de la Mafia a décidé qu’il était temps pour toi, comme il l’a été pour tes prédécesseurs, de découvrir ce qu’être l’héritier d’une telle famille signifie. » Il souffla discrètement et chercha le regard du jeune homme avec le sien ; il reprit une voix douce et baissa d’un ton. « Zuran-kun, je sais que ça fait beaucoup à apprendre aussi soudainement, je comprends parfaitement que tu ais peur et sois paniqué, mais j’aimerai sincèrement que tu me croie lorsque je te dis que l’on fait de notre mieux pour faire en sorte que tout se passe au mieux pour toi. » Il sourit doucement. « Tu sais, j’ai appris à 10 ans que j’allais devenir Parrain et remplacer mon grand-père. J’ai suivi un entrainement inimaginable et j’ai à d’innombrables reprises pensé que je n’y arriverai pas, mais aujourd’hui je ne m’imagine pas être heureux à faire autre chose. »
« La Mafia a une certaine image assez clichée de gens dangereux et infréquentables. Mais la réalité n’est que ce que tu souhaiteras qu’elle soit. Si tu veux que ta famille fasse le bien, elle le fera. Comme elle l’a fait jusqu’à maintenant. » Il s’arrêta, décrétant que c’était largement assez pour l’instant. Il répondrait à n’importe laquelle de ses questions, n’abandonnant pas son désir d’être transparent. Il espérait que Katsu-san ne l’effraie pas en plus en apparaissant trop soudainement, mais qu’il apparaisse tout de même pour éviter qu’Arun ne pète réellement un câble.
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# Re: [Sous-Event] Un réveil particulier ft. Manami, Arun [Terminé]Mer 29 Avr - 20:10Hey! Wake up ღ Un peu plus, et j'fais ma drama!
Il n'y eut aucune réaction vis-à-vis du putain de nain caché il ne savait où. Il grogna et râla un peu malgré une envie de shooter dans leurs sacs de cours. Il se reprit en se disant qu'il était impossible que ce truc soit con au point de s'être mis là dedans. Quoi que, attendez, il l'aurait peut-être fait en pensant qu'il ne chercherait pas dedans vu que ça semblait con ? Non, peu importe comme on le voyait, cela tournait en boucle et ça allait juste donner une mauvaise idée de ce qu'il fallait faire dans ce genre de moment. Puis l'autre blond tentait une explication vis à vis de la famille tout ça. Oulah, en plus il remontait à perpète les liens familiaux. Il soupira un peu et se tourna vers Sakamoto pour l'envoyer chier.
Il s'arrêta quand il se rendit compte qu'il était en train de réagir comme sa tante. Il jugeait les personnes sur l'étiquette accrochée à leur gueule et non sur des faits. Il regardait l'ensemble en craignant le pire sans se dire que le meilleur pouvait arriver. Il était en train de tourner vieux con à l'âge de quinze ans. Il déglutit, un peu blanc pendant un court instant. S'il continuait comme ça, il ne se ressemblerait même plus à lui-même. Il ferma les yeux alors que Sakamoto continuait de parler. Lui, il se concentra sur lui-même. Il devait trouver un moyen de raccorder sa basse et sa flûte traversière.
La flûte ne ressemblait plus qu'à du vent actuellement, la basse à une percussion. C'était ignoble, il s'en voulut. La peur, le stress et l'incompréhension pouvait provoquer ce genre de choses. Il ne devait pas se laisser aller. Il souffla doucement. Il ne devait se laisser aller ainsi. Il devait voir les choses sous un autre jour. On était en train de leur expliquer qu'un bout de la famille de Zuran avait disparu, pourtant celui qui semblait parler avait l'air d'avoir lui-même perdu là dedans. Il y avait plus que cela dans cette histoire. Il y avait des gens à sauver ; Sakamoto devait avoir des gens à sauver.
Arun pouvait comprendre ça. Il réfléchit ensuite à cette idée que toutes les mafias n'étaient pas forcément bonne. C'était vrai. Il le savait de part son tuteur, il avait un oncle dans la mafia. Il était visiblement assez connu dans le milieu même si le jeune homme n'en savait pas beaucoup plus. Il savait par contre que c'était quelqu'un qui avait aidé à sauver des personnes de la rue, des expatriées, des prostituées et toutes les personnes que la police et l'état ne peut pas aider mais qu'enfoncer. Il savait aussi qu'il avait abandonner sa carrière de biologiste, et celle de musicien pour aller dans ce travail à fond. En fait, la seule chose dont il se souvenait vraiment lui-même de cet homme était son cache-oeil noir avec un Akashita dessus, son sourire et le son qu'il produisait. Il avait le son d'une basse ardente et la voix des hommes de la lune.
Rouvrant les yeux, il ne savait plus quoi dire. Il regarda Zuran. Franchement, il aurait été à sa place, il aurait déjà dit non ; mais... Mais il ne l'était pas et pire, il savait que Kitamura-kun était plus entouré qu'il ne le pensait. Il serra les poings. Est-ce qu'ils pouvaient vraiment laisser des gens dans le besoin ? Alors qu'ils avaient les moyens de les secourir ? Pourquoi pensait-il au pluriel ? Et merde, il savait qu'il avait déjà pris sa décision. Sa basse avait commencé à résonner comme celle de son oncle ; sa flûte se mettait presque à chanter.
« C'est vrai. Il existe des gens qui font le bien dans la mafia. » Il avait la gorge sèche. Il ne savait pas pourquoi, mais il n'arriva pas à s'arrêter. « Je ne sais pas exactement qui est Sakamoto-san mais il ne nous a pas menacé ni tué. Il a été juste avec toi du début à la fin. Il ne m'a pas pris comme otage mais par ce que je tirais une tête qui hurlait que je voulais savoir. J'aurai vraiment foutu la merde si je n'étais actuellement pas ici. Il ne nous ment pas non plus, il a le son d'un bol de cristal, lisse, doux et relaxant. Il est incapable de pouvoir nous mentir correctement et ça se verrait. C'est très dur de jouer mal avec ce genre de son.
Mais il ne nous dit pas tout. Je pense que lui aussi à perdu quelqu'un ou plusieurs personnes dans tout ça. En vrai, ça ne fait que plus de personnes à sauver. Ça fait juste plus de personne qui attendent qu'on soit là pour elles. P'tain, c'est dur de rester de marbre quand t'as ça en tête hein ?
J'suis en train de partir en couille, je raconte n'importe quoi, je pense que je stresse un peu en disant tout ça. On dirait que j’enchaîne les balais dans le cul, c'est grave docteur ? » Il lâcha un petit rire mais continue automatiquement. « J'pense que t'as des gens qui sont visé par ce qu'ils font, feront partis de la mafia. J'en suis même sûr. T'as eu pas mal de chance que ce soit Sakamoto-san aujourd'hui. On aurait pu tomber sur ceux qui sont vraiment mauvais.
Il y a autre chose dont je suis sûr. Je suis certain que tu n'es pas quelqu'un de mauvais Zuran. Sakamoto sonne comme un bol de cristal mais toi, tu as la voie d'une clochette tibétaine. Tu sais, c'est les instruments rares qui ont la capacité d'automatiquement mettre des personnes en transe ? Celle qui guide vers la lumière. J'm'attache pas souvent à des gens sur un coup de cœur, mais là, pour toi, si. Je sais que je peux te faire confiance et que peu importe la décision que tu prendras, tu seras être juste.
En fait, c'est peut-être pire que ça... J'vais peut-être loin dans la connerie, mais, t'es pas seul là. J'suis en train de te promettre que quoi que tu choisisses, je resterai à t'aider et je suivrai ce que t'as choisi. Si tu veux les vendre à la police, on le fera. Si tu veux aller dans la mafia, alors je t'aiderai et je ferai en sorte que tu ne sois jamais en train de jouer faux. Je ferai en sorte de sauver le plus de monde, et d'empêcher le plus de personnes d'être tué.
Je te promets de te soutenir. »
Bien que ça y ressemblait, ce n'était pas romantique, c'était les paroles les plus solennelles qu'il n'ait jamais dites. :copyright:️ 2981 12289 0
Il n'y eut aucune réaction vis-à-vis du putain de nain caché il ne savait où. Il grogna et râla un peu malgré une envie de shooter dans leurs sacs de cours. Il se reprit en se disant qu'il était impossible que ce truc soit con au point de s'être mis là dedans. Quoi que, attendez, il l'aurait peut-être fait en pensant qu'il ne chercherait pas dedans vu que ça semblait con ? Non, peu importe comme on le voyait, cela tournait en boucle et ça allait juste donner une mauvaise idée de ce qu'il fallait faire dans ce genre de moment. Puis l'autre blond tentait une explication vis à vis de la famille tout ça. Oulah, en plus il remontait à perpète les liens familiaux. Il soupira un peu et se tourna vers Sakamoto pour l'envoyer chier.
Il s'arrêta quand il se rendit compte qu'il était en train de réagir comme sa tante. Il jugeait les personnes sur l'étiquette accrochée à leur gueule et non sur des faits. Il regardait l'ensemble en craignant le pire sans se dire que le meilleur pouvait arriver. Il était en train de tourner vieux con à l'âge de quinze ans. Il déglutit, un peu blanc pendant un court instant. S'il continuait comme ça, il ne se ressemblerait même plus à lui-même. Il ferma les yeux alors que Sakamoto continuait de parler. Lui, il se concentra sur lui-même. Il devait trouver un moyen de raccorder sa basse et sa flûte traversière.
La flûte ne ressemblait plus qu'à du vent actuellement, la basse à une percussion. C'était ignoble, il s'en voulut. La peur, le stress et l'incompréhension pouvait provoquer ce genre de choses. Il ne devait pas se laisser aller. Il souffla doucement. Il ne devait se laisser aller ainsi. Il devait voir les choses sous un autre jour. On était en train de leur expliquer qu'un bout de la famille de Zuran avait disparu, pourtant celui qui semblait parler avait l'air d'avoir lui-même perdu là dedans. Il y avait plus que cela dans cette histoire. Il y avait des gens à sauver ; Sakamoto devait avoir des gens à sauver.
Arun pouvait comprendre ça. Il réfléchit ensuite à cette idée que toutes les mafias n'étaient pas forcément bonne. C'était vrai. Il le savait de part son tuteur, il avait un oncle dans la mafia. Il était visiblement assez connu dans le milieu même si le jeune homme n'en savait pas beaucoup plus. Il savait par contre que c'était quelqu'un qui avait aidé à sauver des personnes de la rue, des expatriées, des prostituées et toutes les personnes que la police et l'état ne peut pas aider mais qu'enfoncer. Il savait aussi qu'il avait abandonner sa carrière de biologiste, et celle de musicien pour aller dans ce travail à fond. En fait, la seule chose dont il se souvenait vraiment lui-même de cet homme était son cache-oeil noir avec un Akashita dessus, son sourire et le son qu'il produisait. Il avait le son d'une basse ardente et la voix des hommes de la lune.
Rouvrant les yeux, il ne savait plus quoi dire. Il regarda Zuran. Franchement, il aurait été à sa place, il aurait déjà dit non ; mais... Mais il ne l'était pas et pire, il savait que Kitamura-kun était plus entouré qu'il ne le pensait. Il serra les poings. Est-ce qu'ils pouvaient vraiment laisser des gens dans le besoin ? Alors qu'ils avaient les moyens de les secourir ? Pourquoi pensait-il au pluriel ? Et merde, il savait qu'il avait déjà pris sa décision. Sa basse avait commencé à résonner comme celle de son oncle ; sa flûte se mettait presque à chanter.
« C'est vrai. Il existe des gens qui font le bien dans la mafia. » Il avait la gorge sèche. Il ne savait pas pourquoi, mais il n'arriva pas à s'arrêter. « Je ne sais pas exactement qui est Sakamoto-san mais il ne nous a pas menacé ni tué. Il a été juste avec toi du début à la fin. Il ne m'a pas pris comme otage mais par ce que je tirais une tête qui hurlait que je voulais savoir. J'aurai vraiment foutu la merde si je n'étais actuellement pas ici. Il ne nous ment pas non plus, il a le son d'un bol de cristal, lisse, doux et relaxant. Il est incapable de pouvoir nous mentir correctement et ça se verrait. C'est très dur de jouer mal avec ce genre de son.
Mais il ne nous dit pas tout. Je pense que lui aussi à perdu quelqu'un ou plusieurs personnes dans tout ça. En vrai, ça ne fait que plus de personnes à sauver. Ça fait juste plus de personne qui attendent qu'on soit là pour elles. P'tain, c'est dur de rester de marbre quand t'as ça en tête hein ?
J'suis en train de partir en couille, je raconte n'importe quoi, je pense que je stresse un peu en disant tout ça. On dirait que j’enchaîne les balais dans le cul, c'est grave docteur ? » Il lâcha un petit rire mais continue automatiquement. « J'pense que t'as des gens qui sont visé par ce qu'ils font, feront partis de la mafia. J'en suis même sûr. T'as eu pas mal de chance que ce soit Sakamoto-san aujourd'hui. On aurait pu tomber sur ceux qui sont vraiment mauvais.
Il y a autre chose dont je suis sûr. Je suis certain que tu n'es pas quelqu'un de mauvais Zuran. Sakamoto sonne comme un bol de cristal mais toi, tu as la voie d'une clochette tibétaine. Tu sais, c'est les instruments rares qui ont la capacité d'automatiquement mettre des personnes en transe ? Celle qui guide vers la lumière. J'm'attache pas souvent à des gens sur un coup de cœur, mais là, pour toi, si. Je sais que je peux te faire confiance et que peu importe la décision que tu prendras, tu seras être juste.
En fait, c'est peut-être pire que ça... J'vais peut-être loin dans la connerie, mais, t'es pas seul là. J'suis en train de te promettre que quoi que tu choisisses, je resterai à t'aider et je suivrai ce que t'as choisi. Si tu veux les vendre à la police, on le fera. Si tu veux aller dans la mafia, alors je t'aiderai et je ferai en sorte que tu ne sois jamais en train de jouer faux. Je ferai en sorte de sauver le plus de monde, et d'empêcher le plus de personnes d'être tué.
Je te promets de te soutenir. »
Bien que ça y ressemblait, ce n'était pas romantique, c'était les paroles les plus solennelles qu'il n'ait jamais dites.
en bref
Inventaire : - Kit de nettoyage
- Arme contondante moyenne : L'instrument qu'il portera sur le moment.
- flûte traversière
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# Re: [Sous-Event] Un réveil particulier ft. Manami, Arun [Terminé]Mer 29 Avr - 21:54 Fin de vieFt. Manami & Arun
Zuran - Reborn no Future
- Sûrement la mafia. Tout n'est pas noir ou blanc avec eux, c'est un joli gris pas vrai parrain ?
- Un gris qu’on essaie de garder le plus clair possible… Mais un gris tout de même, oui.
C'était ce qu'il redoutait. Étant donné que la catégorie de l'organisation en question n'avait pas été énoncée, il se disait que ça devait être quelque chose comme ça. Mais dans quoi il venait de s'embarquer ? C'était la question qu'il se posait à répétition. Il n'était pourtant qu'un civil handicapé qui ne désirait que d'avoir une vie normale. Pourquoi c'était allé si loin, il n'avait rien fait pour attirer leur attention alors pourquoi ?
- C'est une histoire de sang ? Vous cherchez quoi en fait ? T'es clairement pas seul dans tout ça et c'est sûr qu'il y a le nain dans cette putain de pièce.
Une histoire de sang ? En y réfléchissant bien ça ne serait guère étonnant. Il ne savait que très peu de choses sur son père. À vrai dire, il ne connaissait même pas son visage. La seule information qu'il avait, c'était qu'il avait prit le grand voile le jour de la naissance de son fils unique. Il ne le jugeait pas pour ça, il ne l'avait jamais fait et aujourd'hui en sachant cela, ça expliquait pas mal de choses. Mais ce n'était pas pour autant qu'il acceptait d'être mêlé à tout ça sous prétexte qu'il avait un lien de sang avec la mafia. En fait, c'était même hors de question que quelque chose d'aussi futile trace un chemin tout fait pour le jeune malentendant.
- Allez présente toi et dit nous qui tu es. Si je dois tâter tout les murs et objets de cette pièce pour te trouver, je le ferai !
Apparemment, celui qui lui avait planté le couteau dans sa nuque était présent dans la pièce, caché quelque part. Mais à l'heure actuelle, ce n'était pas sa plus grande préoccupation. Après tout, la seule chose qu'il avait fait était de prouver que Zuran était effectivement celui qu'ils recherchaient. Il n'était pas entré en contact avec lui en lui cachant quoi que ce soit. En fait, entre Manami, Yuri et lui, c'était le seul qui n'avait rien caché en se présentant à lui.
Il ne pensait pas que Manami et Yuri était en torts, après tout ce n'était pas quelque chose dont on pouvait parler sans prendre quoi que ce soit en considération. Le seul bémol était de savoir s'ils avaient décidé d'entrer en contact avec lui en se faisant passer pour des gens normaux afin de réussir leur mission personnelle ou pour le protéger durant le peu de temps qu'il pouvait espérer avoir encore une vie normale. De plus, si ça avait été fait en public, il aurait très vite attiré l'attention de personnes mal intentionnées... Bien que son spectacle de tout à l'heure allait sûrement faire parler de lui mais peut-être d'une façon plus moindre que de dire devant tout le monde qu'il était lié à la mafia.
Il ne pensait pas que Manami et Yuri était en torts, après tout ce n'était pas quelque chose dont on pouvait parler sans prendre quoi que ce soit en considération. Le seul bémol était de savoir s'ils avaient décidé d'entrer en contact avec lui en se faisant passer pour des gens normaux afin de réussir leur mission personnelle ou pour le protéger durant le peu de temps qu'il pouvait espérer avoir encore une vie normale. De plus, si ça avait été fait en public, il aurait très vite attiré l'attention de personnes mal intentionnées... Bien que son spectacle de tout à l'heure allait sûrement faire parler de lui mais peut-être d'une façon plus moindre que de dire devant tout le monde qu'il était lié à la mafia.
- Zuran-kun, tu te retrouves dans cette position car tu es le descendant de Giotto, le fondateur de la famille Vongola, la plus puissante famille mafieuse de l’Histoire.
Il ne répondait pas. À vrai dire, toutes ses pensées restaient actuellement secrètes. Il n'était pas du genre à ne pas dire ce qu'il pensait, c'était un nouveau trait de caractère qu'il venait de découvrir. Mais dans cette situation, il se disait qu'il valait mieux réfléchir à ce qu'il pouvait exprimer. Il avait saisit l'arbre généalogique que lui avait tendu Manami et le consultait tout en l'écoutant. Il avait donc un lien avec Giotto, le tout premier fondateur de la famille Vongola, famille comme étant considérée comme la plus puissante famille mafia de l'histoire... Il ne pouvait définitivement plus dire les choses à la légère. C'était comme si on venait de lui annoncer qu'il était le responsable de l'O.N.U. Manami reprenait la parole en prenant soudainement un ton plus sérieux.
- La précédente génération des Vongola a mystérieusement disparu il y a maintenant dix ans, et le Monde de la Mafia a décidé qu’il était temps pour toi, comme il l’a été pour tes prédécesseurs, de découvrir ce qu’être l’héritier d’une telle famille signifie.
Ce n'était pas la peine de lui dire ça. Zuran connaissait la réputation de son cousin éloigné mais il n'était pas "Tsunaze" comme on l'appelait. Il avait bien comprit que les élèves disparus étaient des élèves mais aussi des mafieux en pleine formation. Il n'était pas idiot au point de penser qu'il avait disparu comme un simple civil pouvait disparaître. Il ne disait rien mais n'appréciait pas vraiment l'intonation qu'avait prit son hôte pour lui dire tout ça. Mais honnêtement, avant ça ne l'aurait pas dérangé. Il était juste probablement moins patient et plus sur la défensive à cause de ce qu'il devait assimiler actuellement. C'était pour ça qu'il ne disait rien et laissait Manami continuer son monologue.
- Zuran-kun, je sais que ça fait beaucoup à apprendre aussi soudainement, je comprends parfaitement que tu ais peur et sois paniqué, mais j’aimerai sincèrement que tu me crois lorsque je te dis que l’on fait de notre mieux pour faire en sorte que tout se passe au mieux pour toi. Tu sais, j’ai appris à 10 ans que j’allais devenir Parrain et remplacer mon grand-père. J’ai suivi un entrainement inimaginable et j’ai à d’innombrables reprises pensé que je n’y arriverai pas, mais aujourd’hui je ne m’imagine pas être heureux à faire autre chose. La Mafia a une certaine image assez clichée de gens dangereux et infréquentables. Mais la réalité n’est que ce que tu souhaiteras qu’elle soit. Si tu veux que ta famille fasse le bien, elle le fera. Comme elle l’a fait jusqu’à maintenant.
Pour que quelque chose soit un cliché, ça voulait dire que beaucoup de personnes ont fait circuler des informations sur ce qu'ils avaient constatés. Si la mafia est un cliché des personnes mauvaises et sanguinaires à la recherche du pouvoir c'est qu'il y avait bien un point de départ. Quelque chose qui a fait que la mafia avait cette réputation. En tout cas, il n'avait jamais été rendu public qu'une famille mafieuse était bénéfique. Sûrement parce qu'ils n'étaient pas recherchés étant donné leur gentillesse. Mais il ne fallait pas lui faire croire que c'était un milieu pacifiste avec quelques exceptions.
- Je ne suis pas paniqué.
C'était vrai. Il ne pouvait pas dire qu'il n'avait pas peur, mais il n'était pas paniqué. En fait, il réfléchissait encore. Il était en pleine réflexion pour peser le pour et le contre. Le contre étant qu'il ne voulait pas devoir prendre les responsabilités laissées par des ancêtres qui avaient choisit de fonder un groupe basé sur un groupe de crime organisé qui agissait au-dessus des lois. Le pour étant le fait que si on faisait appel à lui c'était probablement parce qu'il avait été déterminé qu'il pouvait réussir à prendre la relève mais aussi secourir son cousin éloigné et les autres disparus. De plus, accepter quelque chose comme ça venait à dire qu'il acceptait que sa civile s'achève ici. Ça voulait dire qu'il acceptait tout les risques que cela impliquait. Bref, il prenait tout en compte.
- C'est vrai. Il existe des gens qui font le bien dans la mafia.
Zuran s'apprêtait à prendre la parole, mais Arun lui avait coupé l'herbe sous le pied. Ce n'était pas grave, il avait l'air de vouloir dire quelque chose afin que le jeune malentendant puisse prendre un maximum de choses en compte. C'était pour cela qu'il l'écoutait sans dire un mot, bien que sa décision était déjà prise.
- Je ne sais pas exactement qui est Sakamoto-san mais il ne nous a pas menacé ni tué. Il a été juste avec toi du début à la fin. Il ne m'a pas pris comme otage mais par ce que je tirais une tête qui hurlait que je voulais savoir. J'aurai vraiment foutu la merde si je n'étais actuellement pas ici. Il ne nous ment pas non plus, il a le son d'un bol de cristal, lisse, doux et relaxant. Il est incapable de pouvoir nous mentir correctement et ça se verrait. C'est très dur de jouer mal avec ce genre de son.
Mais il ne nous dit pas tout. Je pense que lui aussi à perdu quelqu'un ou plusieurs personnes dans tout ça. En vrai, ça ne fait que plus de personnes à sauver. Ça fait juste plus de personne qui attendent qu'on soit là pour elles. P'tain, c'est dur de rester de marbre quand t'as ça en tête hein ?
J'suis en train de partir en couille, je raconte n'importe quoi, je pense que je stresse un peu en disant tout ça. On dirait que j’enchaîne les balais dans le cul, c'est grave docteur ?
J'pense que t'as des gens qui sont visé par ce qu'ils font, feront partis de la mafia. J'en suis même sûr. T'as eu pas mal de chance que ce soit Sakamoto-san aujourd'hui. On aurait pu tomber sur ceux qui sont vraiment mauvais.
Il y a autre chose dont je suis sûr. Je suis certain que tu n'es pas quelqu'un de mauvais Zuran. Sakamoto sonne comme un bol de cristal mais toi, tu as la voie d'une clochette tibétaine. Tu sais, c'est les instruments rares qui ont la capacité d'automatiquement mettre des personnes en transe ? Celle qui guide vers la lumière. J'm'attache pas souvent à des gens sur un coup de cœur, mais là, pour toi, si. Je sais que je peux te faire confiance et que peu importe la décision que tu prendras, tu seras être juste.
En fait, c'est peut-être pire que ça... J'vais peut-être loin dans la connerie, mais, t'es pas seul là. J'suis en train de te promettre que quoi que tu choisisses, je resterai à t'aider et je suivrai ce que t'as choisi. Si tu veux les vendre à la police, on le fera. Si tu veux aller dans la mafia, alors je t'aiderai et je ferai en sorte que tu ne sois jamais en train de jouer faux. Je ferai en sorte de sauver le plus de monde, et d'empêcher le plus de personnes d'être tué.
Je te promets de te soutenir.
Mais il ne nous dit pas tout. Je pense que lui aussi à perdu quelqu'un ou plusieurs personnes dans tout ça. En vrai, ça ne fait que plus de personnes à sauver. Ça fait juste plus de personne qui attendent qu'on soit là pour elles. P'tain, c'est dur de rester de marbre quand t'as ça en tête hein ?
J'suis en train de partir en couille, je raconte n'importe quoi, je pense que je stresse un peu en disant tout ça. On dirait que j’enchaîne les balais dans le cul, c'est grave docteur ?
J'pense que t'as des gens qui sont visé par ce qu'ils font, feront partis de la mafia. J'en suis même sûr. T'as eu pas mal de chance que ce soit Sakamoto-san aujourd'hui. On aurait pu tomber sur ceux qui sont vraiment mauvais.
Il y a autre chose dont je suis sûr. Je suis certain que tu n'es pas quelqu'un de mauvais Zuran. Sakamoto sonne comme un bol de cristal mais toi, tu as la voie d'une clochette tibétaine. Tu sais, c'est les instruments rares qui ont la capacité d'automatiquement mettre des personnes en transe ? Celle qui guide vers la lumière. J'm'attache pas souvent à des gens sur un coup de cœur, mais là, pour toi, si. Je sais que je peux te faire confiance et que peu importe la décision que tu prendras, tu seras être juste.
En fait, c'est peut-être pire que ça... J'vais peut-être loin dans la connerie, mais, t'es pas seul là. J'suis en train de te promettre que quoi que tu choisisses, je resterai à t'aider et je suivrai ce que t'as choisi. Si tu veux les vendre à la police, on le fera. Si tu veux aller dans la mafia, alors je t'aiderai et je ferai en sorte que tu ne sois jamais en train de jouer faux. Je ferai en sorte de sauver le plus de monde, et d'empêcher le plus de personnes d'être tué.
Je te promets de te soutenir.
Le jeune garçon reprenait à nouveau son grand sourire pour la première fois depuis le début de cette conversation. Ça l'avait beaucoup touché ce que Arun venait de lui dévoiler. Il s'était fait un ami, un véritable ami et c'était le seul qui était au courant de la situation dans laquelle Zuran se trouvait et la première chose qu'il avait fait en conséquence était de lui jurer que quoi qu'il se passe, il ne sera jamais seul. Après ses dires, le jeune garçon se relevait et faisait face à Sakamoto.
- Si j'accepte, ma famille et mes amis seront en danger. Surtout au vu de l'importance des Vongola.
Si je refuse, ma famille et mes amis seront en danger parce que les ennemis des Vongola voudront s'assurer qu'il n'y ait plus de successeurs.
Si j'accepte, je me mets en danger moi et les personnes qui voudront me suivre pour essayer de secourir sans assurance de réussite un groupe que je ne connais pas.
Si je refuse, je reste en danger et mes amis aussi en ayant condamné un groupe que je ne connais pas.
Dans tout les cas, la question est de savoir si je préfère abandonner et attendre que quelqu'un vienne nous faire du mal ou à me préparer et préparer mes amis à les recevoir. Alors j'accepte.
Si je refuse, ma famille et mes amis seront en danger parce que les ennemis des Vongola voudront s'assurer qu'il n'y ait plus de successeurs.
Si j'accepte, je me mets en danger moi et les personnes qui voudront me suivre pour essayer de secourir sans assurance de réussite un groupe que je ne connais pas.
Si je refuse, je reste en danger et mes amis aussi en ayant condamné un groupe que je ne connais pas.
Dans tout les cas, la question est de savoir si je préfère abandonner et attendre que quelqu'un vienne nous faire du mal ou à me préparer et préparer mes amis à les recevoir. Alors j'accepte.
- Héhéhé... Il comprend vite.
Un bruit de remous dans le sac se faisait entendre avant que la fermeture éclaire du cartable de Zuran s'ouvre de tout son long. Une tignasse bleue en ressortait avant qu'on aperçoit un bébé avec des lunettes de soleil en "V" avec un épais sourire.
- Je suis plutôt content de voir que mon microbe d'élève a ne serait-ce qu'un peu de jugeotte. Yo ! Je m'appelle Katsu, je serai ton professeur spécial à partir d'aujourd'hui. Enchanté, jeune parrain de la famille Vongola.
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# Re: [Sous-Event] Un réveil particulier ft. Manami, Arun [Terminé]Jeu 30 Avr - 0:14all's well that ends well ! Malgré son inquiétude, Manami ne pouvait nier qu’il était rassuré de voir Zuran aussi sérieusement plongé dans ses pensées. Il ne savait s’il devait accuser ses propres mots ou la situation en général, mais un nœud s’était formé dans son estomac en sentant l’atmosphère changer. Le jeune ciel était en train de peser le pour et le contre, et il faisait bien, mais le blond avait peur.
Il avait peur d’avoir été trop brusque, de ne pas avoir utilisé les bons mots, d’avoir été trop franc ou au contraire pas assez. Il sentait un gouffre se former entre lui et l’adolescent souriant et avenant qu’il avait rencontré le matin même. Il avait peur que la confiance qu’il avait gagnée soit à jamais perdue.
Il se gifla mentalement. C’était tout sauf le moment de paniquer pour ce genre de choses. Il exagérait encore tout et s’inquiétait beaucoup trop. Du moins il l’espérait.
Arun avait fini par se tourner vers eux, après ce que Manami remarqua comme un moment d’introspection intense. Une discrète odeur de bambou et de feuilles d’automne lui titilla le nez et le fit remonter son regard doré vers le jeune homme.
Il l’écouta attentivement. Et le nœud d’inquiétude dans son estomac se dénoua pour se transformer en autre chose. Tous ses muscles se crispèrent lorsqu’il mentionna ses gardiens, en même temps qu’une partie encore fonctionnelle de son cerveau s’émerveilla de la capacité de déduction de ce garçon. Il… Ne voulait pas que ça se sache. Il n’avait pas voulu influencer le choix de Zuran en jouant sur la dangereuse limite du chantage affectif ; il ne savait même pas si, compte tenu de la situation, il aurait pu garder son calme en les mentionnant.
La suite du discours d’Arun manqua de lui faire monter les larmes aux yeux. Une telle dévotion et une telle détermination… Aucun doute, Zuran n’avait rien à craindre. Arun non plus, d’ailleurs. Qu’importait le choix de Zuran, il le saurait justifié, et n’aurait rien à y redire.
Ce dernier se releva d’ailleurs, lui faisant face avec aplomb. Ses mots, bien que durs et criants de vérité, firent éclater un sourire sur le visage de Manami. Pas un sourire soulagé ; il avait déjà oublié son inquiétude, un simple sourire de bonheur devant le premier pas d’un jeune homme qu’il savait capable d’accomplir de grandes choses. Il se releva à son tour.
« Félicitations !! » En un instant, il était redevenu le barman heureux et rayonnant, sa tension envolée. Il tendit la main à Zuran pour une poignée sympathique, lorsque Katsu-san décida enfin de se montrer, sortant du sac à dos du jeune Ciel. Il salua poliment l’Arcobaleno d’une courbette, toujours aussi rayonnant, avant de se tourner vers les trois personnes de la pièce.
« Bien ! Si vous avez des questions ou quoi que ce soit je reste à votre disposition, mais je me permets de filer rouvrir mon café. Ça reste le premier jour du Tutti Frutti et ça serait une honte qu’il reste fermé aussi longtemps ! Oh, et dites-moi si vous voulez boire ou manger quoi que ce soit, c’est offert par la maison ! »
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Il avait peur d’avoir été trop brusque, de ne pas avoir utilisé les bons mots, d’avoir été trop franc ou au contraire pas assez. Il sentait un gouffre se former entre lui et l’adolescent souriant et avenant qu’il avait rencontré le matin même. Il avait peur que la confiance qu’il avait gagnée soit à jamais perdue.
Il se gifla mentalement. C’était tout sauf le moment de paniquer pour ce genre de choses. Il exagérait encore tout et s’inquiétait beaucoup trop. Du moins il l’espérait.
Arun avait fini par se tourner vers eux, après ce que Manami remarqua comme un moment d’introspection intense. Une discrète odeur de bambou et de feuilles d’automne lui titilla le nez et le fit remonter son regard doré vers le jeune homme.
Il l’écouta attentivement. Et le nœud d’inquiétude dans son estomac se dénoua pour se transformer en autre chose. Tous ses muscles se crispèrent lorsqu’il mentionna ses gardiens, en même temps qu’une partie encore fonctionnelle de son cerveau s’émerveilla de la capacité de déduction de ce garçon. Il… Ne voulait pas que ça se sache. Il n’avait pas voulu influencer le choix de Zuran en jouant sur la dangereuse limite du chantage affectif ; il ne savait même pas si, compte tenu de la situation, il aurait pu garder son calme en les mentionnant.
La suite du discours d’Arun manqua de lui faire monter les larmes aux yeux. Une telle dévotion et une telle détermination… Aucun doute, Zuran n’avait rien à craindre. Arun non plus, d’ailleurs. Qu’importait le choix de Zuran, il le saurait justifié, et n’aurait rien à y redire.
Ce dernier se releva d’ailleurs, lui faisant face avec aplomb. Ses mots, bien que durs et criants de vérité, firent éclater un sourire sur le visage de Manami. Pas un sourire soulagé ; il avait déjà oublié son inquiétude, un simple sourire de bonheur devant le premier pas d’un jeune homme qu’il savait capable d’accomplir de grandes choses. Il se releva à son tour.
« Félicitations !! » En un instant, il était redevenu le barman heureux et rayonnant, sa tension envolée. Il tendit la main à Zuran pour une poignée sympathique, lorsque Katsu-san décida enfin de se montrer, sortant du sac à dos du jeune Ciel. Il salua poliment l’Arcobaleno d’une courbette, toujours aussi rayonnant, avant de se tourner vers les trois personnes de la pièce.
« Bien ! Si vous avez des questions ou quoi que ce soit je reste à votre disposition, mais je me permets de filer rouvrir mon café. Ça reste le premier jour du Tutti Frutti et ça serait une honte qu’il reste fermé aussi longtemps ! Oh, et dites-moi si vous voulez boire ou manger quoi que ce soit, c’est offert par la maison ! »
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# Re: [Sous-Event] Un réveil particulier ft. Manami, Arun [Terminé]Jeu 30 Avr - 0:51Hey! Wake up ღ Un peu plus, et j'fais ma drama! En essayant de rester sérieux, il croisa les bras et regarda Zuran parler. Il disait tout ce qu'il fallait. Décidément, il avait bien fait de lui parier sur lui. Il devait avoir beaucoup de chance là dessus. Sûrement des parieurs de chevaux dans la famille ahha, après tout passait par le sang c'est ça ? Il était pas vraiment quelqu'un de bien à penser comme ça non ? Surtout qu'il n'y croyait clairement pas. Il tourna les yeux brusquement quand... et bordel de merde. Il était vraiment sorti de ce putain de sac. Il grogna et sa tête fit un 90 degré. Il boudait. Il boudait l'arcobaleno, Sakamoto, le café, la ville, le Japon, le monde, l'univers et même les autres dimensions.
Il allait être le nouveau professeur de Zuran en plus, génial, il était tellement réjoui. Ça se voyait pas sur son visage ? On voyait pas le bonheur qui passait dans son visage ? C'était pas évident, yes ! Vous avez un sacré don d'observation, évidemment qu'il va bien ce gamin. Il n'était pas du tout revenu à l'état juvénile de six ans. Voyons, pas un mec aussi intelligent et charismatique, jamais de la vie ! Il n'était pas piqué dans son ego par le hasard qui avait placé son jugement au bon endroit. En fait, il s'était pas piégé tout seul avec son orgueil ? Oupsi !
Ha bha voilà, maintenant, il boude même le narrateur. On a pas fini s'il continue à bouder tout ce qu'il passe. Il avait eu tort, il avait eu tort. Par contre, il avait eu raison sur beaucoup de choses, et il devrait plutôt regarder là où il avait raison cet idiot. Il soupira et hôcha quand même la tête pour répondre à Manami.
Pour le reste, il s'assit de nouveau à côté de Zuran sans un mot. Pourquoi parler pas vrai ? Après tout, il était humilié non ? Il fallait vraiment qu'il apprenne que tout le monde pouvait avoir tort, y compris lui. Surtout lui ? Il fixa un point dans le vide. Il me jugeait là c'est ça ? Hé bien je t'emmerde, finit cette réponse seule sans un seul narrateur pour dire tes pensées et tes actions !
…
On y arrive pas hein ? Bien. L'adolescent se dit que peut-être, il devrait arrêter de se soucier d'idioties qui le faisaient totalement déconner et même penser qu'il avait une voix dans sa tête qui racontait ses anecdotes. Il décroisa les bras, regarda l'arcobaleno puis son ami.
« Super Zuran, t'as un prof particulier. Yeah... » Il était pas motivé ok, mais il avait essayé !
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Il allait être le nouveau professeur de Zuran en plus, génial, il était tellement réjoui. Ça se voyait pas sur son visage ? On voyait pas le bonheur qui passait dans son visage ? C'était pas évident, yes ! Vous avez un sacré don d'observation, évidemment qu'il va bien ce gamin. Il n'était pas du tout revenu à l'état juvénile de six ans. Voyons, pas un mec aussi intelligent et charismatique, jamais de la vie ! Il n'était pas piqué dans son ego par le hasard qui avait placé son jugement au bon endroit. En fait, il s'était pas piégé tout seul avec son orgueil ? Oupsi !
Ha bha voilà, maintenant, il boude même le narrateur. On a pas fini s'il continue à bouder tout ce qu'il passe. Il avait eu tort, il avait eu tort. Par contre, il avait eu raison sur beaucoup de choses, et il devrait plutôt regarder là où il avait raison cet idiot. Il soupira et hôcha quand même la tête pour répondre à Manami.
Pour le reste, il s'assit de nouveau à côté de Zuran sans un mot. Pourquoi parler pas vrai ? Après tout, il était humilié non ? Il fallait vraiment qu'il apprenne que tout le monde pouvait avoir tort, y compris lui. Surtout lui ? Il fixa un point dans le vide. Il me jugeait là c'est ça ? Hé bien je t'emmerde, finit cette réponse seule sans un seul narrateur pour dire tes pensées et tes actions !
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On y arrive pas hein ? Bien. L'adolescent se dit que peut-être, il devrait arrêter de se soucier d'idioties qui le faisaient totalement déconner et même penser qu'il avait une voix dans sa tête qui racontait ses anecdotes. Il décroisa les bras, regarda l'arcobaleno puis son ami.
« Super Zuran, t'as un prof particulier. Yeah... » Il était pas motivé ok, mais il avait essayé !
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Inventaire : - Kit de nettoyage
- Arme contondante moyenne : L'instrument qu'il portera sur le moment.
- flûte traversière
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Date d'inscription : 12/04/2020
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# Re: [Sous-Event] Un réveil particulier ft. Manami, Arun [Terminé]Jeu 30 Avr - 1:33 Fin de vie 2Ft. Manami & Arun
Zuran - Reborn no Future
Attendait... C'était lui le nain qui avait planté Zuran ? Le jeune malentendant n'avait pas pu réussir à se retenir de rire aux éclats. Il avait tenté d'imaginer la scène de son meurtre à la vue d'un autre et il n'avait pas pu s'empêcher de trouver la scène ridicule. Poignardé par un bébé sorti tout droit d'un animé. Ce n'était pas permit tant c'était ridicule. C'était certainement un pur coup de chance.
- Pourquoi tu ris toi ?
La seconde d'après, Zuran s'était envolé jusqu'à l'autre bout de la pièce et avait une trace profonde d'un petit pied sur la joue. La puissance de cet enfant était terrible. Comment un si petit corps pouvait renfermer une puissance pareille ? Le jeune malentendant ne s'était pas évanoui mais il était bien sonné pendant qu'il était encore avachi sur un meuble en bois. Pendant que ce dernier se remettait à peine de cette agression, Manami prenait la parole.
- Félicitations !! Bien ! Si vous avez des questions ou quoi que ce soit je reste à votre disposition, mais je me permets de filer rouvrir mon café. Ça reste le premier jour du Tutti Frutti et ça serait une honte qu’il reste fermé aussi longtemps ! Oh, et dites-moi si vous voulez boire ou manger quoi que ce soit, c’est offert par la maison !
C'était si commun que ça pour que Manami ne réagisse pas ?! Zuran commençait à se demander sur quel phénomène il était tombé et à quoi sa vie allait ressembler à partir de maintenant. Il avait très peur de la réponse. Très peur qu'il n'ait pas le temps d'avoir une petite transition dans sa vie pour se faire à l'idée d'être un parrain. Très peur que sa vie civile prenne fin dès maintenant. Très peur de ne tout simplement pas survivre tout court à l'enseignement du tortionnaire aux cheveux bleus.
- Mais ça ne va pas ?! Ne me dites quand même pas que vous avez le droit de faire ça à tout vos élèves quand même !
- Tu es mon premier élève. Tu es d'ailleurs un élève spécial donc qui dit élève spécial dit traitement spécial.
Super... Sa vie allait devenir un enfer. Puis comment il allait expliquer à sa mère qu'il se faisait tabasser par un bébé ? Parce que la marque sur la joue il allait sûrement la garder pendant un moment. Comment il pouvait justifier tout ça ? Oh mon Dieu, il espérait vraiment que Kenichi ne remarque rien sinon il y aura une chance sur deux pour qu'il veuille tabasser des voyous qui n'avaient absolument rien fait.
- Super Zuran, t'as un prof particulier. Yeah...
- Je suis ravi de te voir si motivé Arun, faisant parti de la famille de Zuran tu vas sûrement avoir droit à mes méthodes le temps que l'on te trouve un mentor. Je te ferai donc un programme que je te demanderai de suivre pour commencer ton renforcement général.
Et maintenant il avait décidé d'emmerder Arun... Mais qu'est-ce qu'il avait fait pour le sort s'acharne sur lui ? Pourquoi aller emmerder Arun alors qu'il montrait déjà assez bien qu'il n'avait pas l'air de porter Katsu dans son coeur. Qu'est-ce qu'ils allaient faire tout court d'ailleurs ? Quelles étaient ses méthodes ? Il avait beaucoup trop peur de le demander mais il fallait qu'il en ait le coeur net.
- Comment je vais justifier tout ça à ma mère ? Vous avez pensé à ça au moins ?
- Zuran... Au vu de l'absence de ton père, tu dois sûrement t'imaginer que c'est lui le parent qui a un lien avec la mafia mais c'est faux. Il s'agit de ta mère... Je suis terriblement désolé de te dire que...
- Me dire quoi ?..
- Te dire que...
- Me dire quoi ?!
- Te dire que ta mère est parfaitement au courant de ce qu'il se passe et que c'est elle qui m'a donné le feu vert pour être hébergé chez toi et me charger de ton éducation.
MAIS C'EST UNE BLAGUE ? Sa mère était dans le coup... Elle était d'accord pour tout ça... Il n'a plus aucun tuteur qui le rattachait à une vie civile. Il était fini, terminé. Pitié, sauvez le !
Zuran - Reborn no Future
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